La vitamine K2 agit sur la coagulation sanguine de manière indirecte

**Luc** Mer 19 Aoû 2020 - 11:07

La [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pourrait également améliorer le cours de la maladie COVID-19
Les cas graves de COVID-19 souffrent souvent de troubles de la coagulation sanguine avec formation de thrombus à la suite de la tempête de cytokines. Les infections virales sont plus souvent associées à la formation de caillots sanguins – mais cet effet semble être particulièrement fort avec le Covid-19. Alors qu’en moyenne 1,3% souffrent d’embolie pulmonaire chez les patients gravement malades sans COVID-19, le chiffre est de 30% chez les patients gravement malades du COVID-19. En plus de la pneumonie, les caillots sont une cause centrale de lésions pulmonaires et de défaillance mortelle de plusieurs organes. La détérioration rapide et sévère de l’état du patient peut être expliquée par la formation de caillots.
Une étude a profité de cette observation pour analyser le statut en vitamine K de ces patients, la vitamine K étant essentielle au fonctionnement normal de la coagulation sanguine. La protéine Gla de matrice non carboxylée (uc-MGP) a été utilisée comme marqueur du statut en vitamine K dans le sang. La vitamine K assure la carboxylation de la MGP – s’il y a un manque de vitamine K, alors il y a trop d’UC-MGP (Dofferhoff et al., 2020). La vitamine K2 agit environ 50 fois plus longtemps que la K1.
Il a été démontré que les patients atteints de COVID-19 avaient significativement plus d’uc-MGP dans le sang (1 673 ± 1 584 pmol / l) que les sujets témoins (536 ± 291 pmol / l). Les patients COVID-19 avec des taux élevés (2 087 ± 1 940 pmol / l) présentaient également des valeurs uc-MGP significativement plus élevées que ceux avec des taux faibles (1 299 ± 1 056 pmol / l). Plus l’évolution du COVID-19 est sévère, plus la carence en vitamine K est importante (Dofferhoff et al., 2020). Il ne s’agit pas principalement de l’influence de la vitamine K sur la coagulation sanguine, mais plutôt de l’activation enzymatique de la MGP, qui peut lier le calcium. Le calcium libre est le facteur clé pour démarrer la cascade de coagulation qui conduit à des caillots sanguins potentiellement mortels. À ce propos, l’héparine, médicament anticoagulant, est principalement utilisée en thérapeutique dans les hôpitaux.
En outre, la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et la famille des tocophérols protègent également contre les caillots sanguins (National Institute of Health, 2020). En particulier, le gamma tocophérol réduit l’agrégation plaquettaire et retarde la formation de thrombus artériel. Le gamma tocophérol a également une influence positive sur la formation de NO bioactif (monoxyde d’azote) et dilate ainsi les vaisseaux sanguins (Singh et al., 2007). Le corps a également besoin de vitamine E pour renforcer son système immunitaire afin de repousser les bactéries et virus envahissants.
Étant donné que les infections virales provoquent une inflammation et donc un fort stress oxydatif, le corps a besoin de plus de[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] en cas d’infection pour intercepter les radicaux libres et pour protéger les organes importants, comme par ex. les poumons et le foie (Mileva et Galabov, 2018).

Augmentation de la coagulation sanguine due à un essoufflement et à une tempête de cytokines
Un pH sanguin relativement constant est vital. Par sécurité, notre corps utilise donc plusieurs systèmes tampons: le tampon bicarbonate, phosphate, protéine et hémoglobine. Le tampon de bicarbonate est le système tampon le plus important dans le corps, car les acides en résultants peuvent être libérés dans une large mesure par la respiration. Les capacités du bicarbonate et du tampon d’hémoglobine diminuent de plus en plus avec l’âge. De plus, les reins – notre organe excréteur le plus important pour les acides fixes – perdent souvent la moitié de leurs performances au cours de notre vie (Frassetto et al., 1996).
Dans le syndrome de détresse respiratoire aiguë, l’expiration de l’excès d’acides est considérablement réduite et le dioxyde de carbone acide s’accumule dans le sang. Avec les fonctions tampons, qui sont déjà limitées en raison de l’âge, cela conduit inévitablement à une acidose et à une augmentation de la coagulation sanguine. Parce que le calcium est normalement lié à 45% aux protéines dans le sang et à 50% sous forme libre et ionisée, la quantité de calcium libre augmente fortement en présence d’acidose. Parce que le calcium est un facteur clé de la coagulation sanguine, un excès de calcium libre peut trop activer la coagulation sanguine. Les ions calcium sont classés comme facteur de coagulation IV et activent les autres facteurs II, VII, IX, X et XIII.
La protéine de matrice Gla (c-MGP) activée par la vitamine K2 lie l’excès de calcium (Schurgers et al., 2010) et le transporte des vaisseaux sanguins vers les os. S’il y a une carence en vitamine K2 en plus de l’acidose, l’excès de calcium libre n’est pas fixé, peut se déposer sous forme de phosphate de calcium ou même activer la coagulation sanguine. Une carence en [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] augmente encore la coagulation sanguine en cas d’acidose.
La tempête cytokinique est également un facteur important, car les cytokines sont également connues pour activer la coagulation du sang.

Une consommation élevée de sel augmente la vulnérabilité aux infections bactériennes secondaires
Une grande quantité de sel (chlorure de sodium) dans l’alimentation a un effet acidifiant. Cela est dû au chlorure de ce composé. Cela produit de l’acide chlorhydrique dans le corps – un acide fixe non métabolisable qui doit être excrété par les reins. Un excès d’acides fixes dans le sang et une légère acidose métabolique liée à l’alimentation, augmentent le taux de cortisol dans le sang (Maurer et al., 2003; Vormann et Goedecke, 2006).
Avec ce mécanisme, un excès d’acides peut non seulement augmenter la coagulation sanguine, mais également affaiblir les défenses de l’organisme contre les bactéries.
Une étude récente montre ce lien de manière impressionnante. La consommation supplémentaire de 6 g de sel par jour signifie que les granulocytes neutrophiles (cellules immunitaires spéciales qui éliminent principalement les bactéries) n’agissent plus aussi efficacement qu’avant.
Les reins sont stimulés à excréter le sel en raison de la grande quantité accumulée.

NDLR : Attention à ne pas prendre cette mise en garde à la lettre. C’est l’excès de sodium, combiné à une insuffisance de potassium, souvent sur un terrain acide, qui pose problème. On ne parle pas ici de 2.4 gr de Na mais vraisemblablement d’un dosage supérieur à 12 gr par jour. Pas mal d’Américains sont proches de 20 gr par jour (Junk food). (Fin du commentaire NDLR).

En tant qu’effet secondaire indésirable, les glucocorticoïdes (par exemple le cortisol) s’accumulent dans le corps, et les glucocorticoïdes à leur tour inhibent l’activité des granulocytes neutrophiles (Jobin et al., 2020).

En conclusion, une consommation de sel régulée peut donc réduire le risque d’infection bactérienne secondaire en plus de l’infection par le SRAS-CoV-2.

**Luc** Mer 19 Aoû 2020 - 11:08

Conclusion
La pandémie est encore trop jeune pour bien connaître le virus SRAS-CoV-2. Lentement mais sûrement, les pièces du puzzle s’assemble et nous offre une image de plus en plus claire: la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] renforce le système immunitaire et peut contribuer de manière significative à une évolution plus douce de la maladie du COVID-19. Sur la base des études actuelles, la détermination de la valeur sérique de la vitamine D est utile, – et, surtout en cas de carence -, une supplémentation en vitamine sera recommandée. De plus, l’association de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ainsi qu’avec les vitamines A et E est un quatuor logique, car l’infection augmente considérablement leur besoin.
Quiconque fait attention à un équilibre acido-basique et minéral équilibré en mangeant beaucoup de légumes riches en potassium, de légumes à feuilles vertes, diverses plantes et des fruits mais peu de sel et de protéines animales, présentera un profil santé optimal en renforçant le potentiel de son tampon de bicarbonate dans le sang.
Une surdose de vitamine D3, telle qu’on peut parfois la constater, n’est pas recommandée. Plus de 4000 UI par jour de vitamine D3 ne doit être ingéré que si et uniquement si une carence est connue. Des doses allant jusqu’à 10 000 UI par jour sont nécessaires pour remédier à un carence établie. La vitamine D3 a du sens pour une période limitée. Cependant, tôt ou tard, une prise quotidienne continue peut impliquer des effets secondaires graves. La dose fait le poison – ou le remède.
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Références :
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**Luc** Mer 19 Aoû 2020 - 22:16

Coronavirus : si l'on ne les soigne pas, les problèmes de goût et d'odorat peuvent être définitifs.
Source : RTBF 18/08/20
Certaines victimes du coronavirus le constatent : ils peuvent garder des symptômes longtemps après leur guérison. C’est notamment le cas pour ceux qui ont perdu le goût ou l’odorat. Ils ont tout intérêt à consulter pour éviter que ces problèmes s’installent définitivement.
Céline a perdu l’odorat durant deux semaines en contractant le virus en avril. Elle pensait être tirée d’affaire mais voilà qu’un autre souci, olfactif, est apparu : "C’est venu comme ça un jour au soir en mangeant des chips : non seulement je ne sentais pas le goût de ces chips mais j’avais une odeur bizarre dans le nez. Et ça dure depuis trois semaines."
Depuis, Céline sent de mauvaises odeurs en permanence et c’est très inconfortable. Mais son cas n’est pas rare : entre 10 et 15% d’anciens malades covid souffriraient de parosmie, explique Quentin Mat, spécialiste ORL au CHU Marie Curie de Lodelinsart : "Ils vont décrire des odeurs différentes de ce que sentaient les différents stimulus olfactifs auparavant : par exemple les gens vont sentir une odeur de banane ou de citron et ils vont trouver que ça sent mauvais. Ils ne vont plus reconnaître les odeurs de ce qu’ils sentent."

De la rééducation
De la cortisone et des corticoïdes en spray peuvent aider, mais il faut surtout rééduquer les cellules olfactives abîmées avec un traitement spécifique, affirme Sven Saussez, spécialiste ORL et chercheur à l’UMons : "C’est le training olfactif. C’est une espèce de kinésithérapie du nerf olfactif où, en fait, le patient doit sentir des odeurs le matin et le soir le plus régulièrement possible pour rééduquer correctement le cerveau."
Cette rééducation au quotidien doit durer au minimum trois mois. Il s’agit de régénérer des cellules nerveuses et cette récupération peut durer jusqu’à un an. Mais, après une année, si le patient n’a pas récupéré, alors les dégâts peuvent être définitifs.
Image : Interview de Quentin MAT, Specialiste ORL, en formation, CHU Charleroi.

**Luc** Ven 21 Aoû 2020 - 9:34

Réorienter la gestion de la crise du covid-19
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« Le covidisme est une forme de religion, avec ses temples médiatiques et ses prêtres-experts »
Interview de François Jortay – Par Yves RASIR (Magazine NéoSanté). F. Jortay est une économiste universitaire devenu « chercheur libre » transdisciplinaire. Il s’est livré à un décryptage méthodique de toutes les erreurs scientifiques commises dans la gestion de l’épidémie.
Mensonges, supercheries, comportement magique, quasi-religion, charlatanisme : on ne peut pas dire que François Jortay y va avec le dos de la cuillère dans sa longue analyse de la gestion de la crise du Covid-19. Pour vous en donner un avant-goût et peut-être le désir de la lire (deux fois, comme il le conseille), nous lui avons demandé d’en résumer les points les plus saillants. Dans cette interview exclusive, il montre l'ampleur du catastrophisme médiatique et sa puissance de conviction (c-à-d de conditionnement) sur les gouvernements et une partie considérable de la communauté scientifique. En outre nombre de scientifiques seraient victimes d'une incompréhension des limites de la modélisation mathématique appliquée à des phénomènes écosystémiques et sociologiques. L'incapacité (historiquement vérifiée) des modèles épidémiologiques à prédire l'avenir a "justifié" l'inversion du principe de précaution, foulant ainsi au pied les principes élémentaires de la méthode scientifique. Cette « nouvelle religion » qu'il dénomme "covidisme" entraîne la population dans un enfermement cognitif délétère. L’analyse de François Jortay est implacable. Il démonte les modèles prévisionnels, au centre de toute la machinerie covidiste, et il dénonce la supercherie consistant, dans la gestion de l’épidémie, à utiliser le nombre brut de tests positifs sans le rapporter au nombre de tests réalisés (cas positifs/tests). Alors que l'indicateur le plus important, assène-t-il, c'est la mortalité toutes causes. En fin de compte, non seulement dit-il tout haut ce que de nombreuses personnes, y compris des scientifiques, pensent tout bas, mais son voyage au cœur des modèles mathématiques a le mérite de révéler au grand jour les failles du discours officiel - faut-il l’appeler « propagande » ? Néosanté a souhaité mettre en lumière son travail citoyen, loin des spotlights, pour contribuer à la réappropriation du débat scientifique par la société autour de la gestion de la crise du Covid-19.

1. Pourquoi accusez-vous les « experts » scientifiques du gouvernement ou des plateaux télés d’incompétence ou de charlatanisme ?
Il faut distinguer la compétence de l'utilisation qui en est faite. Lors de l'analyse d'articles "scientifiques" sur l'épidémie de covid-19, je lis tellement d'énormités que je pose la question : s'agit-il d'incompétence ou de charlatanisme ? Certes, il ne faut pas sous-estimer la possibilité de l'incompétence de certains professeurs d'université – aux capacités de mémorisation et vitesse de travail certes exceptionnelles, mais "singes savants". Je crois toutefois que dans la plupart des cas il s'agit plutôt de charlatanisme, en l'occurrence par des individus exploitant leur statut de scientifique pour abuser la population. Un cas d'école, largement documenté, est celui du [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
2. Quelle est alors votre propre légitimité à analyser et à critiquer la gestion de l’épidémie en Belgique ?
--- (Réponse)
3. Quel est le rôle des médias dans le débat scientifique ?
--- (Réponse)
4. Au cœur de votre démonstration, vous mettez en doute l’outil principal de gestion gouvernemental : les modèles mathématiques. Quel est le problème ?
Les modèles mathématiques peuvent être très utiles, mais à condition de ne pas être déconnectés de la réalité. Or, lorsqu'on modélise des phénomènes qui relèvent des sciences dites "humaines" ou "molles" comme l'économie ou l'infectiologie, on risque souvent d'appliquer le réductionnisme de la modélisation mathématique à des phénomènes complexes et écosystémiques qui ne sont pas… réductibles. Utiliser un modèle pour simplement reproduire des courbes épidémiques observées est possible, mais en adaptant à chaque fois les valeurs des paramètres du modèle. Dans ces conditions, il est impossible de prédire l'avenir, qui plus est si le virus est nouveau. Quand votre médecin de famille dit que "cette année la grippe est virulente et tenace" il veut dire que la valeur des paramètres bêta et lambda est plus élevée que d'habitude. Or, les modèles dessinent une courbe épidémique sur base de la valeur attribuée à chacun de ces paramètres. Si cette valeur est modifiée, alors la forme de la courbe est modifiée, notamment sa hauteur (nombre d'infections et, partant, nombre de décès). Dans ces conditions il est impossible de prédire l'avenir à partir du passé.
5. Mais ne peut-on adapter la valeur des paramètres en cours d'épidémie afin qu'ils décrivent correctement la réalité ?
Oui, c'est du paramétrage en temps réel. Mais c'est le signe que les modèles épidémiologiques ne sont pas prévisionnels mais uniquement descriptifs, c’est-à-dire qu’ils peuvent dessiner une courbe théorique lisse qui est une bonne approximation de la "courbe" réelle. Pour pouvoir faire des prévisions il faut nécessairement que la valeur des paramètres soit constante dans le temps (et de préférence aussi dans l'espace). Faisons une analogie pour bien comprendre cela : si on peut prédire le temps qu'un corps mettra à tomber d'une certaine hauteur et sa vitesse au moment de l'impact, c'est parce que la force de gravitation est connue. Si, dans un même référentiel, celle-ci changeait au gré de mécanismes mal compris, cette prévision ne serait pas possible. Or, dans les paramètres des modèles épidémiologiques, il n'y a rien qui ressemble de près ou de loin à la constante qu’est l’accélération gravitationnelle. La valeur de ces paramètres n'est stable ni dans le temps ni dans l'espace. Certes, cela ne pose pas de problème aux adeptes des modèles épidémiologiques, car c'est la moyenne des paramètres qui les intéresse. Ils affirment 1. que cette moyenne est constante dans le temps et l'espace, et 2. que l'écart-type des valeurs sur base desquelles la moyenne est calculée serait "suffisamment petit" (ndr : l'écart type est une mesure de l'écart moyen entre les valeurs d'une variable dont on a calculé la moyenne. Plus cet écart est grand, moins la moyenne est représentative de l'ensemble des valeurs). Mais les récurrentes et gigantesques erreurs de prévision des modèles épidémiologiques montrent que leurs conclusions sont fallacieuses. Et là, on n'a même pas encore abordé le problème du manque de fiabilité des mesures des variables épidémiologiques en cours d'épidémie (infections, hospitalisations, mortalités,...), qui sont les variables d'entrée ("input") des modèles ...
6. Les autorités affirment que le virus étant nouveau, le principe de précaution s'impose. Pourquoi fustiger cet excès de prudence ?
Ce n'est pas un excès de prudence, mais un comportement magique. Le principe de précaution ne consiste pas à appliquer une mesure incertaine sous prétexte qu'elle pourrait peut-être fonctionner (on pourrait aussi bien brûler des cierges, sait-on jamais ... !) mais au contraire à ne pas appliquer une mesure sans être certain que ses effets pervers ne l'emportent sur ses [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. C'est cette seconde interprétation du principe de précaution qui prévalait avant le covidisme. La question est de savoir pourquoi en 2020, un basculement sémantique a eu lieu. Et très peu de personnes se sont aperçu de la supercherie !
7. Comment pouvez-vous être certain que toute épidémie s’éteint naturellement ?
Cette question revient à suggérer que covid-19 serait dans l'histoire de l'Humanité le premier virus dont, sans le confinement et les masques, l'épidémie ne se serait éteinte qu'avec le décès du dernier humain ! Cela ne fait aucun sens. Plutôt que de sombrer dans les croyances apocalyptiques, observons les faits historiques : les précédentes pandémies, y compris celles de virus "nouveaux", n'ont jamais confirmé les prévisions ultra-catastrophiste "à la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]", et cela sans que le confinement ou les masques aient été imposés aux populations ! Contrairement à ce que laisse croire le simplisme des modèles épidémiologiques, les raisons de l'auto-extinction des épidémies sont mal connues : il pourrait y avoir des immunités de naissance ou des immunités croisées non encore identifiées ou sous-estimées. Et peut-être d'autres facteurs explicatifs jouent-ils, notamment en amont du phénomène épidémique.
8. Certains ont démontré de façon scientifique les « morts évités » grâce au confinement. Vous êtes exactement à l’opposé : comment démontrez-vous de façon indiscutable l’inutilité (voire la contre-productivité) du confinement ?
Je n'ai trouvé à ce jour aucune démonstration sérieuse de morts évitées grâce au confinement. Il y a certes une énorme production d'articles "scientifiques" affirmant le démontrer mais lorsqu'on prend la peine d'en lire quelques-uns avec attention, on constate deux choses. Soit les auteurs ne mentionnent pas toutes les informations nécessaires pour vérifier leurs conclusions. Soit ces études sont des supercheries manifestes consistant à confondre corrélation (le confinement a été suivi par un ralentissement de l'épidémie) et causalité (le ralentissement serait causé par le confinement). Or toute épidémie commence par une phase de croissance qui est ensuite suivie par une phase de décroissance. Ce fut le cas de toutes les épidémies précédentes de virus "nouveaux", et sans que le confinement ou les masques aient été imposés !
9. Vous voulez dire par là qu’on utilise une pseudo-science pour démontrer n’importe quoi ?
Je pose la question : le LancetGate est-il une exception ou plutôt la norme ? Le célèbre ouvrage "Impostures intellectuelles" [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] par Sokal et Bricmont montrait déjà l'efficacité très relative de la validation par des pairs. En l'occurrence, il me semble extrêmement difficile voire impossible, d'un point de vue pratique, de mesurer expérimentalement l'efficacité du confinement général ou de l'obligation du port du masque par l'ensemble de la population. C'est pour cette raison que, afin d'imposer leur "prévisions" catastrophistes, les covidistes ont dû inverser la définition du principe de précaution. Mon travail se base donc sur le raisonnement logique, ce que l'on pourrait appeler le bon sens populaire, mais fondé sur des données crédibles. Et là [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], et on comprend pourquoi la stratégie préventive dite « non pharmaceutique » (confinement, distanciation, masques, lavages) n'a jamais été imposée aux populations lors des précédentes pandémies de virus, même "nouveaux".
10. Il y a un matraquage dans la communication gouvernementale sur le « rebond ». Y a-t-il un « rebond » à craindre ?
D'une part, il suffit que le nombre de tests augmente (par exemple suite à la surmédiatisation de "prévisions" catastrophiques) pour qu'augmente le nombre de « cas positifs ». Par conséquent l'indicateur pertinent en matière d'infections est le ratio positifs/tests et non pas son numérateur. D'autre part l'indicateur ultime, c-à-d le plus pertinent, c'est évidemment le taux de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Il suffit de regarder ces indicateurs pour constater que la question fondamentale n'est pas celle du rebond, mais de savoir pourquoi la définition du principe de précaution a été inversée et pourquoi de nombreux appareils d'État (gouvernement, entreprises "d'information", experts de plateau TV, ...) se sont mis à terroriser la population.
11. Les autorités affirment que le « taux de reproduction » (possibilité d’infecter d’autres personnes) R0 est encore élevé. Les tests montrent de plus en plus de cas, donc des possibilités de contact. N’est-ce donc pas normal que gouvernement cherche à les réduire en poursuivant les mesures « de prévention » ?
Le taux de reproduction R_t dit qu'une hausse du nombre d'infections correspond à R_t > 1 et une baisse à R_t < 1. Point barre. R₀ c'est soit R_t à t=0 , soit une sorte de moyenne de R_t calculée sur une période arbitraire. Point barre. Dans aucun de ces deux cas il n'est question de prévision : soit on parle du passé, soit on parle de possibles scénarios (au sens de "il est possible que demain vous tombiez dans l'escalier" ...). Tout le reste c'est du charlatanisme, lequel est illustré par les récurrentes et gigantesques erreurs de prévision des modèles épidémiologiques. Dans le cas de covid-19, leurs adeptes, avec le concours des entreprises "d'information", ont réussi à convaincre de nombreux gouvernements d'appliquer le confinement. Et maintenant, ils affirment que c'est grâce au confinement que cette épidémie ne s'est pas avérée exceptionnelle. Mais ils auraient pu dire cela aussi lors des précédentes pandémies de nouveaux virus, si on avait cédé à leur catastrophisme, comme on l'a malheureusement fait en 2020. Comprenons donc bien la gravité de l'enfermement cognitif dans lequel nous sommes aujourd'hui, qui résulte de l'inversion du principe de précaution. Parler de "covidisme" comme d'une forme de religion, avec ses temples médiatiques et des "prêtres-experts", est donc bien fondé.
12. En fin de compte, quelle est la meilleure stratégie de suivi épidémique ? Ou, dit autrement : pourquoi le gouvernement se trompe-t-il ?
La meilleure stratégie c'est celle qu'on a toujours appliquée avant le covidisme. De nature essentiellement réactive (traiter) plutôt que préventive (confinement, distanciation, masques, lavages), la meilleure stratégie repose sur la confiance dans l'auto-régulation des écosystèmes (dont les multiples formes d'immunité) et sur la capacité du système médical à neutraliser des maladies, même apparemment nouvelles. Je rappelle à cet égard que dans de nombreuses maladies virales, le seul traitement symptomatique peut [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Quant au traitement curatif il est hallucinant de constater que sous la houlette de l'OMS de nombreux pays ont durci la réglementation médicale pour ce qui concerne l'utilisation de médicaments non spécifiques (ce qu’on appelle le « repositionnement »), donc exactement le contraire de ce que l'on aurait dû faire.
13. Pourquoi, à votre avis ?
Dans mon [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] "Gestion des épidémies", je tente d'identifier des possibles "forces tectoniques" qui ont conduit au covidisme, phénomène probablement multifactoriel et où s'entremêlent des intérêts pas nécessairement coordonnés mais convergents. Parmi ces possibles facteurs il y a les liaisons incestueuses entre l'OMS et le business pharmaceutique, qui sont largement documentées. En tant qu'économiste je suis frappé par le parallèle flagrant avec le couple FMI / secteur bancaire : 1. importance croissante des modèles mathématiques et du "big data" dans les business modèles ; 2. "caution" par des scientifiques aux motivations très éloignées de la science (culte de la personnalité, spéculation boursière,...) ; 3. déconnexion par rapport au monde réel ; 4. "crises" récurrentes "justifiant" des transferts monétaires massifs, théoriquement pour "sauver l'économie", mais qui en réalité enrichissent les plus riches (cf. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]).
14. Que faudrait-il faire pour nous libérer du covidisme ?
En ce qui me concerne j'essaie de ne pas perdre trop de temps à convaincre les adeptes de cette nouvelle religion. Ils sont subjugués par les médias, phénomène que j'ai théorisé dans le concept d'[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Cela fait vingt ans que j'ai viré ma télé, ce n'est donc pas nouveau pour moi. Par contre j'ai été surpris par la sidération et la soumission de la quasi-totalité de la communauté scientifique face à la surpuissance dont le business de "l'info" a fait la preuve dans la création du covidisme. Cela est extrêmement inquiétant car la communauté scientifique devrait être le dernier rempart avant le précipice vers les ténèbres. Ce dernier rempart a manifestement sombré. Si l'intelligence collective ne s'y substitue pas, le risque est réel d'une grave et longue régression de la société humaine. Pour empêcher cela nous devrions arrêter de réagir uniquement par rapport aux productions de la presse. Notre travail de révolte ne doit plus être réactif mais proactif. Il s'agit de construire une nouvelle norme politique, économique et sociale. Pour ce faire konfedera.org propose un cadre organisationnel. Mais il importe également que ce travail collectif d'auto-organisation soit complété par un travail individuel d'auto-formation à la transdisciplinarité, ce que je propose via une autre de mes publications sur la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. C'est une démarche de fond qui doit s'inscrire dans le long terme ("un petit peu mais chaque jour").
Propos recueillis par Hughes Belin

**Nell74** Ven 21 Aoû 2020 - 14:31

Coucou avezvous écouté Jade Allègre pour la covid...?

"Jade Allègre est médecin et intervient aux quatre coins du monde avec des moyens simples, voir rudimentaires.
Elle constate début avril que 3 personnes qui présentaient plusieurs symptômes du Coronavirus voient ces symptômes disparaitre après quelques heures.
Depuis plus de 15 personnes ont testé la formule. 80% d'entre eux voient les symptômes disparaître avant 24h.
48h plus tard 100% sont rétablis.
Elle découvre parallèlement que le lien entre les intestins et les infections pulmonaires est avéré par une publication médicale."

C'est hyper interessant

**Nell74** Ven 21 Aoû 2020 - 14:33

Coucou Luc j’espère que je suis au bon endroit lol!

**Luc** Ven 21 Aoû 2020 - 17:05

Intéressant la vidéo. Tactique Coronavirus - Page 5 4179239413

Docteur Jade Allegre : Argile et Coronavirus
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Vidéo 32’ (lien donné par Nell)
Compte-rendu
Emploi de l’argile verte (ou jaune), aussi peu manufacturée que possible, contre le corona virus (et d’autres virus et pathologies).
Cure de 4 à 6 semaines.
80% des personnes voient luers symptômes disparaître avant 24h.
48h plus tard 100% sont rétablis.
Parsemez l’argile émiettée dans un bol d’eau. Attendez 5 à 10 que l’argile soit imbibée puis mélangez avec une cuillère (pas en métal).
On boit la totalité (et pas seulement ce qui est en suspension, comme souvent conseillé).
Prise à distance des repas, 4 heures si possible.
Sinon au minimum 2 heures avant ou après la prise de médocs.

L’argile ne coûte rien et se garde pdt des années.
L’argile permet un reset. C’est un produit vivant, qui agit de manière sélective et potentialise les effets (en cas de pénurie) et enlève l’inflammation des intestins.
Elle est excellent pour capter les ions positifs mais nettement moins sur les nitrates par exemple.
Site internet : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] > L’homme et l’argile > actualités
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (pas d’info trouvée)
Vidéo :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
interview de Jade Allègre par Thierry Casasnovas

**Mirzoune** Sam 22 Aoû 2020 - 16:08

Nell74 a écrit:
Luc a écrit:
PS: ça va bien, merci. Un peu juste en énergie mais ça remonte pianissimo (...).
Pourquoi tu ne te fais pas une tite cure de Nigari...

Déconnez pas les z'amis! Le chlorure de magnésium est acidifiant! Citrate, glycérophosphate ou malate ok mais pas chlorure...

**Nell74** Sam 22 Aoû 2020 - 16:30

ben oui mais quand tu as besoin de stimuler les défenses, que tu es anti -médoc, et que tu as mal à la gorge tu fais quoi?

surtout en voyage. j'en ai toujours en cas d'intoxication...(Nigari et tee trea)

Va falloir me donner des cours ..parce que tous les ans on passe au travers des gastros qui nous entoure grâce au Nigari...

oh lala toujours quand je me rapproche de Luc affraid

c'est la panique !

Mais alors si toi aussi tu t'y mets La p'tite mimi je suis fichue... cherry

Tactique Coronavirus - Page 5 1885269619

**Luc** Sam 22 Aoû 2020 - 16:50

On peut utiliser le nigari de manière ponctuelle par exemple contre un virus. Cela reste exceptionnel.

**Mirzoune** Sam 22 Aoû 2020 - 17:42

Nell74 a écrit:ben oui mais quand tu as besoin de stimuler les défenses, que tu es anti -médoc, et que tu as mal à la gorge tu fais quoi?

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] en flacon de 30 ml + [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] à adapter sur le flacon.

J'en prends une pipette 2 à 3 fois/ jour, déposée dans le fond de la gorge et je garde un peu avant d'avaler.

Invité Sam 22 Aoû 2020 - 17:54

Nell74 a écrit:ben oui mais quand tu as besoin de stimuler les défenses, que tu es anti -médoc, et que tu as mal à la gorge tu fais quoi?

Me rincer les narines, gorge tête penchée à plat sur le rebord de la baignoire avec un pulvé à l'eau de mer pure [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (en pharmacie)

**Nell74** Ven 28 Aoû 2020 - 14:25

Merci Darky ; j'ai mon rhino horn que je fais régulièrement car j'ai sans cesse l'impression d'être enrhumée...mais ça peut dépanner en voyage .

Merci Viviane je vais m'en procurer de ce pas. je vous avais répondu la semaine derniere et je vois que mon ordi continu de débloquer....j’espère que cette fois ça va marcher...

**Luc** Ven 28 Aoû 2020 - 15:15

Nell74 a écrit: je vais m'en procurer de ce pas. je vous avais répondu la semaine derniere et je vois que mon ordi continu de débloquer....j’espère que cette fois ça va marcher...

Prends la propolis noire (plus économique, 1 à 2 gttes suffisent).
Elle vient de Greenweez.com
Edit: Ballot-Flurin

**Nell74** Ven 28 Aoû 2020 - 15:48

ah merci Luc ..;je note...
Quoi d'autres pendant que j'y suis si je commande chez eux

**Luc** Ven 28 Aoû 2020 - 16:42

nigari, pain des fleurs au sarrasin, graines germées (je fais un mélange avec le même nbre de jours: chou rouge, alfalfa, lentille, ...), sulfate de soufre (epsom), du beurre de caroube Jean Hervé (à l'amande et orange). Tactique Coronavirus - Page 5 3390219231

Tactique Coronavirus - Page 5 3390219231

Rien que pour ce dernier produit, ça vaut la peine de commander. Malheureusement il n'est / était plus repris sur le site. Bizarre.
Pour ceux qui aiment le sucré, le Marzipan (pâte à l'amande et chocolat en couverture, trop sucré pour toi et Proserpine); 1/4 de portion avec 1 tasse de thé / café ...
Olives noires salées.
tisane d'hibiscus. Infusion Tulsi.
Miel d'acacia 900 ml / 1 litre.
Edit: chocamore est à base de cacao et non plus de caroube.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

**Nell74** Sam 29 Aoû 2020 - 1:07

Le Marzipan .... si tu savais ... Tactique Coronavirus - Page 5 2399215052

j'adore ....! Enfin j'adorais parce que curieusement comme tu dis je ne le supporte plus, Tactique Coronavirus - Page 5 4194232672

C'est mille fois trop sucré...!!!

Peut être cela est dû aux bains dérivatifs...

A la limite cela me dégoûte...et pourtant quand j'en vois, j'en achète systématiquement.... .... je croque un petit bout...., je me dis que c'est trop bon et..... Beurck Beurck Beurck Mais pourquoi le sucrent ils autant...C'est franchement dégueu... Tactique Coronavirus - Page 5 2182164847

Tactique Coronavirus - Page 5 2182164847

...... hihihi Tactique Coronavirus - Page 5 1236454933

................................... Tactique Coronavirus - Page 5 579112169

**Luc** Sam 29 Aoû 2020 - 9:03

Je vois ce que tu veux dire: Le goût est agréable mais après la 1ère bouchée, les papilles gustatives te disent que c'est l'overdose, le cerveau te dit qu'il y a assez de glucides en circulation.
Il vaudrait mieux alors se limiter à 1 ou 2 bouchées; la 2ème bouchée n'étant là que pour t'assurer que tu es en train de faire l'andouille. saute2

On se limite bien à 1 ou 2 carrés de chocolat. Le foie envoie un message au cerveau. On l'anticipe souvent (on l'a bien intégré).
Il faut faire de même avec le marzipan (anticiper la réponse du pancréas et l'intégrer) avec peut-être un mantra, du genre "Arrière Satan!"; "Vade retro Satanas!"
lol!

=> On coupe alors au couteau 1/8 au lieu de 1/4 et on remise le reste dans le placard, avec chez certains une décharge électrique si on rouvre ce placard dans les deux ou trois heures qui suivent. geek

Note que c'est une drogue. Faut voir qui sera le plus fort: ton mental ou ton microbiome qui en réclame encore.
Le plus simple serait d'éviter de se torturer en n'en achetant plus.
Tactique Coronavirus - Page 5 1091583207

Tactique Coronavirus - Page 5 1091583207

PS: Pour aider le cerveau à gagner la partie: Le marzipan est plein d'asparagine (acide aminé très fragile et très présent dans la poudre d'amande). L'asparagine produit de l'acrylamide au-delà de 120°C. Cancérigène (régulateur de la voie Mtor). C'est dose dépendant. Et le mode de cuisson / préparation détermine la toxicité.
No problemo si les pdt de terre sont cuites à l'eau. Nettement moins problématique s'il y a du jus de citron (ou éventuellement du jus d'orange) dans un gâteau à base de poudre d'amande.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

**Nell74** Sam 29 Aoû 2020 - 13:11

j’espère que je n'en achèterai plus ...car je n'avale même plus la première bouchée....

En fait, j'ai le souvenir d'un goût divin et une fois que je vais pouvoir le retrouver même s'il ne s'agit que d'un vingtième pour juste une petite dégustation...

Beurck c'est l'overdose. en fait , c'est tellement sucré que c'est immangeable !

Cela dit ce n'est pas perdu pour tout le monde car j'ai chez moi un "mange tout "qui dévore tout ce qu'il trouve sans jamais prendre un gramme... Suspect

C'est pas juste !

**Nell74** Sam 29 Aoû 2020 - 17:42

Et ça Luc ?

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

affraid

**Luc** Sam 29 Aoû 2020 - 19:12

J'ai écouté sporadiquement, jusque +/ 55'.
Il y a des trucs intéressants mais la présentation globale me gène: Conspirationnisme à l'arrière-plan ou entretien des fake news par certains journalistes ou les autorités (tous dans le même sac). En partie correcte mais on ne fait pas le tri: Le chirurgien dentiste, par exemple, qui arrange les faits pour justifier sa conclusion.
C'est un gros foutoir ! On a réuni des lanceurs d'alerte avec des youtubers. Et je ne vise pas JJCC, bien qu'il soit / ait souvent été pris pour cible car il dérange.
Conclusion: Classement vertical.
Pas de schéma; on donne son sentiment sur certains faits en rapport avec la politique, la finance et la santé. Parce qu'il y a eu des dérapages. On fait une vidéo et on shoote dans le tas, en laissant les gens encore plus désemparés, à la fin. On se donne bonne conscience parce qu' "on" a dit ce qu'on pensait, mais on n'a pas fait avancer le schmilblick d'un iota!
Tactique Coronavirus - Page 5 2380661073

Tactique Coronavirus - Page 5 2380661073

**Nell74** Sam 29 Aoû 2020 - 19:28

zut ..j'ai pas eu le temps d'écouter mais comme ça venait de Thierry je me suis dit que cela devait valoir le coup d'écouter...je l'ai même envoyé à mon mari Tactique Coronavirus - Page 5 1236454933

punaise je suis pour la paix des ménages...je vais essayer d'aller l'effacer avant qu'il ne l'ouvre . cherry

.sinon j'en ai pour la soirée ! Tactique Coronavirus - Page 5 2113940525

**Luc** Sam 29 Aoû 2020 - 19:38

Fais pas ça.
Avoue que tu as fait l'andouille. Pas pris le temps de la réflexion ou de vérifier certains faits.
Tu n’insistes pas et tu gagneras son estime : tu es peut-être récupérable, tout compte fait ! Tactique Coronavirus - Page 5 1236454933

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

**Nell74** Sam 29 Aoû 2020 - 19:58

tu sais quoi je lui ai 'ai envoyé un mail . j'ai titré :URGENT .. Et j'ai dit: "N e perds pas ton temps à regarder plus on avance et plus on découvre une bande d'allumés ...! lol!

j'essayerai de l'écouter ce soir hihi

comme il dispose de peu de temps je suis tranquille .. je ne vais pas me lancer dans des discussions qui ne finissent jamais comme je parle peu . il est en manque alors .. dés qu'il trouve un sujet il se jette sur sa proie... Crying or Very sad

**Nell74** Sam 29 Aoû 2020 - 20:15

je l'écouterai toute à l'heure et au besoin faudra peut être supprimer le lien ..; tu me diras... ou si tu le juges tu l'enlèveras..;

Cela dit c'est bien fait pour moi ..avant de partager il est bon de s'être fait son opinion... geek

C'est pas la première fois en plus... scratch

Belle soirée

**Luc** Sam 29 Aoû 2020 - 21:00

Nell74 a écrit:je l'écouterai toute à l'heure et au besoin faudra peut être supprimer le lien ..; tu me diras... ou si tu le juges tu l'enlèveras..;

Non, ça va.
C'est juste qu'il faut lire entre les lignes. Et "on" est là pour ça, aussi.
PS: Attention avec Thierry C, il "évolue" bien mais il voit les choses par le bout de la lorgnette / de son expérience personnelle. Logique.
Il arrange parfois la conclusion pour concorder avec ce qu'il a vécu. Compréhensible.
Mais ça évolue dans le temps. Logique aussi mais ...
Il n'est pas neutre, non plus: Il vend des produits phyto et des appareils en rapport avec la préparation des aliments / crudités. Pas un problème mais ... Il en fait un bussiness. Il faut bien vivre. OK.
On vérifie / confirme à une autre source.

**Luc** Dim 30 Aoû 2020 - 10:34

Interview d'Alexandra Henrion-Caude, généticienne et ancienne directrice de recherche à l’Inserm, par la journaliste / présentatrice Élise Blaise de l’émission « Vécu » - Le média citoyen, sur la webTV d’extrême droite « TV Libertés », le 31 juillet 2020.
Déjà posté par Darky. Tactique Coronavirus - Page 5 4179239413

J’ai volontairement laissé de côté l’aspect manipulation génétique pour nous recentrer sur la question épigénétique et les moyens appropriés de « vivre » avec un virus.
Vous pouvez passer l’intro ci-dessous si vous voulez vous épargner l’aspect enquête sur l’origine du virus, avec son côté conspiration.

*) Intro
Un mot donc sur la possibilité – notez la nuance entre possibilité / probabilité – que les Chinois auraient volontairement ou non (par défaut de prévoyance) laissé échapper un virus qui a été manipulé. Oui, c’est probable. A peu près certain que c’est l’objectif de certains labos bactériologiques, dans ce qu’on appelle la guerre bactériologique. C’est un fait. Pas besoin de développer ici davantage cet aspect.
Si on pousse le bouchon un peu plus loin, mis devant le fait accompli (accidentel ou sabotage ou ce que vous voulez, on s’en fout un peu car c’est secondaire ici, du moment que ce ne soit pas présenté en vue de manipuler l'opinion (comme par une partie des dirigeants US, avec un objectif ségrégationnel, en divisant pour mieux régner. Application de la théorie du complot et rejet de la faute sur des incompétents, étrangers de préférence, ou des personnes non issues de la même communauté. Etc.)

On pourrait aussi parler d’eugénisme : Pas assez de ressources pour nourrir tout un peuple (croissance exponentielle vouée à l’extinction si on se limite à un enfant par foyer chinois, mâle de préférence.). Il faut donc rationner puis sélectionner et enfin contingenter… Le virus s’en chargera puisqu’il s’attaque par préférence aux plus faibles !
J’aimerais qu’on se limite sur ce post à l’aspect pratique afin de comprendre le virus et donc mieux optimiser la défense, sans tomber dans l’excès.
Je vous renvoie vers l’excellente analyse de Darky si vous voulez discuter de la manipulation génétique par les chinois (ou autres), ou sur les circonstances de la contamination.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Ici, nous nous concentrerons sur l’aspect épigénétique et prévention.
Sinon, j'élaguerais, au besoin. Merci de votre compréhension. Cool

Séquençage de la vidéo pour mieux vous repérer.
*) Mutation du virus et Labo P4 – Zoonose
Vidéo minutage 2-4’

*) Manipulation génétique
Vidéo minutage 4-9.30’’
=> Hypothèses formulées. Probabilité forte d’une manipulation génétique orientée du SRAS-Cov-2 (engineering). Logique imparable.
L’objectif n’était pas nécessairement de créer une pandémie mondiale. La généticienne rappelle opportunément que l’erreur est humaine. + Négligence (comme expliqué par Darky sur le lien précédent).

*) Gestion de la crise par les Chinois (communication par les experts)
Vidéo minutage 9.30’’
=> Les Chinois offrent leur assistance et enfument les autorités de santé européennes (prise en charge du mode de contamination). Prise en charge médicale erronée : le problème n’était pas que pulmonaire mais aussi et surtout vasculaire.

*) Hygiène de vie et défenses immunitaires
Vidéo minutage 13’
Facteurs de comorbidité et facteurs de santé.
L’âge médian de décès est de 80-81 ans.
L’aspect affectif est important pour le système immunitaire. C’est un point central.
Problème aussi sur la raréfaction des soins appropriés. Prise en charge retardée ou inappropriée. Des erreurs ont été commises. Erreurs qui n’auraient probablement pas été commises si nous avions autopsié les personnes décédées.

Capacité à faire face à un virus pathogène.
Vidéo 14.45’’
Capital santé à entretenir : sport – respirer – sortir – s’alimenter. Le stress diminue fortement la capacité du système immunitaire.
Déséquilibre de la flore bactérienne.

Vidéo 17.45’’
Port du masque et balance bénéfice / risque
=> Nous ne sommes plus en période de contamination exponentielle (31/07/20) et nous traitons mieux les cas qui se présentent.
Vidéo 20.30’’ Graphique de la courbe épidémiologique (clic pour élargir en plein écran).
La pente régresse en Europe. Pas en Inde, ni au Brésil. Les Sud-Africains sont instrumentalisés (cobayes pour les essais sur les vaccins).
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
=> Chute des cas de contamination, en fonction de l’avancement (doublement des cas).
Il faut de plus en plus de temps pour que les contaminations progressent.
Est-ce parce que nous combattons mieux le virus ou est-ce parce que le virus diminue en virulence ? La généticienne n’a pas la réponse. Mais le confinement des populations dans certaines régions surpeuplées n’est pas la bonne réponse.
En outre, Il n’y a pas de surmortalité notable due à cette pandémie, au niveau mondial. 650.000 morts dans le monde. Mais il y a bien un problème pour les maladies chroniques (problème de comorbidité). Causes qui vont dans tous les sens (absence de soins continus, gestion du stress, etc.).
NDLR: Je trouve ce passage très instructif.

Vidéo 24.15’’
Il n’y a pas de 2^ème vague, à l’heure actuelle. Une épidémie qui se présente sous forme de double cloche (avec un rebond exponentiel), la généticienne n’en n’a jamais entendu parler.
Cela peut exister mais généralement, c’est soit localisé ou de moindre amplitude.
Il faut donc arrêter avec cette idée de 2^ème vague.

Vidéo 25’
Rappel du processus de fonctionnement de l’immunisation chez le bébé et la personne âgée (bien-être et bactériome). Nous avons plus de bactéries dans notre corps que de cellules humaines.
Image du mouchoir (vidéo 27.30’’) dans lequel on crache et qu’on est obligé de garder sur la bouche parce qu’il y a une recrudescence de tuberculose (1 million 5 de gens contaminés). Le bon sens est mis à mal : C’est un bouillon de culture.
=> Opportunité de l’utilisation du masque. Pas tout le temps. Usage intelligent. Evaluation des moyens adaptés aux circonstances : Education sur le port du masque, comportement latin différent, climat et contexte, ...
NDLR: A écouter absolument.

*) Vaccins
Vidéo 31.15’’
Pause. Tactique Coronavirus - Page 5 2969150256

Tactique Coronavirus - Page 5 2969150256

**Luc** Dim 30 Aoû 2020 - 16:45

*) Vaccins
Vidéo 32’
Hypothèse sur la surmortalité en Lombardie (Bergame) qui compte les 2 tiers des décès sur le total pour le covid-19. Une région comparable à Paris. Coexistence de plusieurs facteurs : pollution, population âgée, de type étrusque, avec une coagulation du sang non optimale (apo-type différent).

Vidéo 33.25’’
Explication de l’orage cytokinique (emballement de l’inflammation, lors de la réaction excessive du système immunitaire). Un orage cytokine se produit typiquement lors d’une interférence virale.
Vocabulaire : interférence virale
Des virus ou des bouts de virus vont se rencontrer au sein d’un organisme et occasionner une réaction inflammatoire. Dans le cas qui nous occupe, il y a une amplification délétère.
Suite à une intervention de l’OMS et une campagne de presse, les Italiens se sont faits vacciner contre la grippe en octobre 2019, surtout chez les plus de 65 ans.
Idem en janvier 2020 : Bam contre la méningite !
La situation est idéale pour que se produise une interférence virale. Quand on administre un vaccin, il faut le faire sur un organisme sain. Et quand vous avez été vacciné, il est important que le sujet ne rencontre pas un virus dans la foulée.

Vidéo 36.20’’
Étude de l’armée américaine qui a observé ce qui s’est passé avec les soldats vaccinés ou non, avec un vaccin autre que la grippe. (---)
Il faut discuter sérieusement de l’opportunité de vacciner ou non les personnes âgées alors que l’épidémie circule encore. Il y a urgence. Les risques sont augmentés de 1.5 à 2 fois, sur l’incidence respiratoire. Les médecins devraient se consulter et échanger à ce sujet.
Concernant le vaccin contre le virus corona, c’est une aberration de développer ainsi un vaccin dans l’urgence (risque des effets secondaires), en à peine 6 mois dans certains cas. Or nous sommes certains qu’il y aura des effets secondaires, suite au nouveau vaccin. IL y en a toujours. C’est le niveau de la réaction qu’il faut ajuster, afin d’en limiter l’amplitude.
On va donc tester sur des populations qui sont dans le besoin et qui veulent bien se faire vacciner (ironie). Dans ce cas de figure, c’est l’Afrique du Sud. De force, dans des centres de vaccination tenus secrets … Il y a eu des mouvements d’étudiants qui se sont insurgés contre cette situation (cobayes), mais ils sont réprimés par l’autorité.
On habille ce geste en disant qu’on va offrir le vaccin à une population en détresse, dans le besoin. Hypocrisie à faire vomir la généticienne. C’est d’un cynisme mercantile effroyable ! (---)
Rappel : Il n’existe pas de pays où la courbe des cas de contamination reste exponentielle. Il va y avoir une accalmie là aussi.

Vidéo 42.30’’
Cas du vaccin Moderna qui a un mode d’action sur l’ARN. Action sur le génome et les protéines. On ne sait pas où on met les pieds !
Fin de l’interview.

**Gaffal** Dim 30 Aoû 2020 - 17:31

Clair et net .... Tactique Coronavirus - Page 5 4179239413

un petit bonus : article INSEE : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

qui pourrait aussi aller dans le sens de la carence en D3 chez certaines populations
à la pigmentation peu adaptée à nos latitudes...

**Luc** Dim 30 Aoû 2020 - 18:38

Gaffal a écrit:un petit bonus : article INSEE : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
qui pourrait aussi aller dans le sens de la carence en D3 chez certaines populations
à la pigmentation peu adaptée à nos latitudes...

Oui, bien vu. Les personne immigrées, ont un phénotype de peau différent: elles sont davantage protégées contre l'exposition aux UV. Logique. Elles stockent donc moins bien la vitamine D si elles séjournent au-delà du 48ème parallèle (au nord de Bordeaux).

Toutes causes confondues, les décès en mars et avril 2020 de personnes nées à l’étranger ont augmenté de 48 % par rapport à la même période en 2019, contre + 22 % pour les décès de personnes nées en France. La hausse a été la plus forte pour les personnes nées en Afrique (+ 54 % pour les décès de personnes nées au Maghreb, + 114 % pour celles nées dans un autre pays d’Afrique) ou en Asie (+ 91 %).
Le pic des décès a été atteint fin mars-début avril, au même moment quel que soit le pays d’origine des personnes décédées.

**Gaffal** Dim 30 Aoû 2020 - 23:27

La vraie question fondamentale que je me pose
maintenant que , selon des probabilité accablantes,
     le corona à eté bricolé avec des sequences ARN VIH :

Est ce que l' experience à fonctionné ?
est que
    en ayant chopé le virus vecteur des sequences de VIH ajoutées
        nous sommes vacciné contre le VIH ??

Au moins , sa serait LA bonne nouvelle !!    Tactique Coronavirus - Page 5 2380661073

**Luc** Ven 4 Sep 2020 - 17:49

Plantes adaptogènes pour lutter contre les séquelles résiduelles du virus covid-19 et faciliter la réadaptation, chez 5 à 10 % des patients.

Syndrome post-Covid : nos solutions exclusives
Article SCE 09/2020

Encore sous le choc du pic du printemps, une vague « post-covid » vient de prendre de court le corps médical. Ce virus serait plus vicieux que nous le pensions, laissant parfois des traces dans l’organisme même chez les cas modérés. Malgré un diagnostic délicat de ce syndrome post-covid, découvrez nos trois remèdes naturels pour vous remettre sur pied.
Par Didier Le Bail. IL est naturopathe, journaliste santé et auteur de plusieurs ouvrages, dont un de référence sur la vitamine D. Son site : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

On s’attendait à ce que les patients gravement atteints par la Covid-19 connaissent une convalescence difficile, mais certainement pas à ce qu’autant de patients, modérément touchés par la maladie, soient exposés à une résurgence de ses signes. L’ensemble de ceux-ci constitue ce qu’il est désormais convenu d’appeler le syndrome post-covid.
En juillet 2020, on estimait qu’entre 5 et 10 % des personnes touchées seraient concernées par ce syndrome. Soit autour de 13 000 personnes en France. Pas étonnant, donc, que les témoignages affluent sur les réseaux sociaux et dans la presse.
Parmi les symptômes qui vont et viennent les plus rapportés : perte de l’odorat, fatigue persistante, démangeaisons, difficultés à respirer, essoufflement...
Cette « vague post-infectieuse » a pris de court le corps médical, qui a d’autant plus de mal à cerner le syndrome post-covid que les examens, la plupart du temps, ne font rien apparaître de particulier.
Confrontés à l’incertitude du lendemain et à l’impuissance des médecins, des patients ont pris l’initiative de créer des groupes pour recueillir des témoignages.

Témoignage
Elle-même touchée par la maladie depuis mi-mars, Emmanuelle Mougenot, coordinatrice d’études cliniques à l’hôpital d’Auxerre, a décidé d’apporter sa pierre à l’édifice en lançant un questionnaire au succès grandissant puisque près de 2 000 personnes confrontées au syndrome post-covid l’avaient déjà rempli à la fin juin.
Que révèle ce questionnaire ? Primo, que les répondants sont à 80 % des femmes ; deuxio, que la tranche d’âge la plus concernée parmi les répondants est celle de 30 à 50 ans ; tertio, qu’une grande majorité des répondants n’ayant pas guéri ressentent des symptômes depuis plus de 60 jours. Et qu’en est-il, justement, de ces symptômes ?
Les symptômes initiaux ayant affecté plus de la moitié des répondants sont – par ordre décroissant – fatigue, maux de tête, essoufflement/douleur thoracique, courbatures/douleurs musculaires. Quant aux symptômes post-covid dominants, ce sont les mêmes dans un ordre légèrement différent : fatigue (80 % des cas), essoufflement/douleur thoracique (50-55 %), maux de tête (50 %), et douleurs musculaires/courbatures (35 %).
Cela rejoint les observations de l’infectiologue Benjamin Davido de l’hôpital de Garches. Dans une interview accordée à Medscape France, il déclare ainsi que « les symptômes les plus fréquents sont la fatigue, voire l’épuisement, les douleurs musculaires et la sensation d’une oppression thoracique ». Il a également noté que les personnes le consultant pour le syndrome post-covid étaient à 80 % des femmes plutôt jeunes (autour de la quarantaine). Des femmes confrontées à « des symptômes fluctuants assez violents, avec des épisodes de malaise au fort retentissement sur la vie quotidienne ».

4 points à retenir
1. Il n’est pas rare que des infections virales soient suivies d’une convalescence difficile marquée par des hauts et des bas mais aussi par une constante : la fatigue, voire l’épuisement.
C’est aussi le cas de la mononucléose infectieuse, due au virus Epstein-Barr (dont la plupart des humains sont des porteurs sains). Cette maladie virale se déclare surtout chez des jeunes adultes soumis à un stress élevé/ prolongé, que ce stress soit de nature psychologique (préparation d’examens) ou physique (activité sportive à haute intensité). Le rétablissement complet n’intervient qu’après une période de convalescence plus ou moins longue de quelques semaines à plus d’un an, parfois !
2. Les femmes sont beaucoup plus touchées que les hommes, surtout autour de la trentaine et de la quarantaine.
En matière de maladies auto-immunes, le constat est exactement le même. Il ne paraît donc pas idiot de penser qu’il puisse exister une composante auto-immune dans le syndrome post-covid. Le Dr Davido et ses collègues de l’hôpital de Garches ont rapidement exploré cette piste, incluant un bilan de l’auto‑immunité dans leur batterie d’examens. Résultat : des traces d’auto-immunité dans un nombre de cas très réduit… et des bilans on ne peut plus normaux dans 90 % des cas ! Bref, une explication à la marge, même si c’est un fait que la femme – sans doute parce qu’elle est porteuse de la vie – a un système immunitaire plus « réactif » que celui de l’homme.
3. Ce syndrome s’apparente à un syndrome de désadaptation et devrait être soigné comme tel.
La santé est affaire d’équilibre. En l’occurrence, le virus a semé un tel désordre dans certains organismes que le retour à l’équilibre de santé prend beaucoup plus de temps que prévu. D’un point de vue vitaliste, la santé dépend de la capacité à s’adapter aux contraintes imposées par l’environnement, à répondre aux facteurs de stress de toutes sortes qui éprouvent, à des degrés divers, l’organisme corps-mental. Dans le cas présent, l’intrusion d’un ennemi inconnu et potentiellement dangereux (covid-19) a occasionné un stress biochimique intense. Et chez certains, le stress a été tel que leur organisme ne serait pas contre un petit coup de pouce pour l’aider à retrouver son équilibre perdu.
Ce petit coup de pouce bienvenu peut être apporté par les plantes dites « adaptogènes ». Le concept moderne d’adaptogène a été défini il y a un demi-siècle par des scientifiques russes financés par l’armée soviétique, alors en quête de « fortifiants » naturels capables de redonner de la vigueur et d’améliorer les performances des militaires et des élites du pays. Leurs recherches ont principalement porté sur l’éleuthérocoque et la rhodiole. L’éleuthérocoque, pour ne citer que lui, a été utilisé pendant des années par les cosmonautes de la station Mir.
La liste des plantes adaptogènes majeures est relativement restreinte. On y trouve notamment le ginseng asiatique (Panax ginseng), le ginseng américain (Panax quinquefolius), l’éleuthérocoque (« ginseng de Sibérie »), l’ashwagandha (« ginseng indien »), le schisandra et la rhodiole. Si la plupart de ces plantes sont stimulantes, il en est deux qui se révèlent à la fois tonifiantes et calmantes : la schisandra… et l’ashwagandha ! D’où le fait que l’ashwagandha soit à la fois conseillé en cas d’épuisement (action tonifiante) et d’anxiété (action calmante).
Or, le paramètre anxiété est bien présent dans le syndrome post-covid, amplifiant certains symptômes tels que les palpitations par exemple.
4. Les épisodes aigus de ce syndrome ressemblent à des réactions d’Herxheimer.
La recrudescence ponctuelle des symptômes fréquemment observée chez nombre de patients évoque un « Herx », diminutif médical de la réaction d’Herxheimer. C’est quoi, un
Herx ? C’est une réaction inflammatoire aiguë et généralisée provoquée par le système immunitaire à la suite de la libération d’une trop grande quantité de déchets et toxines de micro-organismes nuisibles (bactéries, virus, parasites…). Plus la charge toxique outrepasse les capacités d’élimination de l’organisme, plus la réaction inflammatoire est intense et plus les symptômes sont marqués. La réaction d’Herxheimer survient classiquement lors de traitements d’infections bactériennes, fongiques et parasitaires.
Parmi les symptômes habituels figurent notamment malaises, douleurs musculaires, céphalées, palpitations, essoufflement, fatigue, autant de symptômes que l’on retrouve dans le syndrome post-covid.
Le Dr Davido partage cette approche, considérant lui aussi que ces réactions inflammatoires témoignent du fait que le système immunitaire s’active pour éliminer les déchets viraux, au risque de provoquer l’apparition de symptômes désagréables lorsque la charge toxique à gérer est trop forte. L’idéal, bien entendu, serait de pouvoir éviter ces réactions d’Herxheimer.
À cette fin, je recommande de recourir aux enzymes, des substances protéiques qui facilitent et accélèrent les réactions biochimiques se produisant dans l’organisme. Les enzymes les plus efficaces dans cette tâche sont celles « fermentées en cascade ».
La fermentation en cascade des enzymes a été mise au point par un Allemand, le Dr Niedermaier. Il est parti de l’idée de reproduire le processus naturel de cascades enzymatiques de l’organisme humain.
Son procédé consiste en une succession de fermentation de végétaux et l’un des « trucs » consiste à récupérer et réemployer une partie de la fermentation précédemment réalisée. On ne connaît pas tous les détails du procédé, mais toujours est-il que les enzymes sont à ce point décomposées et « libérées » que le produit est assimilable par voie sublinguale et donc en capacité d’agir en l’espace de quelques secondes !
Ces enzymes vont assurer un nettoyage du sang encombré de déchets et, de surcroît, contribuer à désacidifier l’organisme. Pour ne pas risquer de générer ou d’exacerber les crises d’élimination, il convient d’augmenter les doses très progressivement et de réduire les dosages, voire de cesser momentanément la prise du produit en situation de Herx déclaré.
En cas de réactions d’Herxheimer sévères, le recours au glutathion sublingual ou liposomal est fortement conseillé. Roi des antioxydants, le glutathion s’oppose aux processus inflammatoires et facilite l’élimination des toxines.

**Luc** Ven 4 Sep 2020 - 17:50

Vos 3 chevaliers post‑covid
● Ashwagandha
Conseils d’utilisation : de l’ordre de 600 à 800 mg par jour, 7 jours sur 7 pendant 6 semaines max puis, au besoin, 5 jours sur 7, jusqu’à nette amélioration de l’état général.
À noter que l’ashwagandha a une action hypolipidémiante légère (HDL-C, triglycérides), hypoglycémiante légère et antihypertensive légère.
Produit conseillé : Ashwagandha Bio (Nutrixéal)
● Enzymes fermentées en cascade
Conseils d’utilisation : 10 ml 2 fois par jour, de préférence le matin à jeun et le soir avant le coucher. À prendre pur, sauf si sensibilité digestive, auquel cas on peut diluer le produit dans un peu d’eau (éviter l’eau du robinet). Conserver le produit en bouche le plus longtemps possible (au moins 1 minute), avant de l’avaler après l’avoir bien mélangé à sa salive.
Augmenter les doses progressivement pour parvenir, au bout de 7 à 10 jours, à 10 ml 2 fois par jour. À prendre pendant 2 à 3 mois pour une action profonde.
Produit conseillé : Régulatpro Bio (Nature à Coeur)
● Glutathion
Conseils d’utilisation : la dose efficace se situe autour de 500 mg par jour. À prendre en parallèle de la cure de Régulatpro Bio.
Produit conseillé : le glutathion sublingual de Nutrixéal : GSH Forte.
Le glutathion sublingual se présente sous la forme de comprimés orodispersibles à laisser fondre de préférence sous la langue ou entre la joue et la langue. Ne pas hésiter à déplacer le comprimé dans la bouche de temps en temps au cours de la prise. Un comprimé de GSH Forte apporte 150 mg de glutathion.
La forme sublinguale permet de zapper complètement le tube digestif et donc d’éviter la dégradation du glutathion lors de la digestion.
Didier Le Bail

**Luc** Ven 4 Sep 2020 - 19:10

Mise en évidence d'un passage issu de l'article:

Herx ? C’est une réaction inflammatoire aiguë et généralisée provoquée par le système immunitaire à la suite de la libération d’une trop grande quantité de déchets et toxines de micro-organismes nuisibles (bactéries, virus, parasites…). Plus la charge toxique outrepasse les capacités d’élimination de l’organisme, plus la réaction inflammatoire est intense et plus les symptômes sont marqués. La réaction d’Herxheimer survient classiquement lors de traitements d’infections bactériennes, fongiques et parasitaires.

Info utile pour apprendre à gérer une crise de guérison, afin d'éviter une surcharge et que ça tourne en rond, en finissant par induire une réaction excessive du système immunitaire.

Désencrassage ou crise de guérison:
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=> Comprendre la structure d’une endotoxine lipopolysaccharide (LPS)

**Gaffal** Dim 25 Oct 2020 - 8:33

une heure de rabb ce matin , consacrez donc ce bonus temps à ces video

l' essais espagnol est edifiant ! quoique faible cohorte et grosse dose de calcitriol .. certainement des effets secondaires aussi...

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puis pour bien cerner les leviers d' action de D3 et calcitriol avec un sympathique accent brésilien bounce

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Bref voila pourquoi les virus respiratoires reprennent du service à l' automne ...

**Luc** Mar 27 Oct 2020 - 20:53

pour bien cerner les leviers d' action de D3 et calcitriol avec un sympathique accent brésilien

oui, mais attention à la particularité du covid-19.
OK en prévention pour recharger avec 5.000 UI de D3 (avec de la K2) mais je me limiterais à 2.000 UI en période d'infection, passé les 2 à 3 1ers jours.
Pourquoi? Le recepteur ACE2 pourrait être une porte d'entrée du virus et faciliter ainsi la multiplication / la dissémination.
Nous n'avons pas assez de recul.

Autre étude intéressante: Aspirine et virus Covid-19
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Cette étude montre que le simple fait de prendre de l’aspirine à faible dose (81 mg) réduit le risque de 47%.de mourir du covid-19.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
October 22, 2020
Source: University of Maryland School of Medicine
Summary:
Hospitalized COVID-19 patients who were taking a daily low-dose aspirin (81mg) to protect against cardiovascular disease had a significantly lower risk of complications and death compared to those who were not taking aspirin, according to a new study.
Aspirin takers were less likely to be placed in the intensive care unit (ICU) or hooked up to a mechanical ventilator, and they were more likely to survive the infection compared to hospitalized patients who were not taking aspirin,
The researchers found aspirin use was associated with a 44 percent reduction in the risk of being put on a mechanical ventilator, a 43 percent decrease in the risk of ICU admission and -- most importantly -- a 47 percent decrease in the risk of dying in the hospital compared to those who were not taking aspirin. The patients in the aspirin group did not experience a significant increase in adverse events such as major bleeding while hospitalized.
Those at increased bleeding risk due to chronic kidney disease, for example, or because they regularly use certain medications, like steroids or blood thinners, may not be able to safely take aspirin, he added.

Commentaire: Il s'agit de patients en phase aigüe du covid-19. Là, on cherche à faire baisser la réaction auto-immune excessive (avec un dérivé de la cortisone, probablement). L'aspirine va ici fluidifier le sang, à un faible dosage.
Je ne procéderais pas ainsi chez un patient peu symptomatique afin de ne pas contrarier les défenses immunitaires. Mais à ce faible dosage, ça pourrait / devrait passer et ne pas contrarier le travail des lymphocytes NK. Bénéfices supérieurs. Vaut le risque.
Mais je prendrais plutôt, sur une base régulière, de la vitamine E (400 UI, en mix toco) et 1 à 2 gélules d'oméga-3 (500 mg x 2. Du Krill par exemple, pour aider à fluidifier le sang.

**Luc** Mer 28 Oct 2020 - 21:35

Les patients décédés du covid-19 ont presque tous montrés des signes avancés de "problèmes de coagulation sanguine" dans tous les vaisseaux; pas seulement dans les artères qui mènent au coeur.

Some patients are known to develop blood clotting issues, but the degree and the extent to which that occurs was described as “dramatic” by Rapkiewicz.

“What we saw at autopsy was sort of an extension of that,” she said. “The clotting was not only in the large vessels but also in the smaller vessels.

“And this was dramatic, because though we might have expected it in the lungs, we found it in almost every organ that we looked at in our autopsy study,” she said. Rapkiewicz’s study outlining her findings was published at the end of June in The Lancet journal EClinicalMedicine.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Dr. Amy Rapkiewicz, the chairman of the department of pathology at NYU Langone Medical Center, spoke to Erin Burnett on OutFront Thursday night (CNN, Jul 10, 2020) (Report on fox8.com/news).
NB: Le Lien n'est pas opérationnel si vous ne vous connectez pas avec un VPN directement. Limitation géographique. Vu via connection VPN Canada.

**Luc** Mer 28 Oct 2020 - 21:39

Après lecture de cet article, Kate Deering a contacté Ray PEAT pour lui demander son avis, sur le lien entre l'excès de sérotonine et les problèmes d'embolies (blood clotting).

Partie 1: Kate DEERING

Blood clots, serotonin and COVID-19
After listening to Dr. Peat's last interview on One Radio Network, I started to wonder about the effects of high serotonin in relation to the symptoms of COVID-19.
First, let's talk about serotonin.
-95% of serotonin is produced in the gut. When you are stressed, you produce MORE estrogen, cortisol AND SEROTONIN, not less. Diarrhea, nausea, vomiting, migraines, anxiety, and sweating are all related to excess serotonin.
-Serotonin is NOT the happy hormone you have been lead to believe. Increasing serotonin CAN increase gut motility, this alone can make someone "feel" better.
-Estrogen can promote serotonin. Serotonin can promote estrogen. Both can promote cortisol.
-Serotonin can activate all the system of the body that promote cortisol--pituitary, adrenals, and brain.
-Starvation and diabetes can increase serotonin in the brain
-On the microscopic level, stress, serotonin, and cortisol cause changes in cell structure,
-Learned helplessness and serotonin are strongly correlated.
When the gut is irritated by stress (bacteria, endotoxin, fibrous foods, chemicals, drugs, alcohol, crappy thinking, and/or corona viruses), serotonin production increases. The lungs are the main detoxifier of serotonin. When the lungs are damaged (which can happen with age, pollution, respiratory illness, or even a heater that is run all day long), detoxification decreases. When this happens, serotonin can build up in the blood, leading to serotonin toxicity or serotonin syndrome. One common symptom of serotonin syndrome is blood clotting...
Here are the other symptoms of excess serotonin:
Early stages
-Diarrhea
-Nausea
-Sweating
-Anxiety
-Fever
Serotonin syndrome complications include:
-Seizures
-Decreased Oxygen in the blood--lower O2 saturation
-Small blood clots in your bloodstream
-Muscle damage called rhabdomyolysis
-High acid levels called metabolic acidosis
-Kidney failure
-Elevated D-Dimer
-Fluid in the lungs, called acute respiratory distress syndrome (ARDS)
-Cardiovascular disease
Hmmm, these complications look VERY familiar.
Hint: CV-19
Essentially, the more stress you place upon the body, the more serotonin will be produced. If you add in lung issues, you may have a BIG problem. Serotonin syndrome can also occur from medications that increase serotonin levels, these include most antidepressants (SSRI's, SNRI's, MAOI's) pain meds (opioids), and recreational drugs (cocaine, MDMA) plus the cough medicine dextromethorphan.

Résumé: La sérotonine en excès est une hormone induisant un stress. Une voie d'évacuation est via les poumons. Lorsque l'organisme est débordé, il y a acidose et de nombreuses altérations, dont les voies respiratoires et les vaisseaux.

**Luc** Mer 28 Oct 2020 - 21:51

Partie II
Réponse du Ray PEAT à Kate DEERING:
I asked Dr. Peat about the serotonin-blood clot-CV connection: here is his response:

"The coronas, like polio, have a strong tendency to grow on the intestine (also heart, lungs, blood vessels), and the (or any) inflammation in the bowel releases large amounts of serotonin, histamine, and endotoxin into the blood, adding to any lung problem from direct infection.
The angiotensin system increases estrogen, prostaglandins, nitric oxide and other inflammation mediators, so many anti-inflammatory things help with this virus. Before big stringy, plugging clots form, the thin fibrin film that always coats red blood cells and the inside of capillaries begins getting thicker as the equilibrium between forming and dissolving the fibrin film shifts toward faster forming, and oxygenation of tissues lags behind deoxygenation of blood cells.
Lactic acid formation in response to hypoxia and stress signals adds to the inflammation of the lungs, causing them to take up water even if they aren’t infected."

-Dr. Ray Peat

En résumé: En cas de stress et d'inflammation, de larges quantités de sérotonine sont sécrétées, ainsi que de l'histamine et des endotoxines, compliquant l'homéostasie en cas de problèmes des voies respiratoires.
Tout ce qui est anti-inflammatoire aidera à combattre le virus.
Avant ça, avant la formation des caillots (fibrine), il faut veiller à l'oxygénation des tissus et contrecarrer tout ce qui est fibrinogène (altération des vaisseaux).

Suite du commentaire de Kate DEERING:
Unfortunately, serotonin syndrome (SS) is not well recognized by most physicians. Normally, SS is diagnosed when a patient has consumed substances that have increased serotonin. Not, when they have a virus.
Of course, this is all speculation on my part. I am not saying HIGH serotonin is the entire problem in COVID-19 patients, BUT it COULD be part of the problem, and worth checking out--especially considering a drug with anti-serotonin properties is showing promise in treating COVID-19 patients.
"Famotidine (aka Pepcid AC) Use is Associated with Improved Clinical Outcomes in Hospitalized COVID-19 Patients".
"Conclusion: Famotidine use is associated with reduced risk of intubation or death in hospitalized COVID-19 patients."
doi: https://doi.org/10.1101/2020.05.01.20086694
*The current article is a pre-print, so has not been peer-reviewed, yet, it does show promise as a possible treatment for COVID-19 patients.

**Luc** Mer 28 Oct 2020 - 21:53

Un lecteur du forum de RP, md_a, met en évidence les molécules qui peuvent aider
Want to know what else can reduce serotonin levels?
(from md_a member on R. PEAT forum)
-Decreasing digestive distress. Eat easy to digest foods. Remove hard to digest foods like nuts, seeds, beans, and raw leafy vegetables.
-Eat a raw carrot salad every day
-Use coconut oil
-Remove/reduce the polyunsaturated fats
-Remove/reduce estrogenic foods and substances: soy, birth control, ERT, HRT, alcohol, etc.

Also, here are a list of other supplements that can help reduce serotonin
Cyproheptidine
Aspirin
Cascara sagrada
Amino acid theanine
Niacinimide
Thyroid

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*Disclaimer: This article is for educational purposes only. I am not a doctor and am not suggesting that anyone stop their medications. Please talk to your doctor before getting off ANY medications.

Invité Jeu 29 Oct 2020 - 9:42

and worth checking out--especially considering a drug with anti-serotonin properties is showing promise in treating COVID-19 patients

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Le prucalopride est un dihydrobenzofurane-carboxamide possédant des effets procinétiques sur l'appareil digestif. Le prucalopride est un agoniste sélectif des récepteurs de la sérotonine (5-HT4) à forte affinité, ce qui est susceptible d'expliquer ses effets procinétiques. In vitro

Donc peut-être que la prise de resolor peut aider.
Je prends de l'aspegic, en ce moment tous les jours (thrombocytemie), du glutathion réduit Ixeal

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:
Par voie orale, le glutathion présente une faible biodisponibilité³⁰‌ ³¹‌ ³²‌ car ce petit peptide est rapidement dégradé au niveau intestinal. C'est pourquoi, il est proposé sous différentes galéniques pour améliorer ou non son assimilation.

Sublingual: à mettre sous la langue. Le glutathion est bien assimilée sous cette forme, mais les quantités absorbées sont très faibles
Gélules ou comprimés classiques: il est rendu inactif par les acides de l'estomac.
Gélules gastro-résistantes: il est protégé de l'impact de l'estomac pour être libéré dans l'intestin. C'est donc une formule performante
Forme liposomale: le glutathion est encapsulé dans des micro-particules de graisse. Cela le rend résistant aux acides gastriques et lui permet aussi d'être mieux assimilé par l'intestin. C'est la forme la plus puissante.

mais il semblerait qu'il faille opter pour la forme liposomale. J'ai également 4 jours/semaine ma supplémentation en vitamines du groupe B dont de la niacinamide, des omegas 3 epax XO syabilisés avec des tocotrienols (3mg/gélule), de l'ubiquinol Kaneka 100mg avec également des tocotrienols (7.5 mg/gélule) --> 4 jours/semaine + des vitamines D3/retinols émulsionnées ADP biotics et K2 mk 7 micro-encapsulée.
Voila pour le principal

Je me demande toutefois si la prise de ces compléments (tu connais mes pathologies), n'est pas susceptible de différer les symptômes de départ du covid et par la même la prise en charge...

**Luc** Jeu 29 Oct 2020 - 10:47

darky35 a écrit:
Je me demande toutefois si la prise de ces compléments (tu connais mes pathologies), n'est pas susceptible de différer les symptômes de départ du covid et par la même la prise en charge...

Non, je ne le crois pas. J'explique.
Quand tu prends certains suppléments du genre aspegic ou vitamime E ou vitamine K2, tu maintiens un réseau en bon état de fonctionnement, sans altération des voies de communication (membranes des vaisseaux et fluidité sanguine).
Ce serait différent si c'était dans le seul but de tolérer un excès / une surcharge. Exemple, je prends une double dose d'anti-histaminique pour pouvoir manger des fraises 2 fois par jour + les tomates du jardin, boire 2 Kawas, et continuer à manger du poisson en conserve...
Cela n'empêchera pas le covid de se déclarer mais tu limiteras l'emballement du système.
Tu récupéreras mieux aussi si tu sais comment gérer l'excès de sécrétion (mucus), sans contrarier la machinerie.
En ce qui concerne le transit et l'état de la "tuyauterie", je ne suis pas assez expert pour connaitre les effets collatéraux. Mais si tu veilles à la continuité du transit, sans trop de fermentation, et à un apport d'énergie sans surcharge inutile, cela devrait ne pas avoir trop d'incidence sur les effets résiduels du covid, sachant qu'il faudra une période de récup. (...).

**Luc** Mar 3 Nov 2020 - 20:06

Patients covid-19 avec auto-anticorps antiphospholipides
Source : Johanne Montay, journaliste RTBF 03/11/20

Lorsqu’un patient est infecté par le SARS-CoV-2, il déclenche une réaction immunitaire contre l’intrus. Au contact de l’antigène du virus, notre organisme produit des anticorps. Lorsqu'il s'agit de COVID sévères, des chercheurs de l’Emmory University (Atlanta, Géorgie) ont identifié la présence d’autoanticorps, qui se retournent non plus contre le virus, mais contre le corps par une réponse auto-immune.

Certains de ces autoanticorps, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], ce qui peut mener à des accidents vasculaires ou des embolies pulmonaires… Pour éviter ces thromboses (caillots sanguins) chez les patients admis aux soins intensifs, on adjoint aujourd’hui des anticoagulants à leur traitement.

Leur découverte n’a pas encore fait l’objet d’une publication revue par les pairs. Mais elle est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Les Dr Ignacio Sanz et Eu-Hyung Lee ont identifié l’activation d’anticorps autoréactifs comme élément récurrent dans les COVID-19 sévères. Pour ce faire, ils ont collecté rétrospectivement les données de 31 patients malades à un stade critique, sans antécédent de maladies auto-immunes, et traités entre le 1er juin et le 2 juillet 2020 dans 2 unités de soins intensifs d’Atlanta, en Géorgie.
Certains de ces autoanticorps, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], ce qui peut mener à des accidents vasculaires ou des embolies pulmonaires… Pour éviter ces thromboses (caillots sanguins) chez les patients admis aux soins intensifs, on adjoint aujourd’hui des anticoagulants à leur traitement.
Un signal d’alarme
Pour l’immunologue de l’ULB, le Professeur Michel Goldman, cette étude suggère que ces anticorps antiphospholipides contribuent à ces caillots, mais ils ne sont sans doute pas les seuls. Constater leur présence dans les COVID sévères ne permet pas de les en rendre seuls responsables : "Cela peut servir de signal d’alarme, chez les patients chez lesquels on trouve ces autoanticorps. On se dira "cette personne-là, il faut qu’on la suive, si ces anticorps persistent, il faudra peut-être lui administrer des anticoagulants plus longtemps. Maintenant, se pose la question : d’autres autoanticorps qui sont associés à des maladies rhumatismales peuvent-ils expliquer des complications à plus long terme, et intervenir dans ce que l'on appelle les COVID de longue durée ?"
Le SARS-CoV-2 n’a pas encore livré tous ses secrets, loin de là. La recherche pourra pousser plus loin ces investigations, en espérant trouver des pistes de traitement associées.

NDLR : 1 Aspégic nourrisson par jour (100 mg en poudre) pourrait aider en cas de contamination. Pas plus sinon, vous contrecarrez les défenses immunitaires.
En prévention, 350 à 500 mg salicine ou aspirine effervescente 2H avant le coucher.

Invité Mer 4 Nov 2020 - 9:26

Intérressant, merci Luc

NDLR : 1 Aspégic nourrisson par jour (100 mg en poudre) pourrait aider en cas de contamination. Pas plus sinon, vous contrecarrez les défenses immunitaires.
En prévention, 350 à 500 mg salicine ou aspirine effervescente 2H avant le coucher.

+ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]--> mélange de tocophérols/tocotriénols. L'huile d'olive crue (2 à 4 cuillères à soupe/jour) apportera du bon cholestérol (HDL) qui aidera à gérer les endotoxines en plus de son coté bénéfique sur la circulation et une supplémentation peut être envisagée en période de crise/contamination par le COVID.
Avertissement, attention si vous êtes déjà sous anti-coagulants...

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:La vitamine E n’est vraiment salutaire qu’à la seule condition d’être complète.
Qu’est-ce que cela veut dire ?
Cela veut dire qu’elle doit contenir tous les tocotriénols et tocophérols.

**Luc** Mer 4 Nov 2020 - 12:12

ok pour la vitamine E mais il faut nuancer davantage.
1. Il existe 8 isomères (4 tocophérols et 4 tocotriénols; alpa, bêta, delta, gamma).
Il est exact que le résultat sera meilleur avec une forme complète; comprenez avec les 2 sortes de toco.
Si le budget est limité, on peut se contenter de minimum 2 isomères, souvent des tocophérols alpha et gamma, souvent dans des proportions de +/ 80/20.
mais si l'on veut en plus une action anti-inflammatoire, les tocotriénols sont davantage efficaces.
Mais le prix va alors sûrement monter.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Ce n'est pas ce produit que je prends (lien) mais l'explication est assez complète; peut-être trop fouillée pour un lecteur lambda.
Ce qu'il faut retenir:
- au minimum 2 isomères.
- si vous trouvez une forme complète (avec 8 isomères) à un prix raisonnable, c'est très bien mais pas obligatoire.
Je prends NOW Advanced Gamma E Complex
120 softgels (mixed tocopherols and toctrienols).
1 gélule de 400 mg tous les 3 jours, en temps ordinaire.
Si vous voyez "tocomin", c'est un label de qualité.
Infos supplémentaires sur ce forum. Je reviens avec un lien.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
PS: On ne prend pas un supplément de K2 et de vit E au même repas (saturation des transporteurs). Avec un peu de matière grasse évidemment pour la vit E (bcp + pour la vit K).

**Luc** Ven 6 Nov 2020 - 11:33

Réapprendre à sentir avec quelques exercices quotidiens, ça marche vraiment !
Source : CHU de Liège : réapprendre à sentir et goûter après le covid-19
CHU : Centre Hospitalier Universitaire

La perte du goût et de l’odorat, c’est un des symptômes fréquents du Covid-19. Ce sont aussi des séquelles qui peuvent perdurer plus ou moins longtemps. Consulter un ORL est parfois nécessaire mais en cette période de pandémie, de plus en plus de personnes hésitent à prendre rendez-vous chez un médecin que ce soit en cabinet ou à l’hôpital. Le Docteur Anne-Lise Poirier, ORL au CHU de Liège, s’en est rendu compte. Avec son service, elle a donc décidé de proposer aux patients des exercices à domicile pour retrouver goût et odorat. Des exercices, des astuces à retrouver sur le site du CHU.
4 odeurs, 1 à 2 fois par jour
Si la majorité des malades du Covid-19 récupèrent goût et odorat, cela met du temps et certains n’y parviennent pas : " de ce qu’on connaît, il y a un risque mais heureusement 8 à 9 patients sur 10 ont récupéré ces sens après 4 mois mais 4 mois, c’est long parce que c’est très handicapant. On passe notre vie à manger et c’est important de manger de façon variée en choisissant des bons aliments notamment pour booster son immunité", explique le Dr Poirier.
Alors pour accélérer les choses, on peut pratiquer quelques exercices. Pas besoin de matériel de professionnels : "il existe évidemment des kits prêts à l’emploi qui sont vendus mais ça a évidemment une durée limitée puisque les odeurs sont volatiles et ça finit par alourdir le budget familial par contre ce n’est pas compliqué d’aller sélectionner des odeurs simples dans sa cuisine par exemple du citron, des clous de girofle, de l’eucalyptus mais aussi du basilic et autres odeurs simples. On s’entraîne à respirer quelques secondes par odeur à raison de 4 odeurs par jour. Si on a l’occasion, on peut le faire deux fois par jour c’est encore mieux. Ça marche vraiment. Il y a vraiment une régénération des neurones olfactifs démontrée dans des études avec des groupes contrôle", ajoute Anne-Lise Poirier.

PS: Le cerveau a besoin de réinitialiser certains capteurs. Choisissez plutôt une odeur qui vous était +/ déjà familière. ça peut prendre du temps: N'attendez pas un retour direct...

**Luc** Dim 8 Nov 2020 - 22:27

Coronavirus : des lésions neurologiques et des troubles psychiatriques pour les patients post-Covid
Source : Marianne Klaric, RTBF 08/11/2020
"Les conséquences psychiatriques du Covid sont devant nous", c’est le titre d’un article publié en septembre 2020 par des chercheurs de l’Université Paris-Est Créteil. On y apprend que les patients Covid ont un risque très élevé de développer, à la suite de leur infection, des troubles psychiatriques. Une étude italienne publiée en août 2020 révèle que le suivi de 402 patients adultes infectés par le coronavirus a montré la présence de 28% de TSPT (troubles post-traumatiques) , 31% de dépressions, 42% d’anxiété, 20% de troubles obsessionnels et 40% d’insomnies dans les mois qui ont suivi leur infection.
Un constat confirmé par le docteur Gérald Deschietere, psychiatre responsable de l’unité de crise aux Cliniques universitaires Saint-Luc à Bruxelles : "Nous rencontrons des personnes qui développent des troubles anxiodépressifs après avoir contracté le Covid-19. Ils ont très peur de le rattraper dans une forme plus grave. Ils développent des symptômes de conduite d’évitement assimilés à du stress post-traumatique. Ce qu’ils ont vécu, les images vues à la télévision, les amène à être hyperprudents. Ils peuvent également développer des troubles du sommeil".
Une action directe du Covid-19 sur le cerveau
Dans l’article de l’Université de Paris-Est Créteil, citée ci-dessus, on peut lire "qu’il est à craindre que la pandémie Covid-19 ait des conséquences psychiatriques à la fois en raison de l’action directe de l’infection sur le cerveau mais aussi comme conséquence de la réponse immuno-inflammatoire à l’infection, en particulier de la tempête cytokinique qui fait suite à l’infection et dont on peut anticiper l’effet déclencheur sur les maladies mentales".
Les chercheurs ont en effet pu démontrer que le Covid-19 pouvait endommager le cerveau. "Ce que l’on sait, nous explique le docteur Gérald Deschietere, c’est que l’inflammation dégrade la structure de certains neurones, diminue de nombre de synapses et de dendrites, que la réponse inflammatoire peut créer des morts de neurones. Certains patients sont plus à risque que d’autres. Il y a là tout un champ de recherche qui s’ouvre".
Les cliniciens, radiologues et neurologues l’ont constaté récemment, le SARS-CoV-2 peut entraîner des lésions neurologiques, qui s’ajoutent aux lésions cardiologiques, hépatiques ou rénales. Le 31 mars 2O2O, deux neurologues américains relèvent un cas d’encéphalopathie hémorragique aiguë nécrosante chez une patiente Covid. Cette pathologie résulterait d’une quantité très élevée de molécules inflammatoires (cytokines) produites par le système immunitaire et ayant gagné le cerveau.
Elle a vu des lions et des singes dans sa maison
En septembre 2020, la revue Nature publie un article interpellant : une femme, la cinquantaine, a vu des lions et des singes dans sa maison. Elle s’est montrée désorientée et agressive, était convaincue que son mari était un imposteur. Elle n’avait aucun antécédent psychiatrique, mais elle avait contracté le coronavirus.
Une neurologue de l’Université de Liverpool, en Grande Bretagne, Bénédicte Michael, part de l’hypothèse que ces lésions neurologiques sont causées par cette fameuse sur stimulation du système immunitaire. Elle rapporte le cas de 125 personnes chez qui Covid-19 a eu des effets neurologiques et psychiatriques. 31% d’entre eux ont subi des altérations de l’état mental, comme de la confusion ou une inconscience prolongée. Dix d’entre eux ont développé des psychoses. Cela concernait des patients qui n’avaient pas de facteurs risques spécifiques.
Les médecins s’inquiètent de ces symptômes neurologiques et psychiatriques. A moyen terme, des dizaines de milliers de personnes ayant eu le Covid pourraient développer ces symptômes.
Un médecin urgentiste s’est suicidé à New York avoir contracté le Covid
Le Journal of American Medical Association souligne que le personnel soignant de première ligne est particulièrement exposé au risque de troubles psychiatriques. Et il rappelle le cas de ce médecin urgentiste, une femme, qui s’est suicidée en avril 2020, après avoir contracté le Covid. Elle avait vu beaucoup de ses patients mourir de l’infection. Elle dirigeait le service d’urgence de l’hôpital Allen de New York. Pour l’auteur de cet article, la pandémie a provoqué un traumatisme comparable à celui qui a suivi les attaques terroristes du 11 septembre et il prévient : le coronavirus et ses conséquences économiques et sociales "pourraient provoquer un tsunami de troubles psychiatriques".
Augmentation du stress dans la population en général
Au-delà des risques de psychose ou autre trouble psychiatrique, on sait maintenant que la pandémie et ses morts aggravent le stress dans la population. Le stress post-traumatique pourrait concerner 5 à 10% de la population belge. Une étude de Santé Publique France a montré que l’anxiété était deux fois supérieure (26,7%) au taux observé avant la pandémie. Touchés en particulier, les femmes, les jeunes et les personnes en situation précaire. En Chine, une étude publiée dès le mois de février 2020 rapporte que 28,8% et 16,5% de la population présentait des troubles anxieux et dépressifs modérés à sévères. En juillet 2020, une autre étude chinoise montre la présence d’idées suicidaires très fréquentes.
Aux urgences psychiatriques, après le premier confinement, plus de monde qu’après les attentats de Bruxelles.
Aux Cliniques universitaires Saint-Luc, jamais autant de patients n’ont été admis aux urgences psychiatriques : "En juin 2020, après la première vague, nous confie le Dr Gérard Deschietere, nous avons eu un pic. Nous avions beaucoup plus de monde qu’après les attentats de Paris ou de Bruxelles, c’est du jamais vu. Nous avons reçu beaucoup de nouveaux patients, qui avaient besoin d’un soutien psychiatrique. Pendant le confinement, ils n’ont pas pu suivre une bonne hygiène de vie, c’est-à-dire, des contacts sociaux et une capacité normale de travail. Ils ont développé des symptômes anxiodépressifs. Certains ont décompensé de manière très forte et très bruyante, comme s’ils se lâchaient après le confinement".
L’OMS recommande d’ailleurs de renforcer les services de psychiatrie, en sous-financement chronique. Dans une enquête, dont les résultats ont été publiés en octobre 2020, l’Organisation Mondiale de la Santé relève que la pandémie a perturbé voire mis à l’arrêt les unités psychiatriques dans 93% des pays. Or, le coronavirus a augmenté considérablement les besoins en santé mentale. Le deuil, l’isolement consécutif au confinement, la perte de revenus, la peur ont déclenché des pathologies psychiatriques chez des personnes qui n’en avaient pas ou exacerbé des pathologies existantes. On constate une augmentation de l’alcoolisme, de l’usage de drogues et des insomnies, tandis que le Covid-19 entraîne des complications neurologiques et mentales comme des délires ou des états d’agitation.
Tous les professionnels de la santé s’accordent, il faudra renforcer les capacités d’accueil dans les unités psychiatriques et s’atteler à une meilleure prise en charge, malgré le Covid, des patients ayant des pathologies préexistantes. En ce qui concerne les patients post-Covid, il faudra un suivi psychiatrique, au même titre que le suivi pulmonaire ou cardiaque.

**Luc** Dim 8 Nov 2020 - 22:31

Prévention de l'inflammation du cerveau : 1 ou 2 de ces ingrédients.
- curucumine liposomale
- egcg du thé vert
- caféine (une à deux fois un espresso / jr)
- aspegic 100 mg
+ cérécholine et un complexe de vit B co-enzymée 2 à 3 X /semaine.
+ pédale douce sur les céréales ou pseudo céréales (raffinées ou non) et les glucides ajoutés (=> gestion de la glycémie).

Invité Dim 8 Nov 2020 - 23:01

Merci pour cette info Luc, celle-la on l'avait pas vue venir.
Est-ce que les enzymes systémiques peuvent faire l'affaire question inflammation, étant donné qu'une fois ingérées, elles combattent l'inflammation partout ou elle se trouve ?

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] 2 gélules/jour à jeun
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + 3 gélules/jour à jeun

**Luc** Dim 8 Nov 2020 - 23:35

darky35 a écrit:Est-ce que les enzymes systémiques peuvent faire l'affaire question inflammation, étant donné qu'une fois ingérées, elles combattent l'inflammation partout ou elle se trouve ?

Oui, ça devrait si elles atteignent la circulation sanguine, et s'il n'y a pas inhibition indirecte des protéases.
OK, à 1ère vue, même si la plupart des études ne testent pas le passage de la barrière encéphalique.
Disons que tu gardes ainsi des munitions utiles ailleurs (pas de surcharge).
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Research confirms that orally administered serrapeptase is absorbed into the circulation in its enzymatically active form.¹
1. Intestinal absorption of serrapeptase (TSP) in rats.Moriya N, Nakata M, Nakamura M, Takaoka M, Iwasa S, Kato K, Kakinuma A.

On a établi l'action de la serrapeptidase de la manière suivante:
Les mécanismes d'action de la serrapeptase (SP), sur les sites des divers processus inflammatoires consistent fondamentalement en une réduction des phénomènes exsudatifs (enflures avec épanchement de liquide) et une inhibition de la libération des médiateurs inflammatoires.

Fibrinolyse :
Cette peptidase induit une fragmentation d'agrégats fibrinose (pathologie avec production de fibrine, amenant la formation de plaque fibrique) et réduit la viscosité des exsudats, facilitant ainsi le drainage de ces produits de la réaction inflammatoire, et favorisant ainsi le processus de réparation des tissus. Des études suggèrent que la SP a un effet modulateur sur des protéines spécifiques lors de la phase aiguë, protéines qui sont impliquées dans le processus inflammatoire. Ceci est corroboré par des réductions significatives des facteurs du complément C3 et C4, des augmentations des protéines opsonisantes et une diminution des concentrations de haptoglobuline, qui est une protéine qui agit comme agent éboueur et qui inhibe les protéases lysosomales.

Je vais voir si je trouve autre chose.
=> Action indirecte sur la maintenance du réseau vasculaire et sur la temporisation de la cascade inflammatoire.
A confirmer.

**Luc** Sam 12 Déc 2020 - 12:04

Lire / écouter aussi le compte-rendu de la 2ème partie du docu "Mal Traités" – Sous-titré « Covid-19, comment les malades ont été privés de traitements efficaces ».
Docu de 1H29’, réalisé par Alexandre CHAVOUNET
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=> Utilisation de l’arsenal thérapeutique non breveté (Minutage vidéo 42’ – fin)

Invité Sam 12 Déc 2020 - 13:51

Voila l'article dont la video fait référence au sujet de la vitamine D :

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Taux de positivité du SRAS-CoV-2 associés aux taux circulants de 25-hydroxyvitamine D
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
"La positivité du SRAS-CoV-2 est fortement et inversement associée aux niveaux de 25 (OH) D circulants, une relation qui persiste à travers les latitudes, les races / ethnies, les deux sexes et les tranches d'âge. Nos résultats donnent une impulsion pour explorer le rôle de la supplémentation en vitamine D dans la réduction du risque d'infection par le SRAS-CoV-2 et la maladie COVID-19."

Concrètement, si j'ai compris, en application ça donne (en préventif) :

Plus on va avoir un taux sérique important et moins l'expression du virus le sera : moins d'inflammation, de dégâts liés à l'emballement de la machine immunitaire. Sachant que :

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Se faire doser la vitamine A (rétinol), la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : pour la vitamine D un taux sérique d'au moins 50 nanogrammes/millilitre est opportun (125 nmol), jusqu'à 80 ng/ml maxi (ne pas dépasser 100 = toxicité). il existe des avertissements sur le net sur la consommation afférente à plus de 30 ng/ml, ne pas en tenir compte car :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:L’autorité sanitaire française (ANSES) recommande 200 UI par jour de vitamine D3 pour être en bonne santé depuis 2001. Une dose faible, qu’on peut obtenir en mangeant 50 g de saumon seulement. Toute supplémentation serait donc inutile. Pourtant, cette même agence fixait ces apports conseillés à 480 UI par jour en 1992.
Et, encore plus surprenant, l’Académie Nationale de Médecine a affirmé dès 2012 que les besoins quotidiens en vitamine D devaient être réévalués à 1000 UI par jour, soit 5 fois plus que ceux préconisés par l’ANSES. En parallèle, l’Institut National de Veille Sanitaire (INVS) a fait le test en mesurant le taux de vitamine D dans le sang des Français. Résultat : il est insuffisant dans plus de 80% des cas.
Comment expliquer de telles incohérences entre autant de spécialistes officiels ? Pour le savoir, il faut se tourner vers les travaux originaux des chercheurs qui travaillent activement sur la vitamine D.
Je tourne avec 3-4000 ui (8-10 gouttes) de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + dans mon cas, pas le choix [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et 150 microgrammes de vitamine [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour avoir un bon équilibre des vitamines liposolubles et ainsi, obtenir la fixation du calcium dans les tissus durs au lieu des artères..

Vu qu'apparemment (si j'ai bien compris), le calcium est le ou un des catalyseurs de la réaction inflammatoire, je suppose qu'il en faut assez, mais pas trop et le tout, accompagné avec l'équilibre des vitamines D, A et K2 (voir les liens dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour plus d'infos), afin de bien le fixer dans les tissus durs et qu'il ne reste pas libre.

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