Calmer le psoriasis de l'intérieur par le dr raphaël Perez

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Dr Raphaël Perez    rédigé le 22 février 2019 à 17h21

Extraits : maladie auto-immune de la peau touchant jusqu’à 5 % de la population dans certains pays, le psoriasis reste mal compris. La méconnaissance du rôle de la peau comme organe excréteur et d’expression d’émotions refoulées amène trop souvent à combattre les symptômes au lieu de calmer l’inflammation de l’intérieur.

Le psoriasis est une maladie inflammatoire auto-immune de la peau. Son origine est mal connue donc mal comprise, tout du moins en observant la maladie avec l’approche classique. Les cellules de la peau se renouvellent trop vite, avec une crise inflammatoire, et forment un épaississement de la peau en plaques. Le traitement classique du psoriasis consiste en l’usage de médicaments à base de cortisone, sous forme de crème, de pommade ou de lotion appliquée directement sur la peau, dans le but d’étouffer la crise inflammatoire.
Si une telle cure peut fournir un soulagement salutaire lorsque la crise est trop intense pour être supportée, les corticoïdes ne résolvent en rien la cause profonde du problème. Les symptômes reviennent souvent dans les jours, les semaines ou les mois qui suivent l’arrêt du traitement ; c’est ainsi que les patients psoriasiques vont de crise en crise.

Compensations physiologiques vitales

Les cellules de notre corps ont besoin de vivre dans un environnement favorable pour fonctionner correctement. Elles s’affaiblissent et meurent prématurément lorsque leur biotope devient trop pollué par des toxines. Celles-ci sont issues de la vie des cellules, mais également de nos comportements et modes de vie (alimentation, stress, pollution, etc.). Pour maintenir un environnement favorable, le corps humain possède cinq organes excréteurs principaux, dont trois majeurs : les poumons, le foie et les reins.

Relais d’excrétion rénale

Ces trois organes sont censés supporter le travail d’excrétion de l’ensemble de l’organisme. Cependant, quand ils n’arrivent plus à supporter la charge de travail imposée, le corps doit s’adapter. Il établit alors des compensations physiologiques pour maintenir un terrain favorable et éviter le développement de maladies graves. C’est ainsi que surviennent de nombreuses maladies aiguës.
Le psoriasis est une maladie de terrain ; comme de nombreuses maladies cutanées, c’est un relais de l’excrétion rénale. Cela signifie que la peau intervient quand les reins n’arrivent plus à supporter le travail que nous leur imposons. Si elle possède un système d’excrétion des toxines similaire à celui des reins, il est aussi moins puissant. Néanmoins, sa superficie lui permet de ­réaliser un travail conséquent lorsque cela est nécessaire – ce n’est d’ailleurs pas un hasard si la peau est appelée le troisième rein. Le psoriasis se présente donc comme une crise inflammatoire qui permet au corps d’augmenter sa capacité d’excrétion des toxines. Cette élimination salutaire dure le temps nécessaire à une réduction suffisante de l’état d’encrassement des cellules. Lorsque le niveau de pollution du corps a suffisamment diminué, la crise de psoriasis s’atténue, puis disparaît.

• irritations, grattages, complications
  
• la honte du lépreux : croûtes, rougeurs, les contacts sociaux s'en trouvent perturbés. Image et estime de soi qui partent en pellicules, en suintements gras… Cette maladie se nourrit d'elle-même, son impact social l'aggrave.
  
• on n'en guérit jamais vraiment malgré les traitements, car le corps médical ne dispose pas de toutes les infos relatives à la micro-nutrition, c'est bel et bien une maladie qui évolue à cheval sur plusieurs contextes à la fois (multi-factoriel) : immunité, stress, alimentation, génétique/prédispositions (hérédité), environnement, etc... Les traitements chimiques proposés ne guérissent pas, sont castrateurs de certains principes de fonctionnement du corps et ne traitent que la forme... pas le fond
  
• le chimique est assez efficace (pour un temps), mais au prix d'effets indésirables et parfois permanents, voire dangereux, et pour des rémissions passagères, d’où l'aspect chronique; donc caractère répétitif des traitements
  
• coût : lorsqu'on se rend-compte qu'il y a baleine sous caillou puisque le chimique ne semble pas être très efficace dans la durée, on cherche des solutions alternatives, avec plus ou moins de succès et à la longue il faut budgétiser
  
• on passe son temps à chercher la solution, parfois toute une vie, certaines crises aigües nous obligent à rester sur la défensive et continuer à chercher, tout en nous empêchant de vivre avec sans trop de perte de confort de vie.
  

• l'inflammation
  
• de la capillarité des vaisseaux sanguin (dilatation)
  
• mise en branle du système immunitaire afin de contrôler la réaction
  

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:"vous ne guérirez pas de vos maladies, ce sont les maladies qui vous guériront.

• diabète de type 2 et maladies rénales empêchant les reins de faire leur travail correctement
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], surcharge pondérale importante
  
• maladies cardio-vasculaires et problèmes circulatoires affectant les reins
  
• immunodéficience (microbiote, disposition génétique et polymorphismes)
  
• dans au moins un tiers des cas, le pso est héréditaire
  
• hyper-perméabilité intestinale --> surcharge de travail pour les reins et le système immunitaire (peptides anti-gène, endotoxines, macro-molécules)
  
• stress, tabac, alcool, carence en micro-nutriments (dont vitamine D), toxines (métaux lourds (lithium, etc...)  et médicaments et.. anti-inflammatoires non stéroïdiens (ibuprofène, aspirine, etc...) --> La pression nerveuse en est le ressort et son expression aggrave à son tour le stress. Cercle vicieux... Lorsque votre médecin traitant vous dit que c'est probablement lié au stress et que ça vous énerve, c'est pourtant une des rares fois ou il a raison. On ne le répètera jamais assez, le stress agit très défavorablement sur de nombreux mécanismes ou organes du corps humain, qui deviennent à leur tour des agonistes du pso et des antagonistes à la guérison. Je l'explique plus en détails dans les paragraphes suivants.
  
• il peut se déclencher, se réactiver sans que l'on sache toujours pourquoi. Il peut ainsi apparaître à la suite d'une banale infection (la gorge chez l'enfant, les voies respiratoires chez l'adulte), d'une dysbiose intestinale (l'alimentation toujours !), d'une subluxation articulaire, d'une vaccination ou de la prise d'un médicament (bêtabloquants, antipaludéens, lithium...)
  

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Dominique Vialard    rédigé le 26 novembre 2014 à 18h11

Il fait quoi le dermato ?

L'approche conventionnelle est invariablement la même. Elle consiste à s'attaquer aux effets visibles du psoriasis en agissant sur le plan immunitaire, en combattant l'inflammation, en calmant l'irritation.
Dans le pso les lymphocytes T, on l'a vu, s'excitent, et à leur tour ces cellules stimulent les kératinocytes, les cellules superficielles de la peau. Ceci entraîne une sorte de prolifération du derme comme si les cellules n'arrivant pas à "mûrir" correctement, "tombaient" avant d'arriver à maturité. D'où ces grands lambeaux, ces squames. On se gratte, ça pèle, forme des couches successives et plus on se gratte plus il y en a, plus l'épiderme est à vif.
Réponse médicale logique : on fait chuter l'immunité, histoire d'éviter que les lymphocytes ne s'expriment de la sorte ; on éteint l'inflammation.
Les armes sont à double tranchant :

• Les corticoïdes et corticostéroïdes, risquent de déstabiliser le psoriasis cutané, provoquant des poussées cutanées encore plus violentes lors de la diminution des doses.
  
• Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (tels que l’Apranax, le Voltarene, le Bi-Profénid … que l’on a souvent tendance à confondre avec les antalgiques) ont en revanche une efficacité beaucoup plus spectaculaire, mais souvent de courte durée.
  
• Le traitement de référence (utilisé depuis les années 50 !), est le méthotrexate. Il donne de bons résultats dans 70% des cas environ. Mais les effets secondaires sont lourds et parfois pire que le mal car le méthotrexate peut provoquer des perturbations au niveau sanguin, notamment une diminution des globules blancs et rouges.
  
• Un autre traitement général est la ciclosporine. Un traitement prescrit pour six mois maximum, en raison de sa toxicité rénale.
  
• Il faut aussi mentionner une invention récente la biothérapie (qui n'a rien de bio).
  

Le génie génétique au secours !

La biothérapie, méthode récente et coûteuse, consiste à injecter des substances qui vont bloquer l'immunité à la source. Je passe sur la nature de ces substances fabriquées par génie génétique à partir de recombinants (regardez sur Internet, à "biothérapies" pour avoir une idée de la chose... souris transgéniques et compagnie).
Ces remèdes sont par nature dangereux car sans guérir le psoriasis (ils le calment certes mais l'entretiennent en même temps et vous rendent dépendants), ils ouvrent la porte de vos défenses à tous les vents laissant votre organisme désarmé, à la moindre infection comme à la menace cancéreuse.

• gérer son stress et apporter les nutriments nécessaires à cet effet : travailler dans le sens du [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] par exemple (complexe vitamines du groupe B avec inusitol (B7), B6, B9 et B12 méthylées [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ) + magnésium chélaté [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
  
• détoxifier son organisme et si nécessaire jeûner efficacement (question d'habitude)
  
• lutter en permanence contre l'inflammation endo et exogène
  
• suivre un équilibre acido-basique basé sur une hygiène alimentaire irréprochable et adaptée
  
• etc... en quelques mots, parler mieux à votre corps, il vous le rendra au centuple.
  

• elle doit être [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (ratio omega3/omegas6), elle devrait-être de 1/4 au moins (le suis pas loin de 1/2 = 1g d'omégas 3 pour 2g omégas 6 --> anti-inflammatoire). En france on est en moyenne à 1/20 voire davantage (!!!) = très inflammatoire :
  

  Le saviez-vous ?
  Les marqueur de l'inflammation en général comprennent la protéine C réactive = la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], ou/et le dosage des cytokines inflammatoires comme le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] , l'[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et surtout l'[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
  Pour une inflammation relative à une maladie chronique inflammatoire de l'intestin, je n'avais rien obtenu avec la CRP, en revanche, la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] avait montré des relevés assez hauts...

  
  
• alcaline donc apporter suffisamment de minéraux par le biais de légumes notamment
  
• exempte d'[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], sinon la guérison ne se fera pas puisque l'hyper-perméabilité sera pérennisée par la réaction inflammatoire aux immunoglobulines de type G
  
• dans le même ordre d'idée, il faut également que l'alimentation tienne compte en plus de la rotation (variété), de ne pas trop consommer en fréquence des aliments susceptibles de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], ou/et contenant des anti-nutriments "perceurs de trous" --> [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Il existe quelques dizaines d'antinutriments, peu importe lesquels, le tout est de ne pas développer de sensibilité à l'un d'entre eux en ayant trop et trop souvent consommé d'aliments en contenant. D'ou ce proverbe médical de circonstance : mangez varié et équilibré...
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• lait de vache : les caséines a1 sont les plus toxiques
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Il serait bien avisé de vous limiter au type de produits laitiers, aux fromages qui ne contiennent pas de protéines de type caséine A1, qui stimulent / pourraient exacerber une réaction du système immunitaire,
  Voir le paragraphe suivant...

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• et je rajouterai le gluten qui dispose d'effets toxiques à suspecter particulièrement lorsqu'on a un pso avec soupçon d'hyper-perméabilité intestinale [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] +  +  +
  
• Les bases du régime Seignalet sans caséines ni gluten [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• supprimer ou mettre en éviction les aliments qui ne sont plus tolérés
  

• Pas de fruits en fin de repas, de préférence à part, soit 20-30 minutes avant et bien mâchés/ensalivés, soit au moins 2 heures après la fin du repas (conseillé 4 heures minimum afin de laisser le temps au complexe moteur migrant de faire son travail sinon toute nouvelle digestion l'inhibera avec pour conséquence l'accumulation de déchets telle l'histamine, etc... Les melons, pastèques seront consommés seuls (pas de jambon de Parme ou de porto avec), donc à part de tout repas. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• mettre en place de bonnes associations alimentaires qui ne nuisent pas à la digestion : trop de sortes de protéines au cours du même repas, mélange buccal d'aliments nécessitant des amylases (amidons, donc digestion basique) et lipase (gras, donc acide et digérés/émulsionnés en 1er, ou protéases (protéines = digestion acide. En termes clairs, si l'on mange des pâtes avec de la sauce tomate et du fromage, elles seront mal digérées, puisque la sauce tomate et le fromage sont acidifiants (lipases/protéases) et que cette acidité va inhiber les amylases destinée aux pâtes. Voici quelques sites web expliquant les règles de bonnes associations alimentaires : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] --> le but n'étant pas d'obtenir la perfection mais d'ajuster la difficulté digestive fonction de vos capacités du moment = si vous êtes sous-vital (peu d'énergie), vous gagnerez de nombreux points tant au niveau digestif qu'au niveau de la récupération nocturne
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• Privilégier des repas avec peu d'aliments différents afin de simplifier la digestion et l'énergie qu'elle demande
  
• ne pas faire d'efforts physiques dans les 3 heures suivant la digestion.
  
• établir une cohérence alimentaire sur la journée afin de ne pas dépasser sa capacité digestive : tous les aliments problématiques à digérer, perturbant la zonuline, contenant des peptides antigènes (etc..) devront être consommés qu'à un seul repas (si tant est que vous les autorisiez), à savoir : gluten, céréales et pseudo-céréales, légumineuses, oléagineux, produits laitiers, solanacées (tomates, poivrons, aubergines, piments, pommes de terre, baies de goji et ashwagandha), oeufs
  
• remplacer les féculents habituels par des légumes racines : pommes de terre, patate douce, panais, carottes, banane, chataigne, igname, etc...
  
• commencer le repas du midi par des crudités, cela va apporter du croquant nécessaire à l'indispensable entrainement parodontal qui supporte les dents ainsi que l'activation enzymatique qui va permettre une meilleure digestion du plat de résistance, tout en apportant des minéraux nécessaires à l'alcalinisation du repas. Une bonne association dans ce cas consite à ne pas mélanger légumes crus et cuits (pas compatibles), manger les cuits après, avec la viande et y adjoindre une vinaigrette huile d'olive crue, bio et 1ere pression à froid ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]/[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] = bon cholestérol = 2 à 4 cuillères à soupe/jour et cela apporte également de la vitamine E (antioxydant). L'huile d'olive promeut le bon cholestérol, qui favorise [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• faite entretenir et réparer votre capital dentaire, sans quoi votre digestion sera mal mâchée et ensalivée et nécessitera beaucoup plus de sucs gastriques, donc risques carcinogènes accrus... Manger dans le calme, mastiquer et bien ensaliver de manière à ce que l'aliment soit en bouillie : les Chinois ont coutume de dire qu'il faut mâcher les liquides et boire les solides...
  
• on évitera de trop boire pendant les repas (12.5cl), en général, cela évite à l'organisme de devoir trop compenser en sucs gastriques ce qui est promoteur de risques carcinogènes et épuise à terme le système digestif. Bien s'hydrater avant le repas (à 30 minutes de distance) et 3 heures après minimum.
  
• on évitera pour les mêmes raisons les grosses bouchées goulues, elles sont toujours mal mâchées/ensalivées donc mal digérées et nécessitent plus de sucs gastriques. Si on a pas le temps de manger, soit manger moins et mieux soit prendre le temps
  
• on évitera par dessus tout de grignoter afin de ne pas perturber les processus métaboliques notamment d'évacuation des déchets qui peuvent à terme, s'ils sont combinés avec d'autres facteurs (hypothyroïdie, hypochlorhydrie, stress (nerf vague/thyroïde), etc...), déclencher le début d'une prolifération bactérienne du grêle. A cet effet il faut respecter au moins 5 heures d'espace inter-digestif entre chaque repas (juste boire de l'eau 3 heures après le précédent repas).
  
• on s'arrangera pour apporter suffisamment de minéraux dans l'assiette afin de gérer l'[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] = légumes à volonté (4x plus de légumes dans l'assiette que d'aliments acidifiants)
  
• on évitera de trop consommer de sel au cours du repas : l'OMS recommande 2g de sodium (5g de sel) pour 3.5g de potassium. Attention, on a besoin de sodium c'est juste que plus vous en consommerez et plus vous aurez besoin de potassium
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Environ 90 % du potassium absorbé chaque jour est éliminé dans les urines par le rein et échangé contre des ions sodium (Na+) ou hydrogène (H+). Ces échanges sont essentiellement influencés par une hormone : l'aldostérone, nous y reviendrons plus loin.
  
  Apport alimentaire de potassium  et le rapport avec le sodium
  L’apport alimentaire du potassium est essentiellement effectuée via les fruits et légumes. Un apport optimal est présent avec 8.5 portions de fruits et légumes (4  gr). 2 à 3 fruits selon le type de fruit et la saison (un peu moins en hiver) ; un mélange de légumes verts et de couleur pour le reste.
  
  L’apport de sel devrait se situer à maximum 5 à 6 gr par jour. Au-delà vous sollicitez la compensation et augmentez l’acidose métaboliqueCompensation signifie que l’organisme va chercher à corriger l’excès d’acidité afin de maintenir le pH sanguin dans les limites optimales (entre 7.35 et 7.45, légèrement alcalin donc). En dehors de ces limites, le terrain devient pathologique s’il n’y a pas rééquilibrage. L’organisme va alors aller prélever des citrates là où il en trouve, souvent dans le squelette osseux.

  
  

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• l'épuration du sang
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:
  Maintien de l’équilibre hydrique de l’organisme
  Absorbée en buvant et en mangeant, l’eau est éliminée essentiellement par les urines mais aussi par les selles, la sueur et la respiration. Les reins permettent à l’organisme de maintenir la quantité d’eau qui lui est nécessaire. Chaque jour, ils filtrent environ 190 litres de sang mais ne rejettent toutefois que 1,5 à 2 litres d’urines. Au total, les entrées et les sorties journalières d’eau s’équilibrent.
  Maintien des minéraux nécessaires à l'organisme
  Parmi eux, on peut citer le sodium et le potassium qui proviennent des aliments. Leur manque ou leur excès peut être à l’origine de complications sévères… Les reins assurent donc leur maintien à un niveau constant, les excédents étant éliminés dans les urines.
  Maintien de l’équilibre acido-basique dans le sang
  Les acides en excès provenant de l’alimentation sont éliminés pour maintenir la composition idéale du sang (PH sanguin "neutre").
  Production des hormones, des enzymes et des vitamines
  En plus de leur rôle de régulateur et de filtre, les reins produisent également plusieurs hormones, des enzymes et des vitamines dont :
  - La rénine, indispensable à la régulation de la tension artérielle.
  - L’érythropoïétine (la fameuse EPO) qui agit sur la moelle osseuse pour produire des globules rouges en quantité suffisante pour véhiculer l’oxygène dans l’organisme.
  - Le calcitriol, forme active de la vitamine D, qui permet l’absorption du calcium par l’intestin et sa fixation dans les os, afin de garantir leur bon état et leur robustesse.Une discrétion à toute épreuve
  Même lorsqu’ils ne fonctionnent plus correctement, les reins ne font pratiquement jamais souffrir, sauf cas particuliers (pyélonéphrite, colique néphrétique). Les maladies rénales sont le plus souvent sans symptômes précis jusqu’à un stade très avancé. D’où l’importante d’un dépistage régulier (test urinaire pour vérifier la présence de protéines en petites quantités) pour repérer une éventuelle insuffisance rénale qui, si elle est prise à temps, peut être freinée et évitera peut-être la dialyse. En fonction des résultats d’analyses, une visite chez le néphrologue permet de mettre en route un dispositif de soin adapté.

  
  

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Pourquoi jeûner?
  La raison la plus importante est probablement que le corps utilise moins d'énergie pour digérer les aliments, et quand vous jeûner cette énergie devient disponible pour d'autres fonctions. Dans l'état de jeûne, le corps va gérer et évacuer les cellules mortes, les tissus endommagés, les dépôts de gras, les tumeurs, les abcès, qui seront alors tous brûlés comme carburant ou expulsés en tant que déchets. L'élimination de ces obstacles restaure la fonctionnalité du système immunitaire et le métabolisme à un état de fonctionnement optimal. Le jeûne rétablit une bonne digestion et l'élimination, et l'action péristaltique est vivifiée. Le jeûne permet un profond repos physiologique des organes digestifs, et l'énergie économisée est disponible alors pour l'auto-guérison et l'auto-réparation.
  
  Sachant que la digestion brûle 30 % de notre énergie, que le foie peut se consacrer  à la fabrication d’enzymes métaboliques, et non plus prioritairement pour la digestion, si nous éliminons cet excès de travail, grâce au jeûne, en éliminant les obstacles, nous pouvons surmonter beaucoup de nos maux physiques ou des handicaps ainsi qu’obtenir un gain d'énergie. Le jeûne élimine non seulement les obstacles et aide le corps à se guérir, il contribue également à rajeunir et prolonger la vie. Ces avantages peuvent avoir des effets durables au niveau de votre santé mentale et émotionnelle.

  
  

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:
  Jeûne et autophagie : un duo pour la santé
  L’autophagie a suscité beaucoup d’intérêt chez les chercheurs depuis sa découverte dans les années 60. Le jeûne, quant à lui, est employé dans les médecines traditionnelles depuis la nuit des temps. On entend par jeûne, l’absence d’alimentation (avec ou sans prise d’eau de boisson). Aujourd’hui, on comprend mieux pourquoi la tradition enseigne que lorsque le corps est libéré du travail de la digestion, il utilise son énergie à éliminer ses déchets et à se réparer.
  Jeûne et détoxication
  En plus de stopper toute possibilité d’ingérer des toxines, le jeûne aurait une action détoxicante, principalement en activant l’autophagie. Cette détoxication est plus puissante qu’avec un simple régime hypotoxique. Elle s’exerce à l’intérieur même de nos cellules.
  C’est très intéressant car la majorité des [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] visent plutôt l’élimination des toxines contenues dans le sang ou dans le milieu où baignent nos cellules (et qui les nourrit). Ces techniques évacuent les toxines par les organes d’élimination (foie, rein, colon…). L’autophagie, elle, nettoie et restaure en même temps, l’intérieur des cellules.

  
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:La [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]est une discipline récente qui consiste à identifier les besoins nutritionnels de la personne (notion d’individualisation : âge, sexe, activité, environnement, éventuels symptômes ou pathologies…) ; elle optimise ainsi le contenu de l’assiette (nutrition) et donc l’apport de micronutriments (vitamines, minéraux, acides gras, enzymes…contenus dans les aliments) afin de maximiser le fonctionnement organique. Elle vérifie aussi l’assimilation digestive et cellulaire de ces micronutriments, c’est à dire qu’elle vérifie les processus digestifs, la santé du microbiote, celle de la muqueuse intestinale, les synergies moléculaires, l’état d’inflammation, la détox hépatique, le stress, le stress oxydatif, la fluidité des membranes cellulaires, etc.: le contenu de l’assiette n’étant effectivement pas le seul élément à prendre en considération quand on cherche à remonter le statut nutritionnel d’un individu. En parallèle, la micronutrition peut utiliser la complémentation (en vitamines, minéraux, acides aminés, acides gras, fibres, enzymes…), celle-ci n’excédant jamais 300% des ANC (apports nutritionnels conseillés). Ces doses restant physiologiques, elles permettent de rééquilibrer (= optimiser l’ensemble du fonctionnement organique) sans risquer de nuire aux régulations des cellules et des tissus...
  NDLR : le corps ne peut se détoxifier ou jeûner correctement s'il ne dispose pas d'un arsenal nutritionnel biodisponible à portée de main --> se poser les bonnes question et agir en conséquence, en 1er lieu par l'alimentation et si nécessaire, par la supplémentattion
  

  
  
• Pour donner suite à la micro-nutrition/détox : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : exemple concret, vous êtes anémique et pourtant, malgré une supplémentation à l'aide d'un produit efficace, vous n'arrivez pas à remonter votre taux de ferritine. Une des approches consiste à bien vérifier que dans votre mode d'alimentation, vous n'avez pas d'antagonisme nutritionnel qui vienne interférer : zinc, calcium, pas assez de vitamine A  car trop de vitamine E (etc...)
  
  

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:On ne fait pas de cure de détox si les reins sont saturés. On commence d'abord par rééquilibrer avec un régime acido-basique. On soulage le travail du foie en ingérant moins de saloperies ... On surveille le niveau d'inflammation basse, etc.

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] --> mangez des pommes, des poires et du raisin + [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ou se supplémenter au quotidien [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

Le saviez-vous ?

Digestives ou en supplémentation, les enzymes requièrent une température optimale de fonctionnement 35-40° --> si vous mangez trop chaud, la chaleur les inactivera, donc mauvaise digestion potentielle... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:
Dans le syndrome du côlon irritable, il est souvent nécessaire d’envisager des compléments pour permettre une digestion optimale afin de réduire les risques de fermentation intestinale.

• Lors de lourdeur digestive, afin d’améliorer les processus de digestion au niveau de l’estomac, des alternatives simples peuvent être essayées telles que la prise de vinaigre de pomme avant ou après les repas, l’utilisation de plantes amères stimulant la fonction gastrique telles que la gentiane, l’artichaut, etc. Le gingembre ainsi que la consommation de prunes Umeboshis peuvent être des stratégies également efficaces pour soutenir la fonction gastrique.
  
• Dans certains cas, la prise de bétaïne HCL peut être nécessaire pour optimiser la digestion, surtout lors d’un côlon irritable avec lourdeur gastrique. Il s’agit de prendre un comprimé de bétaïne HCL (650 mg avec adjonction de pepsine) pendant un repas riche en protéines (viande par exemple), puis de voir si la digestion s’améliore indiquant une baisse de la sécrétion acide de l’estomac. Si vous ressentez des brûlures d’estomac, vous avez suffisamment d’acidité. Sinon continuez à en prendre. Selon le besoin, on peut augmenter jusqu’à 2cp à chaque repas. Continuer à prendre la bétaïne HCL tant qu’elle vous aide. Si à un moment, vous ressentez des brûlures, c’est que vous n’en avez plus besoin et qu’il est préférable d’arrêter.
  

Repérer une mauvaise digestion des  graisses

La bile produite par notre foie nous aide à absorber les graisses, mais également à éliminer des déchets métaboliques. Lorsqu’on souffre d’une insuffisance hépatobiliaire, par exemple si notre foie est surchargé, ou notre vésicule biliaire est congestionnée, ou encore lors d’un stress chronique qui épuise nos réserves de bile, nous avons de la difficulté à digérer les graisses. Cela peut entraîner divers troubles digestifs tels que ballonnements, diarrhées, selles molles et collantes ainsi que des sensations de nausées, des migraines, etc.

Conseils en phyto et micronutrition

Au niveau nutritionnel, on peut envisager :

• la prise de taurine (500 mg 3x par jour) qui favorise la conversion du cholestérol en sels biliaires = meilleure absorption des vitamines liposolubles : A E D K
  
• de lécithine (une cuillère à soupe/j), c’est un gras soluble qui aide à émulsifier les graisses --> jaune d'oeuf cru qui contient entre autres également de la choline (pour une bile de qualité) et de l'iode pour la thyroïde...
  
• En cas de besoin, il est même nécessaire, un certain temps, de prendre des sels biliaires sous forme de complément (Ox bile) afin d’améliorer la qualité de la bile.
  

Au niveau de la phytothérapie, les choix sont nombreux, on pensera à ;

• l’artichaut qui est une plante amère qui améliore la digestion et à un effet cholagogue et favorise la protection du foie.
  
• au chardon marie (sylimarine) qui est une des herbes les plus puissantes pour le foie, qui aide à éliminer les dépôts de gras du foie.
  
• au radis noir qui est cholérétique et diurétique, et qui aide à traiter les troubles digestifs résultant d’une mauvaise circulation biliaire.
  
• On peut également opter pour la berbérine qui a une action bénéfique sur le foie et la vésicule biliaire. Il existe bien entendu de nombreuses plantes dans ce domaine telles que la dent de lion, la boldo, le curcuma, etc.
  

•  gélule le midi en semaine de Co-enzyme Q10 (ubiquinol kaneka), micro-encapsulée avec vitamine C et mélange de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] 7.5 mg (vitamines E = [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]) --> [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] très dosé question digestion amylases et protéases et dispose d'un champ d'action digestif à large spectre
  
• En cas de manque d'acidité ou d'emploi régulier de bouillons protéinés et afin de ne pas épuiser son capital acidifiant (acide chlorydrique/[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]), dans le même temps 1 comprimé de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (je recherche actuellement un autre produit plus facile à avaler, les comprimés sont gros et demandent souvent de s'y reprendre à plusieurs fois avec plus d'eau donc pas top). Possibilité de prendre également 1 c à s de vinaigre de cidre, en vinaigrette avec huile d'olive crue bio vierge et 1ere pression à froid (de préférence de Crête ou de Sicile), ou tout simplement nappée sur la nourriture, viande et protéines car l'acidité inhibe la digestion des amidons.
  

  "Expérience perso"
  Je suis en diète céto depuis plus d'un an maintenant et je me suis aperçu que lorsque j’arrêtais le vinaigre de cidre au profit de la bétaïne HCL, en une semaine environs j'avais des problèmes de nausées/perte d'appétit voire vomir avant pendant et après les repas. Je prenais des tisanes le matin afin de m'hydrater et exercer une action de motilité sur le transit par gravité et aussi pour faire travailler la diurèse. Ce faisant pour accompagner les endotoxines et donner un goût sucré agréable à ma boisson, j'additionnais 70 cl de tisane avec 15g de glycine. Pas une bonne idée, la glycine a besoin d'un contexte digestif acide pour être digérée et, avant un repas ça va épuiser les sécrétions gastriques. L'effet combiné de l'apport de glycine + liquide + absence du vinaigre de cidre est responsable de mon problème, qui est rentré dans l'ordre rapidement après y avoir remédié --> glycine au moment des repas dans un contexte digestif acide et reprise à chaque repas du vinaigre de cidre... avec la bétaïne HCL...

  
  
• Pour garder tous ses bénéfices nutritionnels, une vinaigrette de "cidre/olive" sera plus digeste si elle est préparée et consommée dans la foulée. La préparation en avance péroxyde les acides gras en les exposant à la lumière et à l'acidité. Pour ma part, je dispose de petites fioles en verre fumé (bouteilles de sirop à couchon plastique = pas de métal au contact direct du vinaigre ou de l'huile pour les même raisons) avec d'un coté l'huile et dans l'autre, le vinaigre.
  

• 3 gélules de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• 2 gélules de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (achat par 6 flacon = 20% de remise), pour venir complémenter la serrapetase du serracor
  
• 1 gélule de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour venir complémenter le natto déjà présent dans le serracor
  

• L'enzymo-thérapie et les acouphènes [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:La bouche, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Son rôle est de protéger les dents, les gencives et les muqueuses contre des invasions d’agents pathogènes, ce qu’elle fait plutôt bien tant qu’elle n’est pas perturbée. Il existe deux types de flores (ou biofilms) dans la bouche : la flore supra-gingivale, en contact avec la salive, les aliments et l’oxygène, et la flore sous-gingivale composée majoritairement de bactéries à Gram négatif anaérobies.

Cet ensemble évolue dans une interrelation permanente. On peut voir ça comme une belle pelouse, dont la densité et la vigueur suffisent à contrôler l’invasion par les mauvaises herbes. Mais quand certaines conditions affectent défavorablement ce bel écosystème, l’herbe verte et grasse disparaît et laisse le champ libre aux mauvaises herbes. Dans la bouche, ce sont les « bonnes bactéries » qui cèdent le terrain aux « mauvaises », celles qui entraîneront la déminéralisation des dents et les maladies gingivales ou parodontales.
Se brosser les dents après les repas suffit-il à avoir des dents en bonne santé ? Utiliser un bain de bouche règle-t-il tous les
problèmes liés à plaque dentaire ? Ce serait un minimum, mais en matière d’hygiène buccale, les Français sont à la traîne. Ils n’achètent en moyenne que 1,5 brosse à dents par an alors que 4 (au moins) sont préconisées ; leur temps moyen de brossage n’est que de 56 secondes, tandis que les recommandations sont de 2 minutes au minimum. De plus, 41 % des Français ne respectent pas la préconisation d’une visite annuelle chez le dentiste. Et s’il n’y avait que cela... Lors d’un brossage de dent, on ne nettoie que 60% de la surface des dents et 10 % de la cavité buccale.

NDLR : le reste de l'article est intéressant et gratuit --> à lire pour s'informer

Consulter également [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Extrait :
Maux de tête, douleurs cervicales, fatigue chronique, palpitations, troubles du sommeil, fibromyalgie, électrosensibilité… Pour le Dr Dieuzaide, chirurgien dentiste, diplômé universitaire de posturologie, auteur de Et si ça venait des dents ?, beaucoup de maladies trouvent leur origine dans la bouche.

• 1 goutte d'[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] sur la langue 30 minutes avant les repas, éventuellement avec un peu d'huile d'olive,  --> il s'agit d'huile essentielle dont les principes actifs ne sont pas anodins, renseignez-vous auparavant sur les contre-indications
  

• Elle humidifie les muqueuses tout en permettant une meilleure fluidité de mouvement des organes buccaux:
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], bactériostatique et s'adapte aux problèmes buccaux, plaies, brûlures, microbes, etc...
  

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Quand une personne a la bouche sèche, une affection consécutive peut apparaître :
  

  
  
  • des infections dans la bouche (ex. : mycose buccale) ;
    
  • une accumulation de débris alimentaires entre les dents, sur les muqueuses et dans les éventuelles prothèses ;
    
  • une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ou "halitose" ;
    
  • une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (gingivite) ;
    
  • des [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
    

  
  

  
  
• Elle a besoin d'hydratation, faute de quoi, l'ensalivation ne peut se faire correctement : des particules de nourriture mal digérées sont succeptibles d'alimenter la flore opportuniste du colon, favorisant la dysbiose, l'inflammation et le passage d'antigènes dans le sang --> réaction immune et risque de développer des intolérances alimentaires, qui sont une des conditions favorisant le sibo et d'autres pathologies chroniques inflammatoires de l'intestin.
  
• Elle travaille de concert avec l'activité enzymatique, indispensable afin de pré-digérer les aliments [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Les maladies parodontales ou parodontopathies et les blessures et inflammations dans la bouche seraient les portes d’entrée de nombreuses bactéries pathogènes qui, avec les molécules inflammatoires agissant sur le parodonte, pénètrent dans le sang et migrent jusqu’aux organes, cœur, reins, poumons et autres, engendrant un processus inflammatoire à distance de la cavité buccale.

Ainsi, les parodontopathies pourraient être corrélées à l’apparition, la progression ou l’aggravation de certaines maladies générales parfois très graves : maladies cardiovasculaires, AVC, infarctus du myocarde, infestions pulmonaires, polyarthrite rhumatoïde, troubles musculo-squelettiques, etc. Les parondontopathies seraient même responsables de la majorité des accouchements prématurés.

Autres données récentes : l’augmentation de certains pathogènes buccaux seraient liée au développement de lésions précancéreuses de l’estomac. Chez les seniors, les maladies des gencives augmenteraient de 70% le risque de démence, confirmant le lien déjà bien documenté entre parodontopathies et risque pour la santé du cerveau.

NDLR : sans parler de ce que l'on suspecte =

• les amalgames sont-ils sûr lorsque dans la durée, grâce à une mauvaise flore buccale, contaminent-ils les intestins ?
  
• les bactéries pathogènes, en plus de contaminer à distance les organes peuvent-elles contribuer/accentuer l'inflammation du grêle et d'autres phénomènes qui, associés aux conditions sous-jacentes de l'IBS/SIBO, pourrait développer une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ?
  
• Possibilité non négligeable de contribuer à un déséquilibre du microbiote colonique ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]) ?
  Parlez-en à votre dentiste...
  

• les aphtes
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Des ulcères semblables aux aphtes peuvent être causés par une maladie chronique, comme une maladie inflammatoire de l'intestin (maladie de Crohn ou colite ulcéreuse), la maladie coeliaque ou la maladie de Behçet.

  
  
• les mycoses
  

  les mycoses buccales a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  Comment savoir si on a une mycose dans la bouche ?
  

  Quels sont les symptômes ?

  "Les symptômes peuvent être très différents d'une personne à l'autre et selon le champignon mis en cause", rappelle le Docteur Christophe Lequart, chirurgien-dentiste.
  Les principaux symptômes sont :
  

  
  
  • Des dépôts blanchâtres à l'intérieur des joues qui s'enlèvent lorsqu'on les gratte (on parle alors de muguet).
    
  • Une langue noire qui se caractérise par un aspect brun verdâtre de la langue.
    
  • Des douleurs et des inflammations dans la bouche.
    
  • Un certain inconfort et une gêne pendant les repas.
    
  • Une glossite qui se caractérise par une inflammation de la langue qui devient rouge et douloureuse.
    

  
  Chez les adultes, les mycoses de la bouche se développent souvent : A la suite d'un traitement médical, aux antibiotiques par exemple. Une faiblesse immunitaire peut aussi être la cause d'une mycose de la bouche : personnes diabétiques ou atteintes par le SIDA.
  NDLR : mécanisme classique... on a dans le microbiote des levures (candida albicans, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (le 2e est sans doute le plus dangereux, suivre l'hyperlien pour savoir pourquoi)), qui ont sans doute leur utilité bien encadrés par des espèces stabilisantes. Un simple traitement antibiotique peut diminuer la population des "encadrants", permettant aux candidas de prendre plus d'espace en profitant de l'alimentation, ce qui peut aboutir à une candidose, voire un [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].

  
  
• la perlèche
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:La perlèche (ou chéilite angulaire) est une lésion cutanée inflammatoire, située aux commissures des lèvres. Lorsqu'elle persiste, il faut consulter un médecin car elle peut être liée à une infection locale bactérienne ou mycosique.

  
  
• l'herpès labial
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:L'herpès est un virus très contagieux qui reste à vie dans l'organisme. Il existe un virus pour l'herpès labial, appelé Herpès Simplex Virus 1 (HSV1) et un autre pour l' [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (HSV2). L'herpès peut parfois entraîner des symptômes visibles. Exemple : ce fameux bouton de fièvre qui vous gène et inquiète tant. Une fois introduit dans l'organisme, le virus infecte les cellules nerveuses de la région touchée. Il va alors se loger dans le ganglion lymphatique pendant une période assez longue. En fonction de certains facteurs comme le stress, le virus va se réactiver, se multiplier et traverser les fibres nerveuses jusqu'à la surface de la peau. Il va alors créer une lésion, le bouton de fièvre.

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Les neurones du côlon sont attaqués
  Les chercheurs, sous la direction du professeur d'immunologie Akiko Iwasaki, ont observé un groupe de souris touchées par le virus Herpes Simplex de type 1 (HSV-1). Ils ont remarqué que ce virus extrêmement répandu (d'après l'Organisation Mondiale de la Santé, 3,7 milliards de personnes de moins de 50 ans dans le monde en sont porteuses) était capable de se propager depuis la zone génitale vers la moelle épinière, infectant au passage les neurones présents dans le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. La mort des cellules nerveuses provoque alors un ralentissement du transit, ce qui conduit à la constipation.

  
  

Le saviez-vous ?
Alternative santé N°66 : On entend régulièrement dire que le cholestérol est responsable de la formation de ces fameuses plaques d'athérome qui oblitèrent progressivement la lumière artérielle en déformant la paroi de ces gros vaisseaux.
Mais saviez-vous qu'il ne représente que 10% maximum de la composition de ces dépôts, alors que le calcium et le fibrinogène en occupent 70% ?
Des pistes montrent que c'est un phénomène inflammatoire qui serait à l'origine de ces plaques, bien avant le taux de cholestérol

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:L’autorité sanitaire française (ANSES) recommande 200 UI par jour de vitamine D3 pour être en bonne santé depuis 2001. Une dose faible, qu’on peut obtenir en mangeant 50 g de saumon seulement. Toute supplémentation serait donc inutile. Pourtant, cette même agence fixait ces apports conseillés à 480 UI par jour en 1992.
Et, encore plus surprenant, l’Académie Nationale de Médecine a affirmé dès 2012 que les besoins quotidiens en vitamine D devaient être réévalués à 1000 UI par jour, soit 5 fois plus que ceux préconisés par l’ANSES. En parallèle, l’Institut National de Veille Sanitaire (INVS) a fait le test en mesurant le taux de vitamine D dans le sang des Français. Résultat : il est insuffisant dans plus de 80% des cas.
Comment expliquer de telles incohérences entre autant de spécialistes officiels ? Pour le savoir, il faut se tourner vers les travaux originaux des chercheurs qui travaillent activement sur la vitamine D.

• Julien Venesson a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  Attention avec la vitamine K2 MK-7 car c'est une vitamine très instable qui s'oxyde vite. Très peu de laboratoires ont conscience de ce problème. A ma connaissance en France il n'y a que Nutrixeal et le labo UNAE qui proposent des versions stabilisées microencapsulées.
  
  Quand la vitamine K2 MK-7 n'est pas microencapsulée, les compléments alimentaires ne contiennent jamais vraiment les teneurs indiquées sur l'étiquette. J'ai écrit un article à ce sujet avec des analyses de K2 MK-7 dans des produits censés en contenir : https://www.unae.fr/vitamine-k2-mk-7-microencapsulee/
  Comme on le voit, la forme classique est de l'argent jeté par les fenêtres.

  
  

• éviter toutes les huiles qui en contiennent notamment le tournesol (50%), soja, sachant que l'on a besoin de peu d'omegas 6 au quotidien [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et cette limite est atteinte très facilement avec l'alimentation et rien qu'avec la viande (manger du poisson plus souvent et se supplémenter en omégas 3...). Mon grand père est mort en 2001 à 82 ans d'un infarctus du myocarde (RIP). D'aucun diraient que l'origine du problème est la cuisine grasse de ma grand mère (cholestérol, sel et tutti quanti ce qui a dû quand même jouer un rôle), mais je suis convaincu aujourd'hui que c'est l'inflammation qui l'a eu et ses plaques d'athéromes ont fait le reste : ma grand mère était un véritable cordon bleu, mais... cuisinait toujours à l'huile de tournesol et au saindoux. Elle n'est pas décédée de la même manière, mais a eu bon nombre de complications relatives à l'hypertension, notamment mais pas que. Son système circulatoire a lâché à un moment donné et elle a perdu la tête et ne me reconnaissait même plus --> inflammation également. Les petits vaisseaux situés à partir du cou et de la tête ne sont pas faits pour se distendre : ils encaissent ou ils lâchent...
  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• consommer des omégas 3, mais là aussi en quantité limitée : petits poisson gras de préférence 3x/semaine, sardines, maquereau, foie de morue, anchois, truite... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

  NDLR : je me supplémente à l'aide d'un produit de qualité qui contient également un mélange de tocophérol [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

  
  
• les omegas sont très fragiles et ont besoin pour éviter d'être peroxydés dans l'organisme de vitamine E (de préférence de différentes sortes) [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Peu de bénéfices et beaucoup de risques !"
  
  Hervé Berbille, quelle est votre position par rapport au lait ?
  Pour moi, le lait ne renferme aucun ingrédient qu’on ne puisse pas trouver ailleurs. Le grand argument en faveur du lait, c’est de dire qu’il est indispensable au tissu osseux et à son maintien. Or, l’ostéoporose n’est pas une maladie liée à un déficit d’apports en calcium mais à des phénomènes pro-inflammatoires chroniques. Et le lait est précisément un produit pro-inflammatoire. On sait aussi que les nutriments importants pour prévenir cette maladie sont le magnésium, le bore (et plus particulièrement le fructoborate) et le potassium. Tous ces nutriments sont associés au règne végétal.
  NDLR : le reste du contenu de cet article est intérressant, bien qu'il ne traite pas du problème des caséines et dérivés opioïdes. Ca n'est pas pour rien que[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

  
  
• limiter fortement les sucres dits "rapides" cités plus haut, surtout en présence symptômes circulatoire et les remplacer par des apports de quelques fruits, de préférence des baies (plus de glucides et bcp moins de sucres), quelques pruneaux pour le transit, des bananes pas trop mûres (amidons et moins de sucres rapides), etc...
  
• consulter son généraliste pour se faire suivre/dépister en cas de suspicion d'une pathologie à bas bruit avec risque de thrombose profonde ou phlébite
  

• Boire un verre de badoit au moins 3-4h00 après le repas pour alcaliniser un peu sur la digestion --> [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• boire le reste du temps de l'eau de préférence de source, très peu minérale et très peu de résidus : l'eau vaut par ce qu'elle emporte, pas ce qu'elle apporte : exemple, = [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] = 1.5 à 2L d'eau/jour, fonction de son alimentation riche en légumes/fruits pour participer efficacement à la fluidité sanguine... sans dépôts minéraux... notamment dans les reins. (boire cette eau de temps en temps avec un peu de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ( éviter la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] )). Prévoir davantage en période de chaleur...
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• acheter ou se faire prescrire de l'aspégic nourrisson 100mg, 1 sachet à 2/jour (anti-inflammatoire), mais pas tous les jours car comme expliqué dans le paragraphe "enzymes", les AINS castrent les mécanismes naturels du corps, notamment la nuit ou il est question de régénération. Sans inflammation, pas de réparation...
  
• consommer crue de l'huile d'olive bio ("sans pesticides"), vierge 1ere pression à froid pour apporter des [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]/[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (cholestérol HDL +++) et des alpha-tocophérols = vitamine E de base --> 2 c à s/jour réparties sur les repas principaux, de préférence avec du vinaigre de cidre, le tout en précurseur du repas active les fonctions enzymatiques = meilleure digestion à condition de bien mâcher/ensaliver et de ne pas mélanger des légumes cuits et crus.
  
• très important : la silice organique est co-factrice de l'assimilation et du bybass de la limitation d'assimilation du magnésium [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• le magnésium est co-facteur de plus de 323 relations physico-chimiques, dont la bonne métabolisation de la vitamine D
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Le Magnésium joue un rôle important comme cofacteur dans divers processus biochimiques (> 300...), dont des réactions enzymatiques impliquant le transfert des groupements phosphates énergétiques (ATP = [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]).

  Trop peu de silice dans l'alimentation et le magnésium ne fera plus d'effet, donc la B6 sera moins efficace également, donc les autres vitamines b risquent d'en pâtir aussi. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Dans la machinerie animale, elle est un grain de sable essentiel parce qu’il permet la pénétration des oligo-éléments à travers la membrane cellulaire et les rend ainsi disponible aux cellules. Or les cellules sont de véritables usines dont les milliards de réactions chimiques se font grâce aux oligo-éléments. Sans eux, pas de production, pas de division et pas de vie non plus.
  A tâton, Dr Bonan mit au point une méthode équilibrée de répartition entre magnésium et silice. Elle l’a appelé « méthode SiMa» (9), abréviation de Silice et Magnésium.
  Dans sa formule, la prise du magnésium se fait de manière régulière, parsemée de prises occasionnelles de quelques gouttes de silice, lorsque l’effet du magnésium n’est plus au rendez-vous alors qu’on en prend régulièrement.
  Elle détaille amplement toute cela dans son livre [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] que vous pourrez trouver aisément sur amazon

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Ce produit est garanti sans conservateur, donc normalement sans paraben... Si je suis ce que tu me dis (70% d'assimilation pour le G5), il serait donc plus intéressant que le produit "naturel à macération alcoolique" dont je me sers plus haut ? (sauf pour le stockage = rémanence dans le corps, donc supplémentation régulière) [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

  NDLR : Pour ma part, je privilégie un apport de silice "au préalable synthétisé par les plantes" afin d'obtenir un taux sérique durable et de ne pas devoir prendre du G5 tous les jours, du coup je peux m'en passer régulièrement et continuer à bénéficier des effets du magnésium (je prends donc de la silice la semaine et pas le WE --> [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] 

  
  

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:La prêle et l’ortie sont les plantes les plus riches en silicium absorbable. Ce dernier est un protecteur efficace du système cardiovasculaire.
  Cette affirmation découle des constatations faites dans les grandes villes d’Amérique du Nord et en Finlande sur l’influence de la qualité des eaux de boisson sur la santé: lorsque les eaux de boisson sont riches en silicium, il y a moins d’ostéoporose, moins d’accidents cardiaques, moins d’artériosclérose et d’athérosclérose et moins de maladies d’Alzheimer.
  Les premières constatations ont été faites en Finlande où il existait deux fois plus d’infarctus à l’Est qu’à l’Ouest du pays. Toutes les conditions étant égales, les chercheurs ne comprenaient pas pourquoi cette différence jusqu’au moment où ils ont découvert que les eaux de l’Ouest contenaient beaucoup plus de silicium. Cela se traduisait par un taux d’infarctus deux fois moins important.
  Les faits suivants, très éloquents, prouvent le rôle protecteur du silicium. :
  Le silicium est indispensable à la synthèse de l’élastine et à son entretien. Les parois des artères sont constituées d’élastine, plus de 40% pour l’aorte. Après les glandes surrénales, l’aorte est l’organe le plus riche en silicium.
  Lorsque les artères sont porteuses de plaques d’athérome, leur paroi contient jusqu’à 14 fois moins de silicium.
  L’artérioslcérose, c’est-à-dire le durcissement des artères, dû notamment à la perte d’élastine, se prévient et régresse sous administration de silicium.
  Les artérites expérimentales guérissent sous l’effet du silicium.
  L’administration expérimentale de cholestérol à fortes doses provoque la formation de plaques d’athérome; si du silicium est administré conjointement au cholestérol les plaques ne se forment pas; (il a également été montré que l’administration du silicium diminue la péroxydation du LDL cholestérol).
  La prêle a un effet hypocholestérolémiant démontré.

  
  
• la silice est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], donc permet la régénération cellulaire de la peau, en cas de pso, un incontournable
  
• vitamine C [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] participe à la fixation du collagène (assouplissement de la chaîne musculo-tendineuse) Pour aller plus loin avec [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• La vitamine A joue plusieurs rôles au niveau du développement de la peau, de l'inflammation, immunité, expression des gènes (etc...) voir points 8. à 15. ici [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. La vitamine A est une vitamine liposoluble des plus difficile à assimiler, particulièrement si l'on a des problèmes digestifs (inflammation). A ce titre il peut-être intéressant de la faire doser de temps en temps [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Pour aller plus loin en cas de carence ou pour optimiser --> [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• Les vitamines du groupe B sont très importantes et interagissent à différents niveaux dans l'organisme, tel dans la production d'énergie, le stress (etc...) il peut-être intéressant d'envisager une cure d'au moins 3 mois renouvelable afin de remettre à niveau ses taux de vitamines B, sachant qu'elles ne sont pas toutes stockées telle la B12 (réserves hépatiques) : choisir une forme co-enzymée (méthylée afin de contourner un éventuel problème de transformation avec la méthylation (voir encadré Nutriting cis-dessous) : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour aller plus loin dans le détail avec Zoelho :
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:vitamines B mode d'emploi
  

  De faibles doses de vitamines B ont leur utilité dans la prévention des déficits ; pour le traitement des déficits importants et chroniques, uniquement des doses élevées peuvent garantir une amélioration durable.

  • Mais attention : souvent, le manque d'une vitamine B est accompagné d'une déficience d'autres vitamines B.

  • En outre, l'administration d'une seule vitamine B augmente les besoins des autres vitamines B non administrées.

  • Les déficits ainsi créés peuvent nuire encore plus à l'équilibre.

   
  

  Il est donc recommandé d'administrer de préférence le groupe dans son intégralité, et, si nécessaire, de suppléer, durant une courte période (p. ex. un mois), une dose de la vitamine B manquant.

  + [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + à part la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• Gérer la méthylation : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] sur une amplitude allant de 30-70%
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:
  La méthylation est un processus métabolique vital. Il a lieu en permanence dans toutes les cellules de notre organisme à un rythme effréné (jusqu’à un milliard de fois par seconde). Biochimiquement, il s’agit d’un processus extrêmement simple qui consiste en la transmission d’un groupe méthyle (un atome de carbone lié à 3 atomes d’hydrogènes, ou CH3) d’une molécule à une autre.
  
  Mais ce procédé, simple en apparence, permet à lui seul d’assurer une multitude de fonctions dans le corps humain, comme la production et la régulation de très nombreuses molécules dont des neurotransmetteurs et hormones dans le cerveau, la détoxification du corps via la production de glutathion (qui n’est autre que l’antioxydant le plus puissant du corps humain), la dégradation de l’histamine dans l’intestin, mais aussi et surtout, selon l’une des grandes découvertes de ces dernières années, il permet la modulation de l’expression de certains gènes de notre ADN via des processus épigénétiques.
  
  +...
  
  La méthylation commence par la méthionine, un acide aminé essentiel présent dans la viande, le poisson, les œufs, les laitages, le soja, etc. Après quelques transformations, la méthionine est donc utilisée dans le processus de méthylation pour fabriquer de nombreux composés essentiels pour le cerveau.
  Elle sera alors dégradée en homocystéine, un composé qui, lorsqu’il s’accumule, peut devenir extrêmement toxique pour l’organisme, mais surtout, indique un problème dans le cycle de méthylation. En ce sens, l’excès d’homocystéine est donc un premier indicateur qui alerte sur une méthylation problématique.

  Et c'est cette homocystéine qui est très inflammatoire. Il y a 3 voies de réduction pour ce composé toxique :
  
• celle des folates --> vitamine B9 = transformation des légumes verts (bactéries du microbiote) = manger beaucoup de légumes colorés en crudité (entrée) et cuit (plat de résistance) = gestion du PH acido-basique + bouffe des bonnes bactéries qui produisent du butyrate (acide gras à courte chaîne et carburant des [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] mais aussi d'autres AGCC le propionate, le valerate et l'acetate = culture d'un bon microbiote = immunité    
  
• celle de la choline [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] --> elle sert également pour obtenir une bile de qualité et ainsi, améliorer la digestion. Comme tout nutriment, selon l'age et le terrain (facteurs génétiques), on peut manquer de choline, surtout si le corps l'utilise à de multiples usages
  
• et enfin la voie de la glycine ou/et du collagène 
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Résultat : si l’on souhaite combler parfaitement nos besoins en glycine, nous sommes en déficit constant à hauteur de 10 gr par jour. Ce déficit a aussi un impact important sur notre espérance de vie totale, comme expliqué dans mon article précédent “[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]“.

  la glycine est utilisée (entres autres), à des fins collagéniques (réparation la nuit des tissus cartilagineux, tendineux, etc...), accompagnement des endotoxines : lorsque l'on mange, on nourrit certaines bactéries (tel l'e.coli (collibacille)), ou les levures de type candida (sucres....) qui produisent proportionnellement des endotoxines. Le sucre est également acidifiant et si mauvaise gestion de l'équilibre acido-basique, on va développer un terrain acide, propice aux mycoses, voire au déséquilibre du microbiote (dysbiose) --> alimentation = se faire des bouillons gras, carcasses de poulet ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]), canard, joues de porc, daubes, os de boeufs avec moelle, osso-bucco, etc.. (le collagène contient 30% de glycine), supplémentation : 10-15g tous les soirs avec le dîner en boisson avec du gingembre au blender par exemple. la glycine a un pouvoir sucrant presque comparable à celui du sucre (sans les inconvénients), on peut ainsi l'utiliser pour sucrer les yaourts... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]    
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

  Le régime paléolithique consiste à se nourrir à la manière de nos ancêtres chasseurs cueilleurs. Il se compose de fruits, de baies, de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], de fruits à coque, de plantes sauvages, ainsi que de gibiers (viandes maigres), de poissons, de coquillages et d’œufs. Il exclut les aliments céréaliers et les produits laitiers, introduits plus tard dans l’alimentation humaine –à l’époque néolithique il y a 10000 ans- lors de l’avènement de l’agriculture. Il bannit les aliments industriels.
  
  NDLR : je mettrai un bémol sur les viandes maigres car qui dit maigre dit peu ou pas de collagène (danger) et quel que soit votre diète (hormis si vous avez des problèmes digestifs, cancer de l'estomac notamment), il serait mal avisé de se passer de collagène or... on en trouve que dans les viandes de 2e choix, grasses et pas dans le filet ou très peu. Voire le paragraphe concernant le collagène et... la glycine ainsi que leur implication coté santé/longévité.
  Faut arrêter avec cette mode d'un autre temps d'éviter les viandes grasses, le corps a aussi besoin de différents gras (acides gras saturés (ghee), mono-insaturés (huile d'olive), [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (petits poissons gras (sardines/maquereaux, anchois, foie de morue, de lotte)) et de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] notamment pour la peau et les membranes cellulaires. Le véritable problème dans notre alimentation (notamment coté prise de poids), sont les différentes sources de glucides/sucres qui se cumulent lors des périodes digestives et, entrainant des hyper puis hypoglycémies à répétition avec stockage du gras produit qui se cumule avec le gras de l'alimentation (= pic d'insuline, transformation des glucides en acides gras, le corps ne peut plus faire la différence entre le gras produit ainsi et celui de l'alimentation, du coup il stocke tout sous forme de gras (1 molécule de glycérol et 3 molécules d'acides gras : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]) --> Les gens qui sont en cétose ou en mode paléo et dont la nourriture est basée sur le gras à des fins caloriques/énergétiques n'ont plus ce problème... curieux non ? Et c'est mon cas donc je sais de quoi je parle...
  En outre hormis le collagène, le corps a besoin des nutriments contenus dans les [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] notamment), pour justement le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : le filet n'en contient pas.

  
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

  La keto, ou diète cétogène, est caractérisée par une diminution marquée de la consommation de glucides (la famille des sucres) et de protéines et par une augmentation de la proportion de l'énergie qui provient des gras (acides gras saturés --> ghee). Même si elle est très à la mode ces temps-ci, elle a été inventée dans les années 1920 pour diminuer les convulsions des enfants souffrant d'épilepsie et diminuer la quantité de médicaments qu'ils prennent. On l’utilise d’ailleurs encore aujourd'hui au CHU Sainte-Justine pour traiter les enfants épileptiques.
  La diète «fonctionne» quand tu réussis à atteindre l’état de cétose.
  
  Les bienfaits allégués de la cétose sont nombreux :
  

  
  
  • Perdre du poids rapidement;
    
  • Ralentir l'apparition de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien];
    
  • Stabiliser [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien];
    
  • Diminuer les symptômes de l'épilepsie;
    
  • Passer sur une source d'énergie auxiliaire en cas de problèmes d'intolérance aux glucides : candidose, sibo, IBS, diabète, cancer, maladies inflammatoires, etc... ou lorsque le corps ne peut faire autrement que de bouffer du muscle pour se nourrir (néonucléogénèse = catabolisme), il faut passer en lipolyse, voire en diète cétogène.
    
  • Etc.
    

  
  inconvénients :
  

  
  
  • éliminer un ou plusieurs groupes alimentaires
    
  • restrictif + changement radical des habitudes alimentaires
    
  • se forcer à manger différemment de ses amis ou de sa famille
    

  
  Les aliments autorisés dans une diète KETO
  
  Pour atteindre l'état de cétose, tu dois manger entre 25 et 50 grammes de glucides par jour maximum (environ 5 à 10% de ton énergie), c’est-à-dire l’équivalent d’une banane ou d’un yogourt en format individuel…pour 24 heures. En comparaison, quelqu'un qui mange «normalement» obtient environ 50% de son énergie des glucides (donc entre 250 g et 300 g de glucides).
  Fait intéressant : un seul repas gras ne te mène pas à la cétose. Pour atteindre cet état, ton corps doit manquer de glucides au moins 3 à 4 jours. Ensuite, si tu maintiens le cap pendant 3 à 4 semaines (période de keto-adaptation), la proportion d'énergie que ton cerveau ira chercher via les corps cétoniques augmentera graduellement, jusqu'à atteindre environ 70%. Là tu seras en vraie cétose.
  Une petite portion de l'énergie que ton cerveau utilise continuera de provenir des glucides qui seront produits spécialement pour lui à partir des gras dans ton corps (si ça c'est pas un traitement de faveur!).

  
  
• diète [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (diminution voire élimination de certaines fibres/glucides/sucres, jugés trop fermentescibles car FODMAPs, les fermentations créent des gaz (carbonique, hydrogène et méthane, voire hydrogène sulfureux), qui ont un impact dans le grêle tant sur le plan de nourrir certaines espèces (les archées se nourrissent d'hydrogène), que de la surpression gazeuse qui peut provoquer de l'hyper-perméabilité par distension (le grêle, contrairement au colon, n'est fait fait pour ça), voire un reflux gastro-œsophagien. Il est aussi prouvé scientifiquement que les gaz produits dans le colon et censé être évacués par et avec les selles, peuvent remonter en partie au niveau de la bouche : de là on peut en tirer n'importe qu'elle conclusion, déséquilibre des espèces coliques (dysbiose), accumulation de gaz dans le grêle provenant du colon, sibo/sifo, etc...
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  Gibson et coll. (1995) ont trouvé une augmentation significative des bifidobactéries et une diminution significative des populations de bactéroïdes, clostridies et fusobactéries avec la consommation de FOS et d'inuline. Terada et coll. (1992) ont signalé une augmentation significative des bifidobactéries et des diminutions concomitantes des clostridies et des Bacteroidaceae pendant l'administration de lactulose.
  C. perfringens et E. coli sont des organismes qui produisent de grandes quantités d'hydrogène gazeux ( Dawes et Sutherland 1992 , McKay et al. 1982 , Price et al. 1988 ). Par conséquent, il est possible que la diminution de ces organismes après un traitement qui augmente les bifidobactéries du côlon entraîne une diminution de la production d'hydrogène gazeux colique. L'hydrogène, le dioxyde de carbone et le méthane sont des métabolites de fermentation dans le côlon. Les sous-produits d'hydrogène gazeux de la fermentation bactérienne peuvent être éliminés du côlon par la microflore métabolisant l'hydrogène ou par l'excrétion dans le souffle ou les flatulences (Calloway 1968). La consommation d'hydrogène ainsi que la production sont uniques aux bactéries coliques ( Levitt 1969 ,Perman et Modler 1982 ); la quantité d'hydrogène gazeux présente dans le côlon reflète donc l'activité nette de ces populations bactériennes. Une réduction de l'hydrogène colique pourrait entraîner moins d'inconfort associé aux ballonnements, à la distension et aux flatulences qui sont fréquemment associés à la production de gaz intestinaux. De plus, de plus en plus de preuves suggèrent que des anomalies du métabolisme de l'hydrogène peuvent jouer un rôle dans le développement de la maladie du côlon ( Christl et al. 1993 , Gibson et al. 1991 , Roediger et al. 1993 ).

  
  
• Les diètes les plus abouties proviennent de pays ou les maladies chroniques inflammatoires des intestins à consonance bactériennes/fongiques sont les plus nombreuses (et par conséquent là ou il y a eu le plus de recherches en la matière car plus de patients (beaucoup plus). On y perçoit également une relation proportionnelle typique liée à la consommation de produits industriels transformés, ainsi qu'une surconsommation notamment d'amidons/glucides.
  

  • un modèle précurseur est celui d'elaine Gottshall [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (html) ou pdf --> [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  • plus aboutie encore, la diète SCD du dr allison Siebecker, spécialisée dans le sibo [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  Son site web : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  Traduction : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  • encore plus aboutie, découlant de la diète d'allison Siebecker, la diète biphasique de nirala Jacobi [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  Son site web [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  NB : ces 3 approches sont réservées à des gens qui ont des problèmes de fermentations du grêle/colon, avec ou sans dysbiose, pour une durée limitée dans le temps (affaiblissement du microbiote) et destinées à limiter/diminuer les proliférations bactériennes et fongiques.

  
  
• diète GAP
  
• diète biphasique
  
• diète FODMAPs
  
• AIP
  

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (ma recette afin d'éliminer le actose et les caséines, tout en préservant un peu les nutriments = chauffer peu et le moins longtemps possible)
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (protocoles antibiotiques et herbothérapie)
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:
Le psoriasis présent depuis 15 ans mettra plus de temps à se résorber que s'il est apparu il y a un an. De la même manière, une zone fortement traitée à la cortisone mettra plus de temps qu'une zone peu traitée, ou qui n'a jamais reçu de traitement.

On peut dire que la maladie provient de nos émotions quand 3 éléments sont réunis :

• Situation émotionnelle désagréable et intense vécue à l'issue d'un événement brutal, d'un choc émotionnel ou d'évènements récurrents, accompagnés d'une charge émotionnelle qui grandit
  
• Situation subie dans l'isolement, de manière concrète ou plus subtile = nous sommes entourés mais incompris par l'entourage...
  
• Le manque de solutions psychique ou physique à notre problème et le sentiment d'une impasse = absence d'une porte de sortie/échappatoire
  

Face à un tel cocktail, notre organisme exprime physiquement ce qui est refoulé à l'intérieur

Symbolique émotionnelle

en attente...

• Les surrénales
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:... On incrimine un stress et on recommande d'apprendre à se déstresser. La capacité de chacun à appréhender le stress est essentiel à la survie, et le centre de contrôle du stress se situe dans les glandes surrénales. Toute fatigue surrénale et toute incapacité à appréhender correctement le stress vont entraîner des troubles physiologiques et une myriade de symptômes (...)
  La fatigue surrénale est peut-être la cause la plus fréquente de l'insuffisance de la thyroïde, à la fois clinique patente et infra-clinique, et pourtant le plus souvent négligée ou ignorée. Elle est souvent responsable d'échecs thérapeutiques. Cette hypothyroïdie peut être assimilée à une "hypothyroïdie secondaire" car l'hypofonctionnement thyroïdien est causé par un dysfonctionnement d'un autre organe que la thyroïde elle-même. Insuffisance surrénalienne conduit souvent à l'hypothyroïdie, mise classiquement en évidence par de faibles taux de T4 et de T3 libres, par une TSH élevée et une température corporelle basse. Peu de médecins sont formés à détecter cette fatigue surrénale. Heureusement, cette hypothyroïdie secondaire est réversible lorsque la racine du problème sous-jacent est traitée et résolue, à savoir la fatigue surrénale.

  Il y a de nombreux articles sur le net : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

• La thyroïde exerce de nombreuses fonctions, notamment sur la motilité intestinale, (complexe moteur migrant = ensembles des mesures neuro-musculaires qui font progresser les déchets jusqu'à leur évacuation). Un bon MMC ( [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ) évite de développer une maladie inflammatoire chronique du grêle à consonance bactérienne = sibo. Avez-vous suffisamment d'iode, de zinc et de sélénium ( [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ) dans votre alimentation ?
  

  Guide des vitamines.org a écrit:
  

  
  
  • [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    
  • [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    
  • [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    

  
  

  
  
• Liens utiles :
  
  
  
  • [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    
  
  
  
• Le diaphragme, la respiration ventrale : Conférence sur la méditation/respiration/gestion du stress (édifiant) [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

  Serge Marquis, médecin québécois, auteur, conférencier, est l'un des meilleurs experts mondiaux de la gestion du stress et de la prévention des risques psycho-sociaux. Développement personnel, humanité, techniques de gestion du stress se marient avec du bon sens autour de l'urgence de ralentir et d'évacuer les pensées négatives qui nous empêchent de profiter de la vie. Son approche drôle et humaniste vise à remettre du plaisir et du bon sens dans la vie de tous les jours.

  --> [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• Le stress influe directement négativement sur le niveau des immunoglobulines de types A (igA), une des lignes de défenses du grêle --> [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] +
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  Ce stress affecte par la voie des cytokines le réseau immunitaire et ses communications avec les systèmes nerveux central et endocrine. A ce titre, il joue un rôle dans le risque infectieux

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Le psoriasis présenté par le patient peut-il être associé au déficit en IgA ?
  Oui. Comme évoquées dans la réponse à la question 1, les manifestations auto-immunes dans le cadre d’une CVID, mais aussi d’un déficit sélectif en IgA, sont bien connues.^{[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien],[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]} En effet, près d’un quart des patients avec CVID manifestent des formes diverses de maladies auto-immunes, en particulier des cytopénies auto-immunes (anémie hémolytique auto-immune, thrombocytopénie auto-immune), mais également – parmi bien d’autres – le psoriasis, le vitiligo ou la thyroïdite.^{[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]} Il faut du reste mentionner que la perturbation des tests hépatiques relevée chez le patient participe probablement du même mécanisme auto-immun…

  
  
• Le stress influe sur le nerf vague, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et a une action délétère sur les mécanismes cruciaux digestifs
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  Une séquence digestive optimale dure environ 16 à 20 heures, de l’ingestion des aliments à l’élimination des déchets. Comme l’activation du nerf vague est responsable du séquençage de la digestion ainsi que du péristaltisme, tout dysfonctionnement du rythme digestif est directement lié à un dysfonctionnement vagal. L’ensemble de la séquence digestive est principalement contrôlé par le nerf vague qui transmet constamment des signaux vers et depuis le système nerveux central. Pour fonctionner de façon optimale, le NV a besoin d’un niveau de stress peu élevé.

  Google a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  Une fonction essentielle du nerf vague est la régulation de l'état inflammatoire de l'organisme. En agissant sur le système immunitaire, il permet d'empêcher un emballement inflammatoire
  Note de darky : quand on sait que le sibo est vecteur notamment d'[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], cela prend tout son sens...

  
  
• Micronutrition : le stress est un bouffe magnésium et vitamine B6, si vous stressez régulièrement et que votre alimentation n'apporte pas assez de ces nutriments... ou...que votre organisme n'absorbe pas bien ces nutriments ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] génétique)... Pour calmer l'excitabilité du [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], il faut du GABA : pour produire du GABA il faut, de la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], du [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]/[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (B6 co-enzymée/méthylée = la forme biodisponible que le corps peut utiliser telle quelle = si une personne est touchée par un gène déficient ou polymorphisme impliquant une mauvaise transformation de la B6 en PLP (pyridoxal phosphate), "l'assemblage" du GABA ne peut se faire...), de la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et... du [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (en attaque 6mg/kg de masse corporelle),  le tout sous des formes chelatées de préférence (= lié à un acide aminé : bisglycinate, taurinate), voir ici --> [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  Pour les petits budgets, il est également possible de consommer du GABA tout fait mais qui n'aura pas la portée de chaque éléments séparés : ne serait-ce que le magnésium est cofacteur dans plus de 323 relations physico-chimiques --> [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• Production de cortisol/sérotonine
  

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Un des facteurs favorisant la production excessive de cortisol est l'irritation intestinale, provoquant l'absorption d'endotoxine et de sérotonine. Les fibres fermentescibles (y compris les pectines et les fructo-oligosaccharides) favorisent la formation de toxines bactériennes et peuvent rendre les animaux anxieux et agressifs. Donnés aux chevaux, certains types de fibres augmentent la quantité de sérotonine circulant dans le sang. Les céréales, les haricots et autres graines contiennent des fibres fermentescibles qui peuvent favoriser une irritation intestinale.
  Le foie a plusieurs façons de détoxifier l'endotoxine et la sérotonine, mais celles-ci peuvent échouer en raison d'une mauvaise nutrition (manque de cofacteurs, ndlr, utiles aux enzymes) et d'une hypothyroïdie.

  Qui dit irritation dit médiation de l'inflammation = mastocytes et histamine... Voir notamment diapos (slides) 12-13 ici --> [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

  La fonction thyroïdienne altère la motilité intestinale, si vous souffrez syndrome du colon irritable ou du SIBO, vous devriez faire évaluer votre thyroïde.
  Les causes sous-jacentes du SIBO sont diverses, mais une qui revient souvent est la fonction thyroïdienne faible. Lisez la suite pour apprendre comment l'hypothyroïdie peut altérer la motilité intestinale et contribuer au SIBO.

  
  

• En priorité, donner en cure d'attaque (3 mois renouvelable) ce qu'il faut à son corps afin de mieux encaisser le stress --> GABA (voir plus haut), attention en cas de candidose (magnésium vitamines du groupe B, glutamine).
  

  guide des vitamines.org a écrit:
  

  
  
  • [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    
  • [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    

  
  

  La synergie magnésium/B6 n'est plus à prouver, reste à adopter des suppléments de qualité biodisponibles, que le corps n'aura aucun mal à utiliser. Le stress qui découle de certaines pathologies est de nature à les renforcer et il devient, à force de pratique, un compagnon auquel on ne fait plus vraiment attention, tellement le corps est noyé sous les symptômes, notamment en cas de sibo (trop d'infos). Le cerveau s'habitue (mal) progressivement à cette contrainte et d'une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] à la base préhensible, on finit en dépression.
  
• Ma technique : la résilience, approche comportementale
  

  Google a écrit:On peut dire d'une personne qu'elle est résiliente lorsque, plutôt que de nier les évènements ou de s'enfoncer dans la tristesse et la dépression à cause d'eux, elle parvient à y faire face, a ressortir plus fort de ses expériences, à rester optimiste et confiant en la vie.

  Concrètement ça donne quoi ? Essayer d'être plus guerrier qu'anxieux (meilleur investissement de l'énergie et du cortisol), moins subir, rendre les coups, on en prend un = on en rend deux (façon de parler), moins de soumission et plus d'action. Dans les faits, à chaque fois qu'on as un problème y'a une solution et il faut s'attacher à la trouver. Si elle ne marche qu'un temps, en trouver une autre et ainsi de suite : gèrer un problème qui va de nouveau vous emmerder quelques jours/semaines plus tard et une fois géré, on passe au  suivant (c'est ce que je fais). Pas de procrastination et de laxisme = on agit. Donner un coup c'est prendre RDV chez le toubib, préparer ce qu'on va lui dire (notes), commander des compléments et budgétiser, rationaliser et prendre des décisions réfléchies et appuyées allant dans le bon sens, dans l'attente de la guérison. Bref, se comporter en patient actif et...réfléchi. Le stress est ainsi mieux investi et je ne serais pas étonné que cela augmente la résistance en pratiquant l'[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] du stress, surtout lorsqu'on se rend-compte que cela commence à payer [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Le système de réponse adaptative au stress
  

• Chaque fois que vous sentez que votre cœur pompe face au danger ou que vous avez l'envie de vous enfuir, d’agresser quelqu'un ou de chercher de la nourriture, prenez conscience que toutes ces réactions sont déclenchées par votre système de réponse au stress. Une fois activé, ce système aide les organismes à résister ou à échapper aux facteurs de stress, tels que le manque de nourriture, le danger, les sollicitations physiques (physical hardship), les toxines et la privation. Les réponses courantes incluent la recherche de nourriture, le combat ou la fuite, la désintoxication et un comportement de recherche du plaisir (addiction).
  Cependant, compte tenu de l'évolution de notre monde, notre système de réaction au stress doit faire face à de multiples facteurs de stress quotidiens, alors qu'il ne peut tolérer le stress que dans une certaine mesure. Une fois que les facteurs de stress s’accumulent au-delà du seuil de tolérance, leur impact combiné rend le système de réponse dysfonctionnel. C'est là que la réaction de combat ou de fuite se transforme en panique, que le comportement de recherche de nourriture se transforme en frénésie alimentaire et que le comportement de recherche de plaisir se transforme en dépendance. L’exposition au stress ne peut nous être utile qu’à un certain niveau. Il est donc impératif de ne jamais dépasser ce seuil.
  Chaque stress, cependant, a une plage, avant que vous ne n’approchiez une surcharge, qui vous permet de vous adapter et de vous améliorer, et c’est ce qui se passe dans cette plage qui est au centre de ce livre. Notez que l'adaptation au stress n'est pas liée au stress seul; elle peut être induite par des molécules alimentaires imitant le stress.

  
  
• Les techniques de relaxation qui combinent de préférence en même temps des efforts abdominaux légers afin de faciliter le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Légers car lorsqu'on a un sibo méthane par exemple, la stagnation des matières dans le grêle + gaz provoque des distensions que le grêle n'est pas conçu pour gérer, s'ensuit inévitablement de l'hyper-perméabilité avec passage de macro-mollécules dans le sang/antigènes et endo-toxines liées aux espèces colonisatrices telles les archées et mise en branle du système immunitaire. Essayer de pratiquer ces exercices avec un grêle le plus vide possible afin d'éviter au mieux les coups de bélier : voir le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Je chercherais sur Google [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. J'essaierais autant que faire se peut de privilégier l'utile à l'agréable, en adoptant des exercices quotidiens (30 minutes environs), qui détendent les muscles spécifiques qui stockent le stress et les tensions [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], voici une planche qui permet de détendre une bonne partie de ces muscles  : 10x chaque exercice en procédant doucement
  
  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
  
  
• Les torsions/rotations de l'abdomen vont permettre une meilleure circulation des fluides et matières (brassage/homogénéité des liquides et des solides)
  
• Le dos, les vertèbres cervicales, dorsales et lombaires, cause possible sous-jacente [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

En résumé :
◘ On travaille sur le stress à l'aide d'approches qui nous correspondent mais aussi adaptées à la situation
◘ On apporte à son corps du carburant pour encaisser le stress sous forme de compléments alimentaires, mais aussi à l'aide de son alimentation (on verra l'alimentation dans un autre paragraphe)
◘ On profite de la situation pour se configurer en guerrier plutôt qu'en otage, le stress et l'angoisse à forte dose en permanence ne font qu'accentuer le problème. Lorsque le magnésium et la B6 auront fait leur oeuvre (il faut du temps), on constate que si on gère à peu près les symptômes et la constipation, on gèrera mieux le stress. ce sera le signe qu'on est sur la bonne pente et...c'est par là qu'il faut aller.
◘ Pour éviter les contrariétés au quotidien (strokes négatifs), on prévoit/organise, cela doit devenir une seconde nature, ses repas, ses RDV, on ne procrastine pas, on réfléchit et on agit illico. Ca a le mérite d'apporter de la satisfaction et le sentiment très bénéfique de garder au moins un certain contrôle sur les évènements, en attendant mieux.
◘ On évite les excitants, caféine, théine (etc...), qui dépriment les surrénales et la thyroïde en optant pour du café décaféiné de type arrabica bio [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

L'eubiose et la dysbiose:

La constipation:

La glutamine:

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  Lorsque l'on ne mange pas assez varié (effet cumul non seulement de la perturbation de la zonuline, mais production d'endotoxines dans le colon susceptibles de passer la barrière hémato-encéphalique --> hyper-perméabilité), les symptômes produisent du stress et le stress influe négativement sur les [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], le nerf vague, la thyroïde, etc...
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  Dans un cadre à risque, (on parle essentiellement du grêle là, mais le colon est concerné aussi) sport (efforts abdominaux, natation, course, muscu, etc...), intolerances alimentaires, sibo/sifo, intestin irritable sont susceptibles de provoquer une perméabilité "étendue", ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]) par le biais notamment de la proteine de perméabilité intestinale : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  Cette proteine est sensible aux aliments/facteurs suivants directs ou indirects : produits laitiers, (à cause des [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]), solanacées, (tomates, poivrons, etc...), gluten, les oeufs, AINS, (aspirine, ibuprofène), deficit en zinc, (immunité), histamine, (inflammation), sibo/sifo, radio et chimiotherapie, les lectines et phytates : céréales et pseudo-céréales, légumineuses, oléagineux, graines crues, (fèves entre autres...), baies de goji, etc...
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  La liste des principaux anti-nutriments et des aliments qui en contiennent + leurs effets favorables sur l'organisme et défavorables   
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
     
  

• Borréliose & maladie de Lyme [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Dr Luc Bodin    rédigé le 24 mars 2014 à 18h27
  Extraits :
  

  
  
  • [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    
  • [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    
  • [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    
  • [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    
  • [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    
  • [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    
  • [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    

  
  En médecine conventionnelle, il n’existe pas de traitement qui soit capable de venir à bout, définitivement, du psoriasis. Cette maladie reste mystérieuse car ses causes peuvent être psychologiques, génétiques, articulaires…
  De [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] au silence.
  
  Dans un tiers des cas, le psoriasis débute avant l’âge de 20 ans. Ce sont les formes les plus sérieuses. Cependant, le psoriasis se manifeste habituellement chez l’adulte jeune. Dans plus de deux tiers des cas, il est peu étendu, atteignant entre 3 et 10 % de la surface du corps. L’évolution est des plus capricieuses, allant de la régression plus ou moins complète, entrecoupée par de nouvelles poussées de fréquences variables, à des extensions importantes voire généralisées ou au contraire à des rémissions spontanées.
  L’origine du caractère « capricieux » du psoriasis est mal déterminée. Il peut sans doute s’agir de problèmes psychologiques, d’écarts alimentaires, de prises médicamenteuses, de troubles digestifs…
  
  Les causes du psoriasis
  
  Une prédisposition génétique. Dans 30 % des cas, il est retrouvé une ou plusieurs personnes atteintes dans la famille des malades. L’absence des gènes LCE3B et LEC3C serait fortement corrélée à la survenue d’un psoriasis. De plus certains HLA sont plus fréquents chez les psoriasiques comme les [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
  
  Un dérèglement du système immunitaire. Ce dérèglement démontre qu’il s’agit bien d’une maladie auto-immune : une activation anormalement importante des lymphocytes T est à l’origine des plaques de psoriasis. Il va y avoir libération de cytokines au niveau de la peau induisant l’inflammation et la rougeur caractéristiques.
  Des auteurs ont mis en évidence que les globules rouges des sujets psoriasiques ont des membranes pauvres en phospholipides. Or ces phospholipides spéciaux servent à régénérer les médiateurs nerveux. L’un de ces phospholipides se transforme en acétylcholine. Si le corps en manque – en particulier dans les périodes de stress car cette acétylcholine apaise le système nerveux – il est obligé de piocher dans ses cellules ce qui provoque une inflammation et la perte d’adhésion des cellules. Au niveau de la peau, cela donne les plaques de psoriasis, parfois accompagnées d’un rhumatisme psoriasique très douloureux.
  
  Les complications possibles du psoriasis
  

  
  
  • Une extension généralisée sur tout le corps (y compris la tête et le visage) du psoriasis. C’est le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
    
  • Des fissures ou des crevasses douloureuses.
    
  • Des surinfections des lésions (psoriasis pustuleux).
    
  • Le rhumatisme psoriasique, qui est un rhumatisme chronique déformant et très invalidant, touche environ 5 % des psoriasis. On en décrit deux formes : la forme périphérique, très proche de la polyarthrite rhumatoïde, qui atteint préférentiellement les articulations distales des doigts, et la forme axiale, atteignant la colonne vertébrale et qui est très proche de la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Les personnes touchées sont souvent porteuses du [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
    

  
  À signaler que le psoriasis induit également un risque accru de maladies cardiovasculaires (infarctus, artérite, accident vasculaire cérébral), de syndrome métabolique et de stéatose hépatique.

  
  

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:Alexandre Imbert    rédigé le 24 mars 2014 à 19h33

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• Les traitements naturels du pso
  
  

La supplémentation en lécithine d'origine marine permet de contrebalancer le phénomène de « carence » en phospholipides provoqué, notamment, par leur surconsommation par le système nerveux en période de stress. Elle est en le traitement naturel du [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] le plus prometteur

Depuis plusieurs années, il a été fait des essais de traitement du psoriasis avec les oméga 3, mais sans trop de réussite. Il existe toutefois une forme plus soluble et capable d’être fixée dans l’organisme, en l’occurrence, des phospholipides à oméga 3 solubles : la lécithine de poisson. Des études font d’ailleurs apparaître qu’en absence de lécithine, les acides gras ne sont ni totalement assimilés ni parfaitement incorporés aux membranes. L’apport de lécithine ou de phospholipides permettrait donc de modifier la fluidité membranaire tant au niveau des globules rouges que des cellules cutanées.
La lécithine marine extraite du poisson ou de ses oeufs régénère les phospholipides des membranes des cellules cutanées enflammées. La phosphatidylcholine de son côté, protège les phospholipides membranaires et reconstitue l’acétylcholine, un neurotransmetteur souvent déficitaire sur ce terrain stressé. Œmine Psoriacalm un produit très intéressant, constitué de DHA et de phospholipides riches en phosphatidyl choline. Ce produit permet de bonnes régressions des psoriasis comme l’attestent plusieurs études. Posologie : 3 gélules matin et soir pendant deux mois, puis la dose sera progressivement diminuée.

Les patients traités passent par trois étapes

Un désépaississement de la peau est d’abord obtenu en environ deux mois. L’épiderme retrouve peu à peu son hydratation et sa souplesse en cinq à six semaines.
Ensuite, il y a disparition progressive de l’inflammation au fur et à mesure que la peau se réhydrate et que le film lipidique se reforme. Le centre des lésions est le premier à reprendre un aspect de peau saine. La peau est plus souple et il y a moins de gène au mouvement.

Enfin, la troisième étape correspond à la cicatrisation progressive des lésions, depuis le centre des lésions vers la périphérie. La cicatrisation est parfaite et laisse un épiderme indemne sans aucune marque ni inflammation.

La durée du traitement est variable et ne dépend ni de l’étendue des lésions, ni de l’ancienneté de la pathologie. Ainsi, on a des cas où le psoriasis est peu étendu mais durable (jusqu’à six mois), d’autre cas où deux mois de prise orale peuvent suffire pour cicatriser totalement un psoriasis généralisé.

Ceux qui souhaitent abandonner le traitement allopathique qui leur a été prescrit ne pourront toutefois pas le faire sans prendre un minimum de précautions (si possible encadrées par leur médecin ou dermatologue). Car les crèmes locales dérivées de corticoïdes ou à base de vitamine D synthétique entraînent une certaine dépendance chez le patient.

On assiste alors parfois au début du traitement à un énorme rebond et la peau peut démanger comme quand on a une croûte après une blessure. Il faut alors persévérer et se donner environ 2 à 4 mois (chez certains cela peut durer moins longtemps). Dans ce cas, des crèmes hydratantes peuvent être appliquées car au début de la prise de lécithine marine, la peau a tendance à sécher au niveau des plaques de psoriasis. Puis peu à peu, tout rentre dans l’ordre.

L’important est de donner le temps au corps de régénérer l’épiderme et il faut environ 120 jours pour cela. Dans tous les cas, il est possible aussi d’associer la lécithine à tous les soins classiques car en tant que complément alimentaire, ce produit ne peut que contribuer à la rémission  des lésions.

• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Œmine Psoriacalm un produit très intéressant, constitué de DHA et de phospholipides riches en phosphatidyl choline. Ce produit permet de bonnes régressions des psoriasis comme l’attestent plusieurs études. Posologie : 3 gélules matin et soir pendant deux mois, puis la dose sera progressivement diminuée.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Œmine Psoriacalm un produit très intéressant, constitué de DHA et de phospholipides riches en phosphatidyl choline. Ce produit permet de bonnes régressions des psoriasis comme l’attestent plusieurs études. Posologie : 3 gélules matin et soir pendant deux mois, puis la dose sera progressivement diminuée.

darky35 a écrit:C'est surtout que les produits chimiques sont souvent sujet à caution, les chimistes ne tiennent pas forcément compte de tous les aspects notamment dans la durée de l'application de leurs produits.

En plus des gélules --> [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Achat --> [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Toujours la lécithine marine, hazard... (?)