Troubles Thyroïdiens, Foie Surchargé & détox

Troubles Thyroïdiens, Foie Surchargé & détox
Ou comment un drainage hépatique soulage les troubles de la thyroïde et permet de récupérer un métabolisme adéquat.
Suite à la lecture du livre d’Anthony WILLIAM « Medical medium : La Thyroïde – Comprendre et traiter les troubles thyroïdiens », je me suis approprié le concept développé dans ce livre.
Lien explicatif : « S’approprier le Principe », en vue d’une détox du foie, combinée à un régime 16.8
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Ici, je vais mettre en évidence qques fondements de cette tactique. Car il s’agit bien d’une stratégie pour combattre une bestiole. Anthony WILLIAM (AW) l’appelle EBV, alias le virus de la thyroïde lorsqu’il squatte cette zone, mais ce virus (Epstein-Barr ou EBV) évolue et mute, au travers de 4 phases. Cela se produit lorsque le foie est surchargé et ne peut plus remplir ses fonctions de base. Il y a engorgement des tissus – une stase sanguine et une lymphe surchargée – un affaiblissement dans la production des hormones, une mauvaise absorption des nutriments, une surchauffe progressive des processus qui doivent normalement conduire à l’équilibre homéostasique, un emballement de la machine, en quelque sorte.
Il s’agit d’une image pour tenter de décrire le processus. Lorsque la thyroïde ralentit le métabolisme – c’est ce que la Science nous apprend, de manière erronée selon AW – nous devons nous attacher à trouver la cause plutôt que tenter de soigner les symptômes.
Notez qu’il y a un certain consensus médical sur le fait que le virus EBV puisse déclencher plusieurs pathologies, mais pas au point où AW le présente. (1)
Pour AW, une thyroïde en sous régime continue à fonctionner, en envoyant des ondes aux cerveaux et aux organes, afin de demander assistance (compensation au niveau de la production hormonale).
*) Une multitude de troubles
L’EBV se cache derrière un si grand nombre de troubles – dont une multitude de maladies auto-immunes – qu’il y a de fortes probabilités pour que vous ne souffriez pas comme vous l’imaginez de plusieurs symptômes distincts, mais de problèmes issus d’une seule et même source. Toutes les maladies provoquées par l’EBV, y compris le syndrome de fatigue chronique, la polyarthrite rhumatoïde, la maladie de Lyme, la fibromyalgie et le lupus tendent à coexister avec les problèmes thyroïdiens, puisqu’elles sont toutes induites par le même virus. Une fois que vous aurez découvert comment éliminer ce virus, vous détiendrez tous les outils nécessaires pour soigner la véritable racine du mal.
Un trouble de la thyroïde doit plutôt être considéré comme un indice, et non comme l’origine du problème.
*) EBV est commensal
Le virus d’Epstein-Barr (EBV) est présent chez au moins 90 % de la population. Il cohabite avec notre microbiote. Au départ, sa fonction était l’assistance dans le processus de détoxification (pesticides, herbicides, métaux lourds), selon AW. Mais, depuis les années 1950, notre environnement est devenu de + en + pollué, avec des carences alimentaires (sols appauvris, malbouffe). Ces toxines ont surexcité le virus et il devenu de plus en plus avide, comme le besoin d’une drogue est exacerbé en cas de sevrage, mais ici, en sens inverse : une surexcitation qui induit un comportement effréné, sans retenue.
Le comportement du virus surexcité, affamé, a tenté de prendre le contrôle en vue de faciliter son approvisionnement. Ce processus est bien connu / bien décrit par certaines études cliniques. Pensez au déséquilibre entre les espèces bactéroïdètes et firmicutes (au détriment des 1^ères) quand les sujets mangent un régime à base de féculents, de fruits et de sucres ajoutés dans les aliments manufacturés, avec un déficit en polyphénols, par exemple. Ce déséquilibre renforce la prédominance d’une souche, au comportement débridé car il n’est plus contingenté. (…)
*) Parenthèse : Relativisons la portée du livre « Medical Medium – la Thyroïde ».
Perso, je ne me rallie pas complètement à l’analyse d’AW. Mais ce qui importe ici, c’est que l’objectif recherché aboutit à la même procédure de détoxification du foie. Le foie est le contremaître en chef.
Ce qui me dérange, c’est le besoin de lier l’Esprit Divin avec le processus de détox, comme si la lecture de l’aura était la source de ses capacités de discernement et d’analyse, comme si  la capacité  de l’auteur – à préciser les causes ayant déclenché les différentes pathologies  –  était un don divin. Je peux accepter la croyance de l’auteur mais pas la manière de présenter les choses, comme s’il y avait un lien entre ses capacités réelles de diagnostic, les conseils de bon sens en matière comportementale et de nutrithérapie, et son statut d’élu. Une marche que je ne franchis pas.
Pour autant, je ne commettrais pas l’erreur de jeter le bébé, avec l’eau du bain. Le livre est une mine d’informations utiles, un stimulus pour qui souhaite entreprendre un changement de paradigme. La maladie ne nous définit pas (…).
NB : Selon mon point de vue, AW a commis l’erreur de vouloir se prendre pour un intermédiaire et s’exprimer pour relayer la communication de l’Eprit divin, une mission d’assistance à ses concitoyens. Un pas trop loin. Ce n’est pas la capacité de détection et d’analyse qui sont remises en question, c’est l’explication de son origine et surtout la manière de la présenter, à certains moments. (1)
Mais je vais laisser cet aspect de côté car c’est secondaire, à mon avis. ET on n’est pas obligé de me suivre, sur ce plan, si vous avez une capacité d’analyse et un sens critique aiguisés. Fermons cette parenthèse. S’il vous plaît, évitons de nous concentrer sur ce dernier aspect car je répète : La démarche – qui consiste à soulager l’engorgement du foie – est bien fondée, quel que soit le point de vue. Le foie est le contremaître en chef. S’il ne peut pas effectuer son travail, les problèmes vont suivre. Peu importe qui de l’œuf ou la poule était présent en 1^er lieu, alors.
*) Nutriments essentiels
Dans l’optique de favoriser l’immunité naturelle, notre organisme a besoin d’être correctement approvisionné en nutriments essentiels, vitamines et minéraux en tête. L’EFSA – l’Autorité européenne de sécurité des aliments –  considère que six vitamines (A, C, D, B6, B9 et B12) et quatre minéraux (zinc, fer, cuivre, sélénium) sont essentiels à une bonne santé immunitaire. (2)
*) Eléments déclencheurs
Il est possible que vous n’ayez pas eu conscience d’ingérer certaines toxines, d’affronter ces éléments déclencheurs le jour où ils sont apparus dans votre vie. Vous avez pu être exposé à des pesticides à votre insu, souffrir d’une carence nutritionnelle que les analyses de sang n’ont pas décelée ou avoir été mis en présence d’un déclencheur d’un autre type, comme un simple nettoyant pour tapis.
Ces éléments ont pu aussi être transmis de génération en génération, bien que le contexte joue un rôle dans la vitesse du déroulement et l’apparition d’une pathologie. Pathologie qui pourra rester un simple dysfonctionnement si un stade critique n’est pas dépassé. Tout sera bien souvent une question de contexte, avec éléments déclencheurs en quantité et fréquence élevées ou non. Avec des périodes de récupération, de cure ou non (jeûne).  « Le microbe n’est rien ; le terrain est tout ! », aurait dit un certain Antoine Béchamp, à la fin de sa vie.
*) Eléments déclencheurs, par ordre d’importance
1. Moisissure.
2. Amalgame dentaire à base de mercure.
3. Mercure sous toutes ses formes.
4. Carence en zinc
5. Carence en vitamine B_12.
6. Pesticides et herbicides, y compris le DDT.
7. Insecticides domestiques.
8. Traumatismes émotionnels. Par exemple un décès. Les traumatismes émotionnels de toutes sortes peuvent affaiblir le système immunitaire et amener les glandes surrénales à libérer les hormones associées aux émotions « négatives » qui seront susceptibles de nourrir les virus. L’adrénaline constitue un carburant de choix pour certains virus, tels l’EBV.
9. Peine de cœur ou trahison.
10. Prendre soin d’un être cher (sacrifice et endurance)
11. Médicaments « provirus » : les antibiotiques et les benzodiazépines affaiblissent le système immunitaire et nourrissent le virus de la thyroïde.
12. Surdosage: Prendre des dosages élevés de médicaments, en particulier si vous suivez plusieurs traitements à la fois, peut créer un cocktail destructeur pour le système immunitaire et ouvrir la porte à une attaque virale. Surcharge du foie, en vue.
13. Certaines modifications hormonales (puberté, accouchement) induisent un changement et affaiblissent momentanément le système immunitaire.
14. Consommation de drogues.
15. Pression financière : les émotions négatives engendrées peuvent devenir écrasantes.
16. les Blessures physiques ou les traumatismes peuvent épuiser l’organisme au point d’offrir au virus l’opportunité de quitter son état dormant et de passer au stade actif de l’infection. Si vous devez subir une intervention chirurgicale, cette opportunité s’accroît encore, car celle-ci s’accompagne généralement de prises d’antibiotiques.
17. Nettoyage de tapis.  Toxines à relargage différé.
18. Peinture fraîche: la plupart des peintures fraîches diffusent des vapeurs toxiques.
19. Baignade estivale: les algues rouges qui s’accumulent dans les lacs ou le long des côtes océaniques par temps chaud entraînent une diminution de l’oxygène, qui favorise la croissance des bactéries.
20. Ruissellement : les eaux de ruissellement provenant d’anciennes décharges et de sources toxiques en général peuvent contenir des métaux lourds et d’autres substances toxiques qui se déversent dans les lacs, en particulier par temps chaud en été. Nager dans ces lacs contaminés expose aux toxines et diminue la capacité du système immunitaire à combattre le virus de la thyroïde.
21. Insomnie : tout trouble de sommeil persistant perturbe le corps et, au fil du temps, offre au virus l’opportunité d’agir.
22. Piqûres et morsures d’insectes: une piqûre d’araignée, d’abeille, de tique ou d’autre insecte laisse parfois du venin ou une partie de l’insecte sous la peau, susceptible de provoquer une infection, cette infection risquant d’affaiblir le système immunitaire ; si le timing est bon, un virus de la thyroïde dormant peut saisir cette opportunité pour s’installer dans l’organisme.
*) La vérité sur les déclencheurs
Peu importe ce que vous avez entendu dire, le déclencheur, quel qu’il soit, ne constitue pas la raison sous-jacente de la maladie. Ne rejetez pas non plus la faute sur vous. Vous n’êtes pas responsable de votre maladie, pas plus que de la vie que vous menez. Considérez ce virus comme un incendie, et le déclencheur comme l’essence qui lui permet de se propager plus rapidement.
Lorsqu’une personne a été exposée – disons à une moisissure toxique – et qu’elle ressent des symptômes violents – plus violents, par comparaison avec le ressenti d’une autre personne – cela révèle qu’elle est infectée par le virus de la thyroïde et que la moisissure a épuisé son système immunitaire.
Ici, l’élément déclencheur a dépassé le stade de la simple pénétration de l’organisme. Il a surchargé les émonctoires et ralentit le travail du foie qui est saturé. On est à l’étape 3 sur 4, selon AW.
La thyroïde est atteinte ; elle peine à fournir le travail requis. Le stade ultime, ce sera l’atteinte des neurotransmetteurs, ce qui induira une pathologie du genre SEP, PR ou la maladie de Lyme. La maladie de Lyme est virale et non bactérienne, selon AW.  Mais tout n’est pas perdu. (…)
Parce que la SEP survient au stade IV de l’EBV, les personnes atteintes de cette maladie souffrent également de troubles thyroïdiens, diagnostiqués ou non. La meilleure façon de traiter l’un ou l’autre type de SEP – et avec lui, le problème thyroïdien – est de traiter l’EBV et de renforcer le système nerveux (pour plus de détails sur la SEP, voir le chapitre qui lui est consacré dans Medical Medium, « La Signification de vos Symptômes » (chapitre V, p 41-78) (page 20 du Docx, version complète).  
Comment fonctionne le virus de la thyroïde ?
Comme déjà précisé, le virus de la thyroïde se contracte assez facilement et il peut se transmettre par lignée familiale. Il mute très facilement et existe sous différentes souches, +/ actives, selon la lignée et / ou le contexte (éléments excitateurs ou affaiblissant les défenses immunitaires). Il raffole des 3 situations suivantes : ML présents, hormones (adrénaline) et immunité affaiblie.
Au départ du processus d’excitation, le virus est très souvent bénin et occasionne simplement un coup de fatigue. Il est contingenté, en période d’incubation, dirons-nous. Cela peut prendre des semaines ou des années, voire des dizaines d’années avant qu’il entame sa progression, lorsque les déclencheurs et les circonstances convergeront.
NB : Les hormones thyroïdiennes de substitution issues du traitement font croire à l’hypophyse que vous produisez suffisamment d’hormones et, qu’en conséquence, celle-ci diminue sa production d’hormones destinées à stimuler la thyroïde. Ce taux inférieur de TSH offre un sentiment de sécurité erroné; le médicament ne soulage en rien la thyroïde. Mauvaise perception et mauvaise analyse.
NDLR : C’est un signal indirect : La TSH est une hormone sécrétée par l'hypophyse pour stimuler la thyroïde (afin qu'elle sécrète les hormones T3 et T4). Ce n’est pas la preuve d’un problème lorsque le cerveau ne reçoit pas la bonne communication. Plus de détails sur l’ajustement des hormones de la thyroïde dans le livre. Le protocole de traitement doit être régulièrement adapté, jusqu’au jour où cela ne suffira plus, pour certaines personnes (Foie intoxiqué).
Sous-produits viraux
Les cellules virales ont un cycle de vie approximativement de 6 semaines, ce qui signifie qu’elles meurent régulièrement. Et elles prolifèrent d’autant mieux qu’elles reçoivent leur carburant privilégié : les ML, l’adrénaline et même les œufs selon AW (riches en composés hormonaux).
Plus les cellules virales prolifèrent, plus les sous-produits expulsés augmentent, entraînant des problèmes de santé cardiaque. 
Cadavres viraux  
L’accumulation de cadavres viraux dans le foie et le système lymphatique crée une inertie souvent à l’origine de troubles tels que la fatigue, la prise de poids, la rétention d’urine, la constipation, les ballonnements, les bouffées de chaleur, les palpitations, la confusion mentale et les symptômes de péri-ménopause/ménopause. Lorsque l’EBV est actif, les cadavres viraux finissent par atteindre l’appareil intestinal. Si une personne se voit alors prélever un échantillon de selles, les centaines, voire les milliers, de cadavres viraux présents dans cet échantillon trompent souvent les médecins qui diagnostiquent par erreur une activité parasitaire …
Neurotoxines et Dermatoxines
Dans ses derniers stades, l’EBV produit des neurotoxines. Ces poisons, qui perturbent la fonction nerveuse, se retrouvent dans les déchets du sous-produit émis par le virus, et se dispersent, enflammant les nerfs et provoquant des douleurs …
Lorsque le foie a du mal à filtrer les toxines, elles tournent en rond et ont tendance à rendre le foie et le système lymphatique léthargiques et dysfonctionnels. Elles s’accumulent et le corps cherche alors une échappatoire via le réseau secondaire d’évacuation des toxines, s’échappant par les poumons (haleine d’œuf pourri) et la peau (eczéma), provoquant irritation, douleurs et démangeaisons et / ou éruptions cutanées.
NDLR : Que ce soit les cadavres du virus EBV ou les débris LPS de bactéries zigouillées par le système immunitaire (lymphocytes NK), en cas de prolifération bactérienne, on s’en fout. La tactique reste la même. Il faut épurer, par palier, et de préférence par séquence – càd avec des périodes de récup. (3)
On Prend la Tangente
Notez ici, que nous prenons la tangente : On oublie l’infestation par EBV et on garde le principe de la cure de détox. Dans les 2 cas de figure, nous avons à faire à un foie engorgé qui rame. Attachons-nous à l’allègement de sa charge. Nous aboutirons au même résultat, que l’on « croit » ou non en la dominance du virus EBV, ou que nous pensions que le foie – qui est le contremaitre en chef –, lorsqu’il est défaillant, est source de nombreuses pathologies. Quand le foie n’effectue plus correctement son travail hormonal et de filtrage, les pathologies suivent, selon la faiblesse du terrain rencontré (variable pour chaque individu).
Stade IV: la maladie mystère
Pour ne pas laisser certaines personnes sur leur faim, précisons tout de même encore ce qui suit. Certaines personnes pourront se reconnaître dans la description des symptômes neurologiques rencontrés.
Extrait
Au fur et à mesure de sa progression, le virus affectera une personne au niveau neurologique,  mais il continuera d’endommager sa thyroïde et de surcharger ses organes qu’il a ciblés lors du stade II. Epstein-Barr peut passer du stade III au stade IV en une seule journée, ce qui signifie qu’il peut s’attaquer à la thyroïde et au système nerveux central presque simultanément.
Les symptômes que vous pouvez alors ressentir sont les suivants (et la liste n’est pas exhaustive): fatigue, confusion mentale, palpitations, ballonnements, désarroi, bouffées de chaleur, anxiété, troubles du sommeil, douleurs, maux de gorge chroniques, fièvre légère, picotements et engourdissements, alopécie, ongles cassants, sécheresse cutanée et vertiges (pour une liste plus détaillée accompagnée d’explications, voir le chapitre 5 du livre). Tous sont des symptômes viraux – certains dus à la présence du virus dans un autre organe –, et aucun n’est causé par la thyroïde.
La priorité du système immunitaire au cours de cette bataille est de protéger la thyroïde. Si le virus y est installé depuis un certain temps, il n'est pas rare que des nodules s’y développent. (…)
Il est tout à fait possible d’empêcher un cas de stade I, Il ou même III d’atteindre cette étape débilitante. Et si le mal est fait, ne perdez pas espoir, vous pouvez inverser la situation et remporter la bataille.
Thyroïde et  carburation sous-vitale
Extrait :
En ciblant la thyroïde, le virus a pour objectif d’affaiblir le système endocrinien. Une thyroïde altérée dynamise l’activité des surrénales – ce qui peut durer un certain temps –, et l’excès d’adrénaline qui en résulte constitue un véritable festin pour le virus. L’EBV l’utilise, ainsi que le cortisol, pour se développer et se renforcer et, à partir de là, attend le déclencheur (comme une peine de cœur ou un divorce) ou le carburant idéal (un excès d’adrénaline ou simplement le sandwich aux œufs et au fromage de trop) pour se diriger vers sa cible ultime: le système nerveux central. Mais, encore une fois, ce processus n’est pas inéluctable, il peut être arrêté, inversé ou maîtrisé.
Inflammation des nerfs et confusion mentale
Tous ces problèmes ont une explication physique. Lorsque le système immunitaire fait son travail et que le virus arrive en fin de vie (assez courte), des débris de virus (LPS) et des neurotoxines virales ont été relarguées dans la circulation sanguine. Elles se déplacent dans la circulation sanguine et se dirigent vers le cerveau où elles court-circuitent les neurotransmetteurs; le virus enflamme et attaque les nerfs partout à travers le corps, les rend vulnérables, voire allergiques aux neurotoxines. Il est alors courant de connaître des problèmes plus accentués de confusion mentales, perte de mémoire, désarroi, dépression, anxiété, migraine, douleurs articulaires, douleurs nerveuses, palpitations cardiaques, corps flottants du vitré, syndrome des jambes sans repos, bourdonnements d’oreilles, difficulté de cicatrisation et autres.
Lorsque les nerfs sont blessés, que ce soit en raison d’un accident ou de l’EBV, ils envoient une hormone « alarme » pour avertir le corps de leur vulnérabilité et de la nécessité d’être rétablis. Au cours du stade IV, l’EBV détecte cette hormone et se précipite pour s’arrimer aux nerfs endommagés.
Lorsque le virus s’installe dans ou autour du système nerveux central, il enflamme les nerfs. Son objectif est de ralentir le fonctionnement des systèmes corporels, de sorte que le système vasculaire (les vaisseaux sanguins) ne puisse plus fournir d’importantes quantités d’oxygène aux organes. Or, l’oxygène renforce le système nerveux et constitue un antiviral essentiel à la guérison. Lorsqu’il n’est pas présent en quantité suffisante, il crée un terrain idéal pour la prolifération de l’EBV et contribue aux troubles du tissu conjonctif. C’est pourquoi les régimes riches en matières grasses sont préjudiciables aux personnes qui présentent des symptômes et des troubles neurologiques : un taux élevé de graisse dans le sang diminue les taux d’oxygène et favorise [donc] la prolifération du virus.
Commentaire NDLR : Il faut nuancer. 20 % de matière grasse est optimal, de manière générale. 30% maxi, c’est d’accord. Mais en cas de détox, en cure, il serait opportun de limiter l’apport de MG. Par exemple 10 à 15%, selon le ressenti, en laissant une fenêtre de temps assez longue (12 à 16H selon l’état du foie), sans un apport de MG après le dernier repas de la journée. Donc avec un régime de 2000 K/cal, cela donnerait 300 K de MG, soit +/ 35 gr de MG (15%).

Sources et Références
1) Consensus sur la co-infection par le virus EBV.
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Un article de synthèse publié dans le New England Journal of Medicine précise que le virus EBV a réussi à infecter plus de 90 % de la population humaine.
Il est extrêmement courant de trouver des preuves d’une infection par le virus d’Epstein-Barr, compte tenu de sa facilité à nous infecter, mais sa présence ne signifie pas automatiquement qu’il est à l’origine d’une maladie particulière.
2A) Nutriments essentiels
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L’Autorité européenne de sécurité des aliments –  considère que six vitamines (A, C, D, B6, B9 et B12) et quatre minéraux (zinc, fer, cuivre, sélénium) sont essentiels à une bonne santé immunitaire.
2B) Comprendre et assister l’hypothyroïdie
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De quoi la tyroïde a-t-elle besoin pour fonctionner ?
3) Résidus LPS
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Lorsque le système immunitaire (globules blancs) phagocyte et détruit les bactéries, des résidus LPS subsistent et sont pris pour cible et suractivent le système immunitaire. Il s’ensuit une erreur de marquage, par mimétisme moléculaire. Nous avons besoin des MG pour convoyer ces résidus vers la sortie, dans les selles.

Jonction avec la détoxification du foie
Un apport de graisse limité – Apport Optimal de Lipides à 15% en cas de Détox
Et là, vous voyez où je veux en venir : Le régime 16.8
Il ne s’agit pas d’une diète ou d’un régime amaigrissant, bien que l’organisme aille puiser dans les réserves de MG (stockées dans les adipocytes).
Le principe : un jour sur deux vous ne mangez que des fruits (ou des légumes, ou un potage) le matin, jusqu’à midi. Pas de matière grasse, de préférence. Pas de féculent ni de légumes racines (amidons). Et encore moins des légumineuses (anti-protéases). Ainsi, vous laissez le foie au repos de 20H la veille, à midi ; soit une période de 16H. D’où l’appellation « régime 16.8 ». Repos le weekend, si souhaité, ce qui facilitera la vie en société. Si un jour, vous n’avez pas pu vous abstenir de prendre un petit déj, vous reportez au lendemain. Jamais 2 jours d’affilée, le régime 16.8, sinon le cerveau pourrait se mettre en mode défensif. Ralentissement de la carburation car un cinglé le rationne. Ne jamais descendre sous 1200 K/cal, sur 2 jours d’affilée. Si malgré la mise en garde, vous voulez accélérer la perte de poids – bien que ce  ne soit pas l’objectif principal mais un bonus appréciable pour pas mal de personnes –  vous allez galérer à la sortie, lorsque vous voudrez reprendre un régime dit normal. Attention à ne pas faire le yoyo, alors, comme pas mal de gens.
On pratique cette cure sur 3 à 4 semaines, puis on stabilise. On recharge les batteries si vous n’avez pas pu optimiser l’apport de micronutriments (électrolytes en particulier). On évite de stimuler le foie de manière non-stop, si parallèlement vous avec décidé de lui apporter un soutien pour optimiser la détox (eau citronnée, desmodium et / ou chardon-marie, par exemple).
Optique choisie
Quelles que soient les difficultés rencontrées – Charge virale, toxines ou  foie encombré – l’objectif reste le même : Faciliter la récupération et un retour vers l’homéostasie du corps.
La peur de l’iode
Beaucoup de personnes s’inquiètent du lien entre l’iode, l’hypothyroïdie et la thyroïdite de Hashimoto. Nous savons que l’iode est un désinfectant particulièrement efficace pour éliminer les virus et les bactéries. C’est un allier de 1^er choix. Quand de l’iode de haute qualité pénètre le système corporel, en raison d’un régime alimentaire ou de la consommation de compléments (fucus), il applique la même efficacité à combattre les germes. Cela signifie également qu’une personne atteinte d’une carence en iode est plus vulnérable aux infections bactériennes et virales.
Pourquoi une telle confusion au sujet de l’iode et de la thyroïde? Lorsqu’elle atteint la thyroïde, l’iode élimine rapidement les cellules virales, ce qui peut, par réaction, déclencher une inflammation temporaire. En outre, il faut s’assurer d’avoir une réserve adéquate de sélénium (100 mcg en supplémentation, si l’alimentation en et dépourvue). Le sélénium est un oligo-élément qui régule la synthèse des hormones thyroïdiennes. C'est aussi un antioxydant qui réduit l'inflammation. Il protège donc la thyroïde des effets de l’oxydation. 1 noix de Brésil par jour est suffisante (avec un reste de pelure), si vous ne mangez pas bcp de viande.
Notez que lorsque vous souffrez de carences en zinc, l’iode quitte rapidement votre corps, et vous perdez ses bienfaits curatifs même si vous en consommez de grandes quantités.
Un complément de sulfate de zinc liquide pour une gorge irritée par une infection bactérienne ou virale peut faire la différence entre souffrir et entrevoir la lumière de la guérison…

Un Jour à la Fois – Aliments à Eviter
Vous n’avez pas à renoncer brutalement au doux plaisir d’un sandwich au jambon et au fromage (ou de n’importe lequel des aliments cités ici) mais sachez que vous facilitez la vie au métabolisme si vous éliminez ou modérez très fort les aliments suivants :
- Les œufs : bourrés d’hormones. Nourriture favorite du virus, selon AW.
- Les produits laitiers, et surtout le fromage (hormones et matière grasse) (4)
- le gluten issu du blé (perturbateurs de la zonuline et excitation de certains récepteurs par les peptides non assimilés correctement par les enzymes). (5)
NB : Les chercheurs ont identifié un récepteur à la gliadine au niveau des cellules qui tapissent la surface interne de l’intestin (jonctions serrées). L’interaction de la gliadine avec ce récepteur provoque la libération de zonuline qui, à son tour, provoque l’ouverture des jonctions serrées de la barrière intestinale. La liaison de la gliadine à son récepteur augmente donc la perméabilité intestinale.
Cependant les conséquences peuvent être très différentes d’un individu à l’autre selon les susceptibilités génétiques de chacun.
Et aussi, avec parcimonie :
- L’huile de colza. Chez certaines personnes l’huile de colza augmente l’inflammation et le stress oxydatif. Quoi qu’en disent certains acteurs du secteur de la santé. Le colza est souvent raffiné et 90 % de la production aux USA est dérivée de canola génétiquement modifié. On a cherché à éliminer l’excès d’acide érucique. Malgré cela, cette huile n’est pas top car le ratio W3/W6 est insuffisant, soit 1/10. Ratio souhaité entre 1/1 et 1/5. (6) Si de l’huile de colza est utilisée dans les aliments manufacturés, elle sera altérée.
- Le maïs et le soja modifiés
L’utilisation des pesticides, herbicides et fongicides a augmenté à un rythme alarmant. Cela ne signifie pas que vous devez craindre cet aliment, mais qu’il convient de rester pru­dent et d’observer vos réactions lorsque vous en consommez.
- Le porc n’est pas parfait
L’un des problèmes des produits porcins est leur tendance à contenir un taux de graisse plus élevé que tout autre produit animal, même si le porc est une viande « blanche » et « maigre ». L’autre problème est son type de graisse. Même si elle ressemble à une graisse animale typique, il lui faut beaucoup plus de temps pour se disperser dans la circulation sanguine après un repas – entre 12 et 16 heures contre 3 à 6 heures pour les autres graisses animales.
Plus les taux de graisses dans le sang sont élevés, moins le sang est oxygéné. Or, un organisme bien approvisionné est essentiel pour être au top de sa forme. La graisse de porc pèse sur le foie car elle est en quantité importante. En outre, c’est dans les graisses que les toxines sont généralement stockées (ML).

Sources et Références
4A) Lait, mensonge et propagande.

Thierry Souccar
4B) livre : Rhumatisme : L'alimentation est-elle coupable ?
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Jean-Marie Poinsignon, rhumatologue
5A) Seignalet – L'Alimentation ou la Troisième Médecine
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5B) Gluten et taux de prolamines
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Il y a une similitude de configuration entre les peptides des protéines des céréales, de certaines pseudo-céréales et des laitages, particulièrement au niveau de la gliadine-alpha. « On sait maintenant que la résistance des gliadines aux enzymes digestives est due à leur structure cyclique très rigide constituée de plusieurs associations répétées de deux acides aminés, la proline et la glutamine. Quatre types de gliadines (nommées alpha, bêta, gamma et oméga) ont été identifiés, ce qui a permis de montrer que la gliadine-alpha présente des effets pathogéniques plus marqués que les autres gliadines. En fait, « la gliadine-alpha présente une capacité supérieure à activer de façon exacerbée le système immunitaire ainsi que d’autres caractéristiques pathogéniques susceptibles d’altérer le comportement normal des cellules. »
6) L’huile de colza
Over 90% of canola crops in the United States and Canada are genetically engineered. Several animal studies link canola oil to increased inflammation and oxidative stress. In one study from 2011, rats fed a diet of 10% canola oil experienced decreases in several antioxidants and increases in “bad” LDL cholesterol levels, compared to rats fed soybean oil.
Plus, the canola oil diet significantly decreased lifespan and led to sizable increases in blood pressure ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]).
Another recent rat study demonstrated that compounds formed during the heating of canola oil increased certain inflammatory markers. 


A suivre:                                                                           
L’heure de reconstruire son corps : Aliments, Herbes et Compléments Curatifs

Sommaire du livre « Medical Medium – La thyroïde »
Préface          XI
Note à votre attention       XIII
PARTIE I : Révélations sur la thyroïde                                 1
Chapitre 1 :   La vérité sur la thyroïde                                       3
Chapitre 2 :   Les déclencheurs du virus de la thyroïde               11
Chapitre 3 :   Comment fonctionne le virus de la thyroïde           19
Chapitre 4:    La véritable mission de la thyroïde                        35
Chapitre 5 :   Symptômes et maladies : l’explication                    41
Chapitre 6 :   Le cancer de la thyroïde                                         79
Chapitre 7 :   Les tests thyroïdiens                                              85
Chapitre 8 :  La médication thyroïdienne                                      91
PARTIE II : Les Grandes Erreurs                                           101
Chapitre 9 :   Un pont vers la santé                                            103
Chapitre 10:  Grande Erreur n° 1 : la confusion auto-immune       111
Chapitre 11 : Grande Erreur n° 2 : les idées fausses sur les maladies mystères  115
Chapitre 12 : Grande Erreur n° 3 : les étiquettes « explicatives »   117
Chapitre 13:  Grande Erreur n° 4: l’origine inflammatoire              119
Chapitre 14:  Grande Erreur n° 5: le mythe du métabolisme          123
Chapitre 15 : Grande Erreur n° 6 : la responsabilité génétique       127
Chapitre 16:  Grande Erreur n° 7 : ignorer les Quatre Menaces      131
Chapitre 17:  Grande Erreur n° 8: tout se passe dans votre tête     135
Chapitre 18 : Grande Erreur n° 9 : vous créez vos maladies           137
PARTIE III : Ressusciter sa thyroïde                                       141
Chapitre 19: L’heure de reconstruire son corps                              143
Chapitre 20: Vivre sans thyroïde            147
Chapitre 21 : Les méprises courantes et les erreurs à éviter            151
Chapitre 22: Aliments, herbes et compléments curatifs                   161
Chapitre 23: Détoxifier sa thyroïde en 90 jours                               175
Chapitre 24: Recettes curatives pour la thyroïde                              187
Chapitre 25: Les techniques de guérison de la thyroïde                     251
Chapitre 26: L’histoire d’une guérison                                              257
PARTIE IV : Les secrets du sommeil                                           263
Chapitre 27 : L’insomnie et la thyroïde                                             265
Chapitre 28: La source du sommeil                                                  269
Chapitre 29 : Identifier les troubles du sommeil                                273
Chapitre 30 : Guérir les troubles du sommeil                                     281
Chapitre 31 : Les bienfaits des cauchemars                                       287
Postface: L’or de votre âme                                                              291
Index                                                                                             293
Remerciements                                                                               301
À propos de l'auteur                                                                         305

*) Présentation de l’auteur
Anthony WILLIAM est doté d'un talent unique, celui de pouvoir s’entretenir avec un « esprit » qui lui fournit des informations incroyablement précises sur la santé des personnes venues le consulter – parfois même avant l’apparition des premiers symptômes –, et à qui il explique comment guérir. L’exactitude de ses observations et un taux de réussite hors du commun lui valent le respect et l’amitié de milliers de personnes de tous pays et de tous horizons. Il apporte également une aide précieuse aux médecins sollicitant son intervention dans le cadre de cas particulièrement difficiles à diagnostiquer.
Il est également l’auteur des best-sellers internationaux Médical Medium – Des informations déterminantes sur l’origine et le traitement des maladies et Medical Medium – les aliments qui vont transformer votre vie, parus chez le même éditeur. (Editions Trédaniel)

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Anthony William
Source: From Wikipedia, the free encyclopedia
Anthony William Coviello, known professionally as Anthony William or the Medical Medium, is a self-proclaimed medium who offers pseudoscientific medical and health advice based on alleged communication with a Spirit. He authors books and offers advice online on forums such as Gwyneth Paltrow's Goop column and his own website. William believes that the Epstein-Barr virus is responsible for multiple ailments, including cancer. He claims to be the originator of the lemon juice in water morning detox as well as the celery juice fad, which he claims can offer many health benefits. Critics allege that he is practicing medicine without a license and that he has, at times, improperly solicited positive Amazon reviews for his books.

L’heure de reconstruire son corps : Aliments, Herbes et Compléments Curatifs
Ce chapitre va vous permettre d’offrir à votre corps les outils nécessaires pour éliminer les résidus LPS, réparer ses dommages et vous régénérer afin de vous ouvrir les portes d’un avenir meilleur.
Considérez ce chapitre comme un catalogue proposant des options plutôt qu’un recueil de règles. L’intégration de ces éléments curatifs dans votre vie consiste à créer une routine que vous serez en mesure d’assumer.
Après une période d’amélioration, vous risquez de voir apparaître de nouveaux symptômes ou d’être à nouveau accablé par la fatigue. Sachez que cette phase fait partie de la guérison et que plus vous intégrerez d’éléments curatifs dans votre régime, plus vous serez en mesure de raccourcir ou d’éviter ces cycles de relargage excessif. [=> Effet rebond, après une période d’amélioration].  (7)
Nous devrons procéder par étape, avec des pauses, afin d’éviter la surcharge des émonctoires.
Aliments curatifs
Puisque vous êtes devenu votre propre spécialiste en matière de santé, vous êtes désormais le mieux placé pour évaluer les aliments qui correspondent le mieux à vos maladies et symptômes. Si vous souhaitez les intégrer tous, n’hésitez pas ! Si vous préférez une approche plus mesurée et réaliste, choisissez-en trois parmi la liste proposée sur lesquels vous concentrer lors de votre première semaine. Collez cette liste sur votre réfrigérateur pour vous souvenir de les intégrer à votre régime. La semaine suivante, choisissez-en trois autres, ajoutez-les à la liste et incorporez-les à vos repas quotidiens. Il ne s’agit pas de manger une feuille de laitue ou une tranche de pomme de temps en temps. Pour un véritable changement, vous devez consommer ces aliments en quantités substantielles.
Vous découvrirez à quelle vitesse vous allez éliminer les aliments nocifs vus précédemment. Dans le chapitre suivant, nous examinerons comment intégrer ces nouveaux aliments curatifs à votre vie pour des bienfaits optimums.
·           Les feuilles de l’artichaut
Les éléments nutritifs des artichauts agissent comme des anti-proliférateurs et permettent de ralentir la multiplication des pathogènes viraux. Intégrer des artichauts à votre régime revient à offrir à votre thyroïde une armure défensive. Attention, les artichauts en bocaux doivent être soigneusement rincés (conservateurs).
·           L’ail : antiviral et antibactérien. Il facilite également l’élimination des déchets viraux et bactériens toxiques du système lymphatique.
·           Algues (en particulier la dulse et le varech) : un formidable antiseptique pour la thyroïde. L’iode devient l’un des mécanismes de lutte les plus puissants pour la thyroïde, avec le zinc. Les algues contribuent également à la protéger contre les effets nocifs des radiations
·           Aloe vera : Le gel d’une feuille d’aloe vera fraîche est un merveilleux antiviral qui nettoie le sang et l’organisme en aidant le foie à se débarrasser de toxines telles que les pesticides. L’aloe vera soutient les glandes surrénales et élimine les radiations de la thyroïde.
NB : J’aoute de l’aloe vera dans mes smoothies ; je prends 2 càs d’aloe vera le soir avant le coucher quand je veux apaiser et faciliter la restauration de l’intégrité des parois stomacales. Attention au choix si vous achetez du gel : bio et non pasteurisé, évidemment. Si pas précisé, s’abstenir.
·           Asperge: elle nettoie le foie et la rate, renforce le pancréas, soutient la thyroïde et non seulement freine la croissance de l’EBV mais l’inhibe. Ses composés phyto-chimiques présents dans sa peau et ses pointes repoussent le virus et l’empêchent de se reproduire. L’asperge contient également un alcaloïde analgésique aux propriétés équivalentes à celles d’une aspirine douce. Consommez-les crues, en jus ou cuites à la vapeur.
·           Avocat: il contient des composés phyto-chimiques qui protègent la muqueuse de l’appareil digestif [contre le] streptocoque, cofacteur de l’EBV, ainsi qu’une forme facilement assimilable de cuivre qui équilibre la production d’hormones thyroïdiennes T4 et T3. Le glucose naturel de l’avocat apaise les nerfs irrités par les neurotoxines virales.
·           Baies: elles agissent en profondeur sur la thyroïde, notamment grâce à leur taux élevé d’antioxydants capables de ralentir les dommages subis par les tissus thyroïdiens. Certaines baies possèdent des propriétés curatives spécifiques (mûres, framboises, myrtilles sauvages).
·           Banane: elle fournit des acides aminés et le type de potassium qui permet de reconstruire les neurotransmetteurs brûlés par les neurotoxines, possède des propriétés antivirales et anti-inflammatoires puissantes et constitue une merveilleuse source de calcium (le sol dans lequel pousse son arbre regorge de ce sel minéral).
·           Basilic: les propriétés antivirales de cette herbe proviennent en partie de ses composés phytochimiques qui pénètrent dans la thyroïde et ralentissent l’action des cellules de l’EBV. Le basilic facilite la réduction des nodules, kystes et tumeurs et contient des composés anticancéreux qui préviennent le cancer de la thyroïde.
·           Céleri : il renforce l’acide chlorhydrique de l’intestin et aide le foie à produire la bile destinée à décomposer les aliments, fournit des sels minéraux anti-EBV et soutient le système nerveux central grâce à ses électrolytes puissants, tout en stabilisant et soutenant les glandes surrénales. Il facilite également le nettoyage des toxines de l’EBV dans la thyroïde et renforce la production de l’hormone thyroïdienne T₃.
·           Chou kale: riche en alcaloïdes spécifiques. Apporte des composés utiles pour la détox, comme la plupart des crucifères.
·           Chou-fleur: souvent écarté par les personnes souffrant de problèmes thyroïdiens parce qu’étiqueté « goitrogène », le chou-fleur est, en réalité, l’un des meilleurs amis de la thyroïde qu’il aide à lutter contre l’EBV et possède des oligo-éléments qui soutiennent l’ensemble du système endocrinien. Il contient également des composés phytochimiques susceptibles de freiner l’atrophie de la thyroïde qui risque de survenir à la suite d’une hormonothérapie thyroïdienne à long terme.
·           Citron et citron vert: ils améliorent la digestion en augmentant les taux d’acide chlorhydrique (acide bénéfique) dans les intestins, tonifient la muqueuse intestinale, purifient le foie et fournissent un calcium reconstituant qui prévient l’ostéoporose lorsque l’EBV provoque la formation de nodules (qui utilisent les réserves de calcium). Ils équilibrent également les taux de sodium dans la circulation sanguine, stimulent l’activité des électrolytes et améliorent le fonctionnement des neurotransmetteurs, entravé par les neurotoxines de l’EBV à l’origine de la confusion mentale et d’autres symptômes neurologiques. (9)
·           Concombre: il renforce les glandes surrénales et les reins, expulse les neurotoxines de l’EBV de la circulation sanguine, hydrate le système lymphatique, en particulier dans la zone du cou (où la thyroïde possède son propre système immunitaire doté de lymphocytes affectés spécifiquement à la recherche des cellules de l’EBV), permettant un meilleur nettoyage de la thyroïde. Les qualités hydratantes du concombre peuvent ralentir et même stopper une mononucléose naissante.
·           Coriandre: miraculeuse face à l’EBV et essentielle parce qu’elle se fixe sur les métaux lourds toxiques tels que le mercure et le plomb qui l’alimentent; elle se lie également aux neurotoxines du virus qui, lorsqu’elles sont libérées dans l’or­ganisme, peuvent engendrer des pico­tements et des engourdissements, des douleurs, des inflammations, la dépression et l’anxiété.
·           Courge (en particulier la courgette et la courge spaghetti): elle permet de stabiliser la thyroïde et d’augmenter sa pro­duction d’hormones thyroïdiennes T₄ et T₃, facilite la restauration du foie et augmente sa capacité à convertir les hormones thyroïdiennes, fournit du glucose assimilable par le cerveau et le reste du système nerveux afin de faciliter la guérison de l’inflammation des nerfs.
·           Cresson : il aide à stopper la croissance du tissu cicatriciel provoquée par l’EBV dans le foie et la thyroïde et élimine les anciens stocks de médicaments (comme les médi­caments thyroïdiens) encore présents dans le foie pour faciliter la perte de poids.
NDLR : le cresson fait partie de la famille des crucifères. A ce titre, c’est un excellent assistant de la détox des ML. Riches en fibres et en vitamine K1, ils apportent surtout des composés comme les indoles et les glucosinolates qui ont des propriétés anti-cancer, anti-inflammatoires et antioxydantes. ( (anthocyanes)
Vous devez avoir rechargé en sélénium avant de consommer ce type d’aliment. Dans le cadre d’un régime varié et modéré.
·           Curcuma: il restaure le tissu thyroïdien en permettant à la thyroïde de se régénérer et de guérir, résout les problèmes viraux en tant qu’anti-inflammatoire et en réduisant la charge virale.
·           Datte: riche en potassium, magnésium et glucose qui soutiennent le système endocrinien, la datte aide le foie à éliminer les débris générés par les débris LPS, déclenche l’action péristaltique qui facilite les mouvements de l’appareil intestinal destinés à évacuer les multiples déchets risquant d’accabler l’organisme lors de sa phase de guérison.
·           Épinards: ils créent un environnement alcalin et fournissent des micronutriments, hautement absorbables, au système nerveux, se lient dans le foie aux déchets viraux qui peuvent contribuer à une prise de poids et des palpitations inexpliquées, puis les éliminent. Ils sont particulièrement efficaces pour rajeunir la peau et lutter contre des maladies de peau comme l’eczéma et le psoriasis.
·           Fenouil : riches en vitamine C et autres composés antiviraux puissants, les graines de fenouil contiennent un composé semblable à l’aspirine qui fait désenfler et agit comme anti-inflammatoire sur une thyroïde enflammée. Apaisée, la thyroïde améliore alors sa production d’hormones.
·           Figue : elle recueille les toxines de l’appa­reil intestinal, les élimine, purge le foie des pesticides, des anciens produits pharma­ceutiques tels que les médicaments pour la thyroïde et des autres déchets, faisant de cet organe essentiel un lieu hostile pour certaines souches microbiennes.
·           Gingembre: il permet l’assimilation des nutriments et soulage les spasmes dus à un excès de stress. Le gingembre est également un puissant antiviral.L’une de ses qualités spécifiques est sa capacité à apaiser les nerfs et les muscles. Il permet l’équilibre et l’homéostasie de la thyroïde en la stimulant lorsqu’elle est hypoactive et en l’apaisant lorsqu’elle est hyperactive.
·           Graines de chanvre : elles fournissent des micronutriments et des acides aminés essentiels pour la thyroïde et sont idéales pour protéger le cœur d’un biofilm viral qui peut boucher les valves de cet organe et provoquer des palpitations. En plus d’être parfaites pour fortifier le système cardiovasculaire, elles protègent également les autres parties du corps, y compris les yeux (elles  aident à réduire les corps flottants du vitré).
·           Graines de sésame: elles renforcent le système nerveux central tout en fournissant des acides aminés tels que la tyrosine et la lysine sous forme d’oligo-éléments hautement biodisponibles qui pénètrent et s’assimilent facilement dans la thyroïde pour améliorer sa fonction
·           Grenade: elle aide à détoxifier et à nettoyer le sang ainsi que le système lymphatique, inhibe les virus, décompose les nodules, les tumeurs et les kystes, y compris dans la thyroïde, revitalise et rajeunit le tissu thyroïdien. La grenade soutient également les glandes surrénales, protège et nettoie la glande parathyroïde.
·           Laitue (en particulier la batavia et la romaine): elle stimule l’action péristaltique de l’appareil intestinal, facilite le nettoyage du foie et du système lymphatique, purifie le sang, a un effet hématopoïétique (formation des globules sanguins) et contient des sels minéraux qui soutiennent les glandes surrénales, puis la thyroïde.
·           Légumes crucifères: leur riche teneur en soufre a des propriétés désinfectantes et un effet dissuasif contre les virus se nichant au niveau de la thyroïde. Le soufre est un «fantôme» ; il sature la glande et crée un effet «écran de fumée» qui empêche le virus d’agir. Simultanément, il revitalise la glande – contrairement à la croyance populaire selon laquelle les légumes de la famille des Brassica sont nocifs pour la thyroïde. Par ordre d’importance, voici quelques- uns des meilleurs légumes crucifères à intégrer à votre régime (vous trouverez plus d’informations sur les cinq premiers de cette liste) : chou-fleur, chou kale, radis, roquette, cresson, chou de Bruxelles, chou, brocoli, chou-rave, feuilles de chou vert, brocoli rave ou rapini et feuilles de moutarde.
·            Mangue: elle contient une forte quantité de carotène qui restaure la rate et le foie, nourrit le cerveau et purge le système lymphatique des toxines issues des débris LPS, fournit du magnésium et du glucose bioactifs qui apaisent les nerfs, ce qui peut soulager les troubles du sommeil.
·            Miel brut: il est le meilleur combustible reconstituant pour nourrir et revitaliser la thyroïde. Lorsque son glucose et ses autres nutriments sont absorbés par la thyroïde, il devient également un excellent antiviral qui permet de lutter contre les virus grâce à sa teneur en zinc. La science ignore encore la relation symbiotique entre le miel et la thyroïde.
·           Myrtilles sauvages: elles restaurent le système nerveux central et éliminent les neurotoxines du foie, contiennent des antioxydants exceptionnellement puissants qui réparent les tissus thyroïdiens et réduisent la croissance des nodules, facilitent l’élimination des métaux lourds toxiques du cerveau et du foie et freinent le rétrécissement du cerveau et de la thyroïde. À ne pas confondre avec leurs cou­sins cultivés, les myrtilles sauvages sont disponibles dans la section « produits surgelés» de nombreux supermarchés.
·           Noix (en particulier, les noix du Brésil, les amandes et les noix de cajou): elles contiennent des oligo-éléments tels que le zinc, le sélénium et le manganèse qui renforcent la thyroïde et possèdent des composés phytochimiques antiviraux et antibactériens qui empêchent les virus de proliférer dans le foie, la rate et la thyroïde.
·           Noix de coco: antivirale et anti-inflamma­toire, elle induit la mort de certains virus, réduit la croissance des nodules et soutient le système nerveux central en réduisant l’exposition aux neurotoxines du virus. Vous avez le choix entre l’huile de coco, le beurre de noix de coco, la noix de coco séchée (si elle est non sucrée et sans soufre), le lait de coco et l’eau de coco.
·           Oignons et petits oignons verts (brelles) : leur teneur en soufre permet de perturber et de collaborer à la destruction des virus tout en nourrissant la thyroïde. Comme les légumes crucifères, leur âcreté est précisément ce qui leur confère leurs qualités. Antiviral puissant, l’oignon est l’argument ultime pour lutter contre le virus EBV.
·            Orange et mandarine: comme le citron et le citron vert, elles sont riches en calcium et essentielles lorsque l’organisme a besoin de minéraux pour empêcher l’EBV de détériorer la thyroïde. Consommer une grande quantité de calcium biodisponible – les agrumes constituent la meilleure source – empêche le corps de puiser dans ses réserves de calcium osseuses. La teneur en vitamine C des oranges et des mandarines est également parfaite pour lutter contre les virus, car elle ranime un foie endommagé par le virus et le purge de ses graisses et de ses déchets viraux tout en facilitant la perte de poids.
·            Papaye: elle répare les dommages provoqués par les neurotoxines sur le système nerveux central, renforce et régénère l’acide chlorhydrique dans l’intestin. Sa teneur en vitamine C constitue une arme secrète anti-virus qui facilite le nettoyage et la reconstruction du foie. Les composés phytochimiques de la papaye illuminent sa chair éclatante, rouge orangé, et permettent de diffuser la lumière solaire dans la thyroïde. Cette absorption supplémentaire de lumière retarde la croissance de du virus EBV et sa capacité à s’enfoncer dans la thyroïde. La papaye freine également l’atrophie thyroïdienne.
·           Patate douce: elle nettoie le foie des sous-produits LPS et des toxines, nourrit la peau et soutient les glandes surrénales, réduit les fibromes et les kystes provoqués par l’EBV, y compris les kystes de l’ovaire à l’origine du SOPK.
·            Persil: il supprime les taux élevés de cuivre et d’aluminium qui alimentent le virus EBV et provoquent des problèmes cutanés, renforce la production de l’hormone thyroïdienne T₃ en nourrissant et restaurant la thyroïde.
·            Poire: elle revitalise et nourrit le foie tout en le nettoyant et en le purgeant des pesticides et des déchets de l’EBV. Ce processus permet de stimuler un foie paresseux, de faciliter la perte de poids et de réduire la résistance à l’insuline, d’équilibrer le taux de glucose dans le sang et de soutenir les glandes surrénales.
·        Pomme: anti-inflammatoire parfait pour la thyroïde, elle affame l’EBV. Lorsque sa pectine pénètre le système digestif, elle libère des composés phytochimiques qui se lient au virus et enveloppent ses cellules afin que celles-ci ne puissent plus se nourrir ni proliférer.
·        Pomme de terre: souvent considérée comme un aliment « blanc » dépourvu de qualités nutritionnelles, la pomme de terre est, en réalité, l’un des aliments anti-EBV les plus puissants. Riche en lysine, elle contient de la tyrosine, un composant chimique nécessaire à la production d’hormones thyroïdiennes.
·        Germes et pousses: riches en zinc et en sélénium, ils renforcent le système immunitaire contre l’EBV, contiennent des micronutriments essentiels pour la thyroïde et réduisent la croissance des nodules.
·        Radis: cet aliment antiviral contient le soufre magique qui retarde l’EBV grâce à son effet «écran de fumée». Il permet de prévenir et de réduire le cancer de la thyroïde, mais aussi d’éliminer ses radiations. Lorsque la thyroïde est épuisée par l’EBV, elle a soif d’oligo-éléments (même lorsque la terre semble stérile, les radis absorbent plus de 30 de ces sels minéraux particulièrement bénéfiques capables de revitaliser et de renforcer la thyroïde). Ils préviennent également son atrophie.
·        Roquette: elle réduit les nodules, les tumeurs et les kystes thyroïdiens (à la fois cancéreux et bénins) et permet de prévenir le cancer de la thyroïde lié à l’EBV. Ses composés phytochimiques pénètrent dans la glande, rajeunissent ses tissus tout en réduisant son tissu cicatriciel et purgent le foie de ses anciens stocks de médicaments thyroïdiens.
·        Sirop d’érable: ses dizaines d’oligo-éléments fortifient le cerveau et l’ensemble du système nerveux en les protégeant de l’oxydation due aux métaux lourds et aux neurotoxines gérées par le virus EBV. Il facilite la formation de banques de stockage de glycogène dans le foie et le cerveau afin d’équilibrer la glycémie, permettant ainsi de renforcer et de stabiliser les glandes surrénales afin qu’elles puissent à leur tour soutenir la thyroïde.
·        Thym: un antiviral imparable pour nettoyer l’organisme en cas de maladie thyroïdienne. Ses composés nutritionnel pénètrent dans la thyroïde, éliminent l’EBV et lui permettent de reprendre le contrôle de la situation tout en diminuant la charge virale du corps et en soulageant une multitude de symptômes.
·        Tomate: elle contient sa propre variété de vitamine c biodisponible pour le système lymphatique et le foie, soutient le système immunitaire contre les virus et entrave la propagation des virus dans le corps. Sa vitamine c soutient également le système immunitaire de la thyroïde dans la région du cou. En se développant, les tomates absorbent et recueillent les ondes lunaires, tout comme la thyroïde recueille les rayons du soleil au cours de la journée (comme vous le lirez au chapitre 25, « Les techniques de guérison de la thyroïde»). Cela signifie que les tomates renforcent les fréquences de la thyroïde, créant l’équilibre et l’homéostasie dans tous les organes et les glandes.

Sources et références
7) Crise de guérison –  désencrassage – effet rebond : Quand les symptômes s’aggravent.
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Anthocyanine & bienfaits pour la santé
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Les Anthocyanes ont un large éventail d’activités biologiques, y compris: antioxydant, anti-inflammatoire, antimicrobien, anti-cancérogène, favorisant la santé oculaire, neuroprotecteur, prévention de l’oxydation des LDL, amélioration de la stabilité capillaire, collagène de soutien, et augmentation des niveaux intercellulaires de vitamine C.
NB : Les anthocyanes constituent une sous-famille de flavonoïdes. Issus de la famille des polyphénols.
 9) Comment faire une bonne détox du foie ?
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Cure de jus de citron de 21 jours. Plantes pour assister le foie.

Herbes Médicinales et Compléments Alimentaires (p 16)
Cette liste ne doit surtout pas vous décourager. Je sais qu’il faut être parfois difficile d’intégrer cette liste complète de compléments dans son quotidien et que ces herbes et compléments peuvent devenir rapidement coûteux pour un budget serré. Intégrez en priorité les cinq compléments majeurs de cette liste. Si vous bénéficiez d’une plus grande flexibilité financière, ajoutez les compléments dont les descriptions correspondront à vos besoins. Si vous êtes sensible ou aimez suivre votre intuition, utilisez-la selon vos besoins.
Il existe des différences subtiles et parfois essentielles parmi les différents types de compléments disponibles sur le marché qui peuvent influer sur les vitesses de destruction des virus, de réparation du système nerveux central et de guérison de la thyroïde. La variété de complément que vous choisissez peut stimuler ou freiner ces progrès. Pour accélérer la guérison, vous devez choisir les plus appropriés et les mieux ciblés.
·           Algues marines rouges: ce puissant antiviral facilite l’élimination des métaux lourds tels que le mercure et réduit la charge virale de l’EBV.
·            Anis étoilé : cette épice antivirale active la destruction de l’EBV dans le foie.
·            Ashwagandha: bien que cette herbe renforce la thyroïde, son bienfait majeur réside dans sa capacité à diminuer les poussées d’adrénaline. En stabilisant les glandes surrénales, l’ashwagandha les empêche de produire en trop grande quantité les combinaisons d’hormones suscitées par le stress.
·           Bacopa monnieri: cette herbe favorise la production d’hormones thyroïdiennes et la conversion des T₄ en T₃.
o    Champignon chaga: il élimine l’EBV en le chassant du foie et de la thyroïde. Simultanément, il stimule le foie stagnant et paresseux, réveille la thyroïde en lui permettant d’améliorer sa fonction, renforce les surrénales, décompose et dissout le biofilm des virus dissimulé derrière de nombreuses palpitations inexpliquées.
o    Chrome: ce complément soutient les glandes surrénales, la thyroïde et le reste du système endocrinien tout en permettant aux fonctions pancréatique et hépatique de stabiliser le système.
o    5-MTHF (5-méthyltétrahydrofolate) : très efficace pour la santé de l’appareil reproducteur menacé par l’EBV, ce complément est votre allié pour vous aider à guérir de troubles comme la stérilité, le SOPK et l’endométriose. Il permet également de renforcer les systèmes endocrinien et nerveux central, favorise la méthylation et réduit les niveaux d’homocystéine.
·           Mélisse : cette herbe à la saveur douce est une véritable machine de guerre contre l’EBV et son cofacteur, le streptocoque. Elle tue et repousse les cellules virales et bactériennes de la thyroïde, du foie et de la rate grâce à ses alcaloïdes et ses autres composés phytochimiques essentiels tout en renforçant les lymphocytes afin d’aider le système immunitaire à combattre le virus. Surprenante lors des premiers symptômes de l’EBV dans la phase de la mononucléose, la mélisse soulage, quel que soit le stade du virus, et est idéale pour freiner la croissance des nodules.
·           Complexe B: ces vitamines sont essentielles pour le système endocrinien, bien que leur rôle essentiel consiste à soutenir le système nerveux central bombardé par les neurotoxines.
·           Cuivre: Je le recommande rarement, car la plupart des gens ont déjà des taux de cuivre élevés, présents sous forme d’oligo-élément ou de métaux lourds toxiques. Si vous estimez toutefois que votre charge en cuivre toxique est faible et suivez la cure de détoxification des métaux lourds indiqués dans le chapitre suivant, vous pouvez intégrer de faibles taux de cuivre ionique afin de repousser l’EBV. Un très léger dosage de cuivre ionique de haute qualité peut également être utile pour éliminer le cuivre, métal lourd toxique, qui alimente le virus.
·            Curcumine: ce composant du curcuma stimule les systèmes nerveux central et périphérique, agit comme anti-inflammatoire et réduit l’épaississement des nerfs provoqué par les neurotoxines de l’EBV.
·            Éleuthérocoque (alias ginseng sibérien): quel que soit l’état de vos glandes surrénales, cette herbe leur apporte un soutien. Elle permet de réduire l’excès de leurs sécrétions hormonales qui alimentent l’EBV, brûlent les neurotransmetteurs, prévenant ainsi leur détérioration qui risque de contribuer à des symptômes tels que la confusion mentale.
·           EPA et DHA (acide eicosapentanéoïque et acide docosahexanoïque) : ces acides gras oméga-3 fortifient le système endocrinien et renforcent le système ner­veux central pour diminuer sa sensibilité aux dommages provoqués par des excès d’adrénaline résultant d’une affection thyroïdienne, d’un excès de stress ou des deux à la fois. Gardez à l’esprit que les EPA/DHA représentent uniquement un élément de la santé cérébrale. Malgré la mode qui prône l’importance des oméga, la majorité du soutien cérébral provient de glucides sains contenus dans les aliments cités dans ce chapitre.
·            Extrait de jus d’herbe d’orge en poudre: Incroyablement efficace pour faciliter l’élimination du mercure et d’autres métaux lourds toxiques, il contient des alcaloïdes spécifiques qui permettent de prévenir l’atrophie de la thyroïde tout en empêchant l’EBV de se nourrir de ses aliments préférés à l’intérieur de la thyroïde, tels que les métaux lourds toxiques.
·            Feuille d’ortie: grâce à ses micronutriments essentiels pour le sang et le système nerveux central (en particulier, le cerveau), cette herbe très adaptogène est également un parfait anti-inflammatoire pour les organes infectés par l’EBV et idéale pour retrouver un état d’équilibre dynamique (homéostasie) afin que l’ensemble des systèmes corporels fonctionnent mieux, y compris les systèmes lymphatique, hépatique et sanguin.
·           Fucus: cette algue fournit des oligo-éléments assimilables pour la thyroïde, ainsi que de l’iode agissant comme antiseptique contre l’EBV, afin d’éliminer les cellules virales et d’améliorer la fonction thyroïdienne. Elle élimine également les métaux lourds toxiques du système intestinal, contribuant ainsi à affamer l’EBV.
·            Griffe de chat: dotée de composés phytochimiques spécialement conçus pour détruire les virus et bactéries à l’origine des inflammations, en particulier l’EBV et son cofacteur, le streptocoque, cette herbe a un formidable pouvoir anti-inflammatoire. Tout en réduisant les cellules d’EBV, elle permet de réduire l’hypertrophie de la rate, du foie et de la thyroïde, et de résorber les nodules, les tumeurs et les kystes (cancéreux et bénins) provoqués par l’EBV dans la thyroïde et le foie
·            Hydrosol d’argent: autre antiviral puissant, il permet de réduire la charge de l’EBV, en particulier lors de la phase chronique de mononucléose du virus, lorsqu’il est actif dans la circulation sanguine.
·            L-lysine: en inhibant et en réduisant la charge virale de l’EBV, cet acide aminé agit comme anti-inflammatoire sur l’ensemble du système nerveux, en particulier le système nerveux central et les nerfs vague et phrénique ciblés par les neurotoxines de l’EBV.
·            L-tyrosine: cet acide aminé nourrit le tissu thyroïdien sain même lorsque la thyroïde est attaquée par l’EBV, de sorte que la glande peut continuer à produire des hormones.
·            Magnésium: ce minéral vise à maintenir l’équilibre de la production d’hormones thyroïdiennes afin que la thyroïde ne produise ni trop ni pas assez d’hormones; Il est également utile pour réduire les symptômes neurologiques étudiés dans le chapitre 5.
·            Manganèse: complément essentiel pour la production de l’hormone thyroïdienne T3, il soutient l’hypophyse dans le système endocrinien.
·            Monolaurine: cet antiviral décompose la charge virale de l’EBV et réduit ses cofacteurs comme le streptocoque.
·            Racine de réglisse: idéale pour détruire les cellules de l’EBV dans la thyroïde, le foie, la rate et le système reproducteur. Non seulement elle calme la phase de la mononucléose, mais elle est aussi l’une des meilleures alliées pour atténuer la puissance de l’EBV aux stades II et III qui peut se propager dans de nouvelles parties du corps alors même que vous l’éliminez dans ses anciens repaires. Elle est également l’une des herbes les plus efficaces pour restaurer les glandes surrénales, offrir un soutien aux reins et réduire le cofacteur (streptocoque) de l’EBV, ce qui diminue l’inflammation dans l’appareil intestinal née de maladies streptococciques telles que le syndrome de l’intestin irritable.
·           Rubidium: un complément en rubidium permet de stabiliser la production d’hormones thyroïdiennes et de soutenir les glandes surrénales.
·            Sélénium: plutôt que de tuer l’EBV, ce complément permet de renforcer le tissu thyroïdien pour éviter la formation de tissus cicatriciels causés par le virus. Il stimule également le système immunitaire, renforce le système nerveux central et, en soutenant la glande thyroïde, augmente la production des hormones thyroïdiennes T₄ et T₃
·            Spiruline (de préférence hawaïenne): cette algue séchée, que vous pouvez vous procurer sous forme de poudre ou de gélule, est un formidable allié pour reconstruire le système nerveux central et éliminer les métaux lourds tels que le mercure et le cuivre toxique du foie, du système reproducteur, de l’appareil intestinal, de la thyroïde et du cerveau. Se débarrasser de ces métaux permet d’éliminer certains des carburants favoris de l’EBV. La spiruline ressuscite la thyroïde :
- parce que ses micronutriments essentiels alimentent le tissu thyroïdien sain et ont un effet réparateur;
- parce que sa teneur en iode est un anti­septique efficace contre les cellules de l’EBV présentes dans la thyroïde qui voit sa charge virale réduite et guérit alors plus facilement.
La spiruline peut également réduire la croissance des nodules, des tumeurs et des kystes (cancéreux et bénins).
·            Sureau: excellent complément pour ren­forcer le système immunitaire.
·            Trèfle rouge: cette plante facilement disponible est miraculeuse pour purifier le foie, le système lymphatique et la rate en chassant les neurotoxines de l’EBV.
·            Vitamine B₁₂ (sous forme d’adénosyl-cobalamine avec la méthyl-cobalamine) : la vitamine B₁₂ est essentielle – presque tout le monde souffre de sa carence –, car elle protège l’ensemble du corps contre les effets neurotoxiques de l’EBV. Elle apporte également un soutien particulier aux systèmes nerveux central et endocrinien, les reconstitue et renforce les composés chimiques neurotransmetteurs du cerveau afin de leur permettre de lutter contre l’EBV. Elle est un excellent stimulateur pour le système immunitaire, vous stimule sur les plans mental et émotionnel, facilite la résolution des problèmes de méthylation et la réduction des taux d’homocystéine. Au fil du temps, la « bonne» vitamine B₁₂ peut même inverser un diagnostic de mutation du gène MTHFR, parce qu’elle répare les dommages qui déclenchent de faux résultats positifs dans les tests de mutation génique.
·            Vitamine C: la vitamine C renforce l’ensemble du système immunitaire, en particulier les cellules tueuses qui s’attaquent aux pathogènes tels que l’EBV dont l’un des objectifs, notamment au stade IV, est d’appauvrir le taux de vitamine C dans l’organisme; il importe donc d’en avoir un taux suffisant pour contrer l’activité virale. La vitamine C détruit également l’EBV dans le foie, élimine les toxines qui s’y accumulent, équilibre la production de plaquettes et restaure le système nerveux central détérioré par les neurotoxines. Le tout contribuant à réduire les nodules, les tumeurs et les kystes thyroïdiens (cancéreux et bénins) et à soutenir et restaurer les glandes surrénales.
·            Vitamine D₃ : un complément en vitamine D₃ permet de stabiliser le système immunitaire et l’empêche de réagir de manière excessive aux envahisseurs tels que l’EBV. Toutefois, attention aux excès. Comme je l’explique dans Medical Medium – Les aliments qui vont transformer votre vie–, les surdoses de vitamine D ne sont pas productives.
•           Zinc (sous sa forme de sulfate de zinc liquide): ce complément stimule le système immunitaire en renforçant les globules blancs tels que les lymphocytes, les basophiles, les neutrophiles, les éosinophiles, les macrophages et les monocytes – pour leur permettre de rechercher et de détruire les cellules de l’EBV. Cet antiseptique supprime la prolifération virale, tout en réduisant l’inflammation et la croissance des nodules, des tumeurs et des kystes (cancéreux et bénins). Le zinc renforce également la thyroïde et stabilise les glandes surrénales. Comme nous l’avons vu dans le chapitre précédent, il n’épuise pas les taux de cuivre. La carence en zinc constitue une préoccupation majeure de la lutte contre l’EBV, et éviter cet oligo-élément retarde la guérison.

Détoxifier sa Thyroïde en 90 Jours 
Au fur et à mesure que vous luttez pour recouvrer la santé, vous aurez peut-être l’impression qu’intégrer les aliments et les compléments curatifs du chapitre précédent vous réclame de plus en plus d’attention, du moins au début. Mais, lorsque vous serez prêt à passer à l’étape suivante, cette cure sera là pour vous aider à guérir.
Peu importe le type de régime que vous suiviez jusque maintenant. La détoxification thyroïdienne de 90 jours est adaptée à n’importe quel « programme », pourvu que vous restiez à l’écoute de vos sensations et que vous sachiez vous adapter. Par exemple lorsque vous recevez des signaux au niveau de la glycémie ou du foie.
La réussite de cette cure est essentiellement liée à une combinaison d’éléments. Il y a trois étapes possibles : A – B – C, de 30 jours chacune. Mais la durée est à titre indicatif. Idem pour la chronologie. A vous de voir, selon votre tempérament (détox douce ou rapide).
 
De nombreuses personnes guérissent en suivant uniquement les directives du mois A (le mois du nettoyage du foie, du système lympha­tique et des intestins); certaines n’ont besoin que d’un seul mois au lieu des 90 jours préconisés. D’autres doivent renouveler le choix B (le mois de détoxification des métaux lourds) pendant 90 jours, avant de voir leurs symptômes disparaître. D’autres encore - ceux qui sont malades depuis longtemps ou souffrent d’une forme agressive d’EBV -, le choix C (celui du nettoyage du virus de la thyroïde) offre de meilleures chances de guérison. Chacun est différent.
Vous recherchez des changements progressifs? Vous apprécierez probablement la progression naturelle qui consiste à commencer par le choix A, puis à poursuivre, dans l’ordre, par les choix B et C.
Vous êtes impatient d’agir? Vous pouvez pas­ser directement au choix C, opérer une transition avec le B, puis terminer par le A.
Vous voulez des changements drastiques? Dans ce cas, répétez le choix C pendant 90 jours ou davantage.
Prenez les choses comme elles viennent. Notez les aliments de la liste «à ajouter» et de la liste «à éviter» pour vous en souvenir au moment où les choix alimentaires vous sembleront trop accablants. Si vous menez une vie très active et que vous avez du mal à respecter les horaires quotidiens pendant l’un des mois, faites votre possible pour y parvenir. Si vous courez toute la journée, emportez vos toniques dans un sac isotherme. Ou buvez-en une partie avant de partir travailler, puis le reste en rentrant chez vous. Si vous êtes en déplacement, pensez à vous munir d’un mixeur de voyage et à glisser quelques citrons dans vos bagages. Avoir pris la dose complète de chaque aliment chaque soir est bien sûr idéal, mais vous ne mettrez pas en péril le processus de guérison si vous ne suivez pas les consignes au quotidien. Ne cédez pas à la panique. Déterminez la stratégie la mieux adaptée pour vous et poursuivez la cure.
À la fin de chaque mois, faites un bilan. Vous aviez prévu de passer au choix C, mais vous n’êtes pas encore prêt? Vous aviez l’intention de poursuivre le choix A, mais vous vous sentez trop bien pour arrêter? Encore une fois, dans les deux cas, suivez les consignes qui vous conviennent le mieux pour le mois à venir puis réévaluez la situation.
À la fin des 90 jours, vous aurez peut-être envie de poursuivre cette cure. De nombreuses personnes ayant suivi la cure de détoxification curative en 28 jours de Medical Medium se sentaient tellement bien à la fin des quatre semaines - tous leurs symptômes avaient disparu - qu’elles décidèrent de continuer. Vous pouvez également recourir à cette option. N’hésitez pas à transformer cette détoxification en cure de 120 jours ou 365 jours.
Si vous mettez un an ou un an et demi à guérir, ne vous découragez pas. Même si vos symptômes persistent, votre guérison commence aujourd’hui. Le rétablissement sera long si le virus est actif dans votre organisme depuis de longues années ou s’il s’agit d’une variété ayant provoqué des symptômes particulièrement lourds. Sachez que vous n’êtes pas seul. Je suis à vos côtés. Persévérez. La récompense - une vie normale - est au bout du chemin et elle en vaut la peine.
Si vous détoxifiez rapidement et avez le sentiment d’être submergé par les symptômes de la détoxification, inutile de suivre à la lettre l’intégralité du programme. Pour commencer, sélectionnez un élément du choix A, observez la liste des aliments à éviter, puis observez comment se déroulent ces deux étapes. Lorsque vous serez prêt, intégrez les ingrédients ci-dessous.
Comme je l’ai dit, tout dépend de vos besoins personnels, il ne s’agit pas d’un système de croyance arbitraire ou d’une tendance.
Il ne s’agit pas non plus de se priver ou d’avoir faim. Souvent, lorsque les gens entament une cure de détoxification, ils ont tendance à se lancer dans des régimes draconiens, voire à se sous-alimenter. Ne cédez surtout pas à cette mode! Non seulement elle fatiguera vos surrénales, mais elle nuira au maintien des modifications réalisées. Pour que celles-ci vous apportent un meilleur soutien, essayez de manger toutes les heures et demie ou deux heures. Le grignotage est la clé du succès.
Vous devez affamer le virus sans vous affamer, bien vous nourrir afin de fortifier votre thyroïde et le reste de votre organisme, d’annihiler vos symptômes, puis de retrouver une vie normale. Votre vie. Si vous optez pour le choix C, qui implique les modifications les plus importantes, veillez à manger suffisamment afin de toujours éprouver une sensation de satiété, complétez vos repas avec des collations et planifiez-les pour ne pas vous retrouver dans l’incapacité de vous nourrir lorsque vous êtes en déplacement ou en réunion.
Pour vous soutenir émotionnellement lorsque vous écartez certains aliments impro­ductifs de votre alimentation, consultez le chapitre «La nourriture de l’âme» de Medical Medium - Les aliments qui vont transformer votre vie. Et si vous avez besoin d’aide pour préparer des repas dynamiques, savoureux et apaisants, reportez-vous au chapitre suivant, «Recettes curatives pour la thyroïde», vous y trouverez des dizaines d’options de recettes, et aux 50 recettes proposées dans Medical Medium - Les aliments qui vont transformer votre vie.
En découvrant ces choix au fil des pages, vous serez peut-être frappé - et déstabilisé - par leur simplicité. Parfois, les gens écartent les mesures les plus simples parce qu’ils doutent qu’elles puissent faire la différence en raison même de cette simplicité. Sachez que c'est précisément le contraire. Le jus de céleri, par exemple, constitue la pierre angulaire de chaque choix - je parle d’un jus de céleri pur et non altéré sans ajouts de «superaliments» ou de poudres. Il est un superaliment encore inconnu dont la composition nutritionnelle est particulièrement riche. À lui seul, il peut faire des miracles. Tonique alcalinisant, antiseptique et riche en enzymes, il stimule les électrolytes, répare l’ADN, équilibre le taux de glucose dans le sang et constitue un pas «simple» pour recouvrer la santé, qu’il ne faut en aucun cas négliger.
Il en va de même pour les étapes suivantes. La plupart des personnes qui sont malades depuis de longues années et ont testé de nombreuses méthodes de guérison sont devenues fragiles. Leur système digestif, leur système nerveux central et leur corps tout entier se sont fragilisés. Ces techniques sont idéales pour elles, mais elles le sont tout autant pour les personnes dotées de constitutions plus robustes. Appliquées correctement, elles peuvent devenir des armes d’une rare efficacité.
Préparez-vous maintenant à entrer dans une nouvelle phase de votre vie : celle de la guérison, du devenir, de la renaissance. Que les 90 pro­chains jours soient pour vous des jours de joie et de transformation.

Aliments à intégrer
Intégrez les toniques suivants à vos repas et collations, mais attention : vous n’êtes pas censé vous en contenter. Veillez à vous alimenter suffisamment de façon à ne jamais avoir faim. Gardez également à l’esprit que, quelle que soit votre philosophie alimentaire, vous devez vous assurer d’incorporer certains des aliments et compléments curatifs du chapitre précédent à votre routine quotidienne pour réunir toutes les chances de guérir rapidement et efficacement.
·           Chaque matin, buvez 45 cl de jus de céleri à jeun. Optez pour un jus de céleri frais sans ajout d’aucun autre ingrédient (voir le chapitre suivant pour les instructions de préparation). Si vous êtes trop réactif et que la quantité vous semble trop importante, diminuez-la et augmentez-la progressivement. Le jus de céleri est une boisson médicinale et non calorique; vous devez donc petit déjeuner ensuite – attendez au moins 15 minutes – pour un apport énergétique.
·            Buvez 45 cl d’eau citronnée (citron jaune ou vert) à midi ou en début d’après-midi. Pour obtenir 45 cl d’eau citronnée, pressez le jus d’une moitié de citron ou de citron vert.
·            Buvez 45 cl d’eau citronnée (citron jaune ou vert) en fin d’après-midi.
·           Chaque soir, buvez 45 cl d’eau d’aloe vera ou de jus de concombre. Pour savoir comment préparer une eau d’aloe vera fraîche, voir le chapitre suivant. Si vous optez pour un jus de concombre, buvez-le pur ou agrémenté de persil ou de coriandre. Si vous êtes en déplacement et ne pouvez pas préparer une eau d’aloe vera ou un jus de concombre, remplacez-la, le soir, par un jus de citron.
Aliments à éviter
o    Évitez les aliments improductifs du chapitre 21, «Les méprises courantes et les erreurs à éviter» : œufs, produits laitiers (lait, crème, yogourt, fromage, kéfir et ghee), gluten, canola, maïs, soja et porc.
La guérison
Tout en ciblant l’EBV, le programme de détoxification offre un soutien hépatique, lymphatique et digestif, ainsi qu’un temps de repos à la thyroïde.
Si vous pensez que votre santé intestinale n’est pas essentielle pour la thyroïde, vous faites fausse route: lorsque les taux d’acide chlorhydrique (acide bénéfique) de l’estomac sont faibles, les acides improductifs ont tendance à remonter dans l’œsophage au cours de la nuit, affectant la thyroïde et entravant sa guérison. Le jus de céleri constitue l’outil ultime pour augmenter l’acide chlorhydrique et maintenir à distance les acides improductifs créés par les mauvaises bactéries.
Le jus de céleri contient également des sels minéraux aux propriétés désinfectantes (encore inconnues) qui leur confèrent des qualités antivirales en éliminant l’EBV, et antibactériennes en s’attaquant au cofacteur de l’EBV (le streptocoque), ce qui permet de réduire la charge virale.
L’hydratation est tout aussi primordiale. Peut- être êtes-vous déshydraté sur un plan chronique – la plupart des gens le sont. En cas de déshydratation, le corps n’évacue pas correctement les déchets, et le cerveau ne fonctionne pas à plein régime. Les jus frais et les eaux cités sur cette liste comptent parmi les toniques les plus hydratants de la planète. Ils fournissent de l’eau vivante et des sels minéraux qui ravivent les cellules et éliminent l’EBV et ses déchets du foie et du système lymphatique. L’eau au citron/citron vert offre en outre l’avantage de faciliter la décomposition de tous les sédiments et calculs de la vésicule biliaire, permettant d’augmenter la production de bile dans le foie, les taux d’acide chlorhydrique dans l’intestin, et de réduire les mauvais acides à l’origine des reflux acides. Si vous faites partie de ces personnes qui «oublient» facilement de boire, vous constaterez rapidement que ces toniques offrent une restauration surprenante. Si vous buvez plusieurs verres d’eau par jour, vous pouvez en remplacer certains par de l’eau citronnée.
Encore une fois, si vous avez tendance à détoxifier rapidement et à ressentir avec inten­sité les symptômes de nettoyage, progressez par étapes. Si, au contraire, vous avez du mal à vous détoxifier ou si l’on vous dit que vous ne pou­vez pas entreprendre une cure de détoxification (en général, cela va de pair avec un diagnostic de lupus ou de syndrome de Raynaud), sachez que le responsable est souvent la congestion du foie et du système lymphatique en raison d’un taux élevé de déchets viraux. La meilleure façon de soulager cette congestion, diagnostiquée ou non, est de suivre les consignes de ce mois. Ses étapes constituent une façon douce et hydratante de libérer les systèmes de filtration du corps sans avoir à payer le prix des symptômes de la détoxification.

Commentaires NDLR : Je m’adapte selon le ressenti (foie) :
Perso, c’est un verre d’eau citronné au lever : 180 ml et le jus d’un demi-citron (24 ml).
1H30’ plus tard, c’est un jus de céleri concombre.
1H30 plus tard, c’est un fruit, pêché dans la liste, ou selon mon envie.


Recette du jus
Ingrédients pour 250 ml :
- 1 branche de céleri
- ½ concombre
- 1 pomme
- 1/5^ème de citron bio avec le zeste


Appréciation : 7/10. Attention à ne pas mettre trop de céleri. Ou alors prenez le jus de céleri seul. Commencez doucement avec le céleri.
Ne pas insister si votre foie vous envoie un signal. N’essayer pas de finir le verre si le dernier quart passe difficilement.
Après-midi, c’est un smoothie, avec les ingrédients piqués dans la liste.
Il y a souvent de la mangue, un ¼ de banane, des baies (myrtilles sauvages surgelées). J’ajoute 1 càs de chanvre décortiqué (30 gr) et une touche de verdure pour la détox (1 brin de persil ou une poignée de mâche ou 2 feuilles de laitue de chêne) + le jus d’un demi-citron.
J’ajoute 120 ml d’eau. 1 càc de miel ou du sirop d’érable en option (non mis).
PS: Si vous avez souvent froid - en automne et en hiver - évitez de prendre un jus de citron le matin. Prenez le à midi, au repas ou juste après le repas; ou en fin d'a.m. Le corps élimine plus facilement les acides organiques - dits volatils - à ce moment. Volatils car ils sont neutralisés en CO2, expulsés via les poumons.

PS: Candice Kother (animatrice d'une émission culinaire sur la RTBF) a acheté un appareil à jus sur amazon.fr à 89€ et en est très contente. (promo 129 => 89 €).
Attention à bien choisir le type: Pas une centrifugeuse, mais à vis. Sinon, problème pour les légumes secs, comme la carotte, le céleri, l'herbe de blé. 
Lisez les commentaires ***; pas ***** pour voir si ça tient la route (usage facile pour le nettoyage - critère clé à mon sens -, solidité, etc. On part du principe que ça ne doit  pas chauffer ...

Idem
+ un smoothie détoxifiant pour les métaux lourds.
+ de l’eau au gingembre a.m.
+ de l’eau avec de l’aloe vera ou de jus de concombre, le soir
La guérison
Ce mois-ci, vous bénéficierez de tous les bienfaits du nettoyage du foie, de vos vaisseaux lymphatiques et de vos intestins, mais aussi de l’élimination des métaux lourds toxiques qui constituent certains des aliments préférés de l’EBV, avec en prime, le soutien antispasmodique et antiviral du gingembre.
Consommés sur une période de 24 heures, l’extrait de jus d’herbe d’orge en poudre, la spiruline, la coriandre, les myrtilles sauvages et les algues constituent la méthode la plus efficace pour éliminer les métaux lourds (pour un coup de pouce supplémentaire, ajoutez de la bardane). Ces aliments détiennent chacun un pouvoir spécifique et jouent un rôle distinctif dans la détoxification. Au cours de ce processus d’élimination, les métaux peuvent être libérés ou dispersés dans les organes où un autre membre de l’équipe intervient, s’en empare et poursuit le voyage vers la ligne d’arrivée. Je surnomme cette technique « la passe de football ». Individuellement, chaque joueur n’est pas efficace à 100% ; en équipe, ils constituent l’arme secrète contre les métaux lourds !
Si vous avez déjà testé d’autres méthodes de détoxification des métaux lourds et n’êtes pas satisfait, sachez que cette approche est différente. Avec les autres techniques, les métaux sont déposés ou redistribués dans l’organisme, ce qui risque d’entraîner l’apparition de symptômes perturbants. Cette cure de détoxification des métaux lourds est différente, elle est conçue pour les personnes les plus sensibles et, surtout, n’induit aucun effet secondaire, car ses aliments se fixent sur les métaux lourds afin de les éliminer.
En plus de faciliter l’élimination des métaux lourds, ces aliments puissants laissent dans leur sillage des nutriments essentiels capables de réparer les dommages créés par ces métaux Lorsqu’ils séjournent dans les organes et d’autres parties du corps, les métaux lourds créent de petites cavités qui se corrodent – les nutriments de ces aliments les remplissent, les fortifient et les restaurent.
Si vous les intégrez à votre alimentation quo­tidienne – le smoothie détoxifiant des métaux lourds constitue une solution rapide, facile et savoureuse –, vous aiderez votre corps à lutter contre l’EBV et à ressusciter votre thyroïde. Privé de métaux lourds, l’EBV ne peut plus proliférer, et sa production de neurotoxines diminue drastiquement. Souvenez-vous que lorsqu’il se nourrit de métaux lourds tels que le cuivre toxique, l’arsenic, le cadmium, le plomb, le nickel, le mercure, l’aluminium, des aciers et des alliages, ses neurotoxines deviennent particulièrement toxiques et engendrent de nombreux symptômes étudiés dans le chapitre 5, « Symptômes et maladies: l’explication». Éliminer les métaux lourds de l’équation constitue le meilleur moyen de mettre fin aux symptômes neurologiques dévastateurs.
Nombre de personnes ont des métaux lourds toxiques enfouis dans leur organisme, parfois profondément dans les organes et les glandes (y compris la thyroïde), le tissu conjonctif ou même les os. Les extraire peut prendre un certain temps, soyez donc patient et essayez de suivre le programme de détoxification de ce mois aussi longtemps que possible afin d’extraire les métaux lourds incrustés dans votre organisme.

Essayez de suivre le programme de détoxification de ce mois aussi longtemps que possible afin d’extraire les métaux lourds incrustés dans votre organisme.

Commentaire NDLR:
Ok mais attention de ne pas forcer s'il y a embouteillage. Faites alors une pause.
Informez-vous sur la méthode, la marche à suivre lorsque le foie sature. Sinon, le cerveau pourrait marquer les ingrédients comme allergènes. ça m'est arrivé avec le jus d'herbe de blé. je ne peux plus en boire, 3 ans plus tard.

Aliments à intégrer
Comme lors des autres mois, vous devez ajouter les éléments suivants à votre régime habituel en les intégrant à vos repas et collations. Bien que le smoothie puisse être considéré comme un repas ou une collation, et qu’un bol de bouil­lon de légumes antiviral soit assez copieux pour constituer la base d’un repas, vous n’êtes pas censé vous en contenter. Veillez à vous alimenter suffisamment de façon à ne jamais avoir faim. Gardez également à l’esprit que, quelle que soit votre philosophie alimentaire, vous devez vous assurer d’incorporer certains des aliments et compléments curatifs du chapitre précédent à votre routine quotidienne pour réunir toutes les chances de guérir rapidement et efficacement.
Idem +
•      Buvez une tasse de thé curatif pour la thyroïde à n’importe quel moment de la journée (voir la recette dans le chapitre suivant).
•       À n’importe quel moment de la journée ou de la soirée, buvez au minimum une tasse de bouillon curatif pour la thyroïde (voir la recette dans le chapitre suivant). Vous pouvez le consommer avec des légumes en morceaux ou mixer le tout pour obtenir une soupe épaisse.
•       Chaque soir, boire au moins 45 cl de jus curatif pour la thyroïde (voir la recette dans le chapitre suivant). Si nécessaire, vous pouvez le consommer à un autre moment de la journée.
Aliments à éviter
•       Évitez les aliments improductifs du chapitre 21, « Les méprises courantes et les erreurs à éviter » : œufs, produits laitiers (y compris le lait, crème, yogourt, fromage, kéfir et ghee), gluten, canola, maïs, soja et porc.
•       Évitez le thon, l’espadon et le loup.
•       Réduisez votre consommation de matières grasses d’au moins 25 %. Si vous consom­mez des protéines animales, cela impli­quera probablement de devoir diminuer vos portions de steak, hamburgers, blancs de poulet et autres. Au cours du proces­sus d’élimination du virus de la thyroïde, ne consommez qu’une seule portion de protéines animales par jour (cela n’implique pas d’éliminer totalement ces protéines). Si vous êtes végétarien ou végétalien, réduisez votre consommation d’huiles, de graines et de noix. Vous avez peut-être remarqué que la noix de coco, les graines et les noix ont été répertoriées dans la catégorie des aliments curatifs du chapitre précédent. En raison de leurs bienfaits, elles ont aussi leur place ici. Veillez toutefois à ce qu’elles ne dominent pas votre alimentation. J’ai vu des végétariens et des végétaliens baser chaque repas et chaque collation autour de ces ingrédients. Même si leurs graisses sont saines, il importe de laisser de la place à d’autres aliments curatifs.
La guérison
Si le choix A constitue le modèle de départ, et le choix B, celui du renforcement, le choix C est la version « luxe » de la détoxification thyroïdienne, lorsque des mesures plus légères s’avèrent insuffisantes. Grâce au thé, aux jus et au bouillon riches en minéraux et une diminution des graisses, vous passerez à l’étape supérieure.
Parce que vous vous concentrez, ce mois-ci, sur le nettoyage des résidus LPS, vous allez réduire la détoxification des métaux lourds tout en incorporant des aliments chélateurs tels que les algues, le persil, le varech et la coriandre. Si vous êtes prêt, vous pouvez ajouter le smoothie détoxifiant des métaux lourds ou incorporer ses ingrédients dans vos repas quotidiens. Quels que soient vos choix, assurez-vous de toujours consommer des myrtilles sauvages.
Après avoir découvert les bienfaits du thym, de la graine de fenouil et de la mélisse dans le chapitre précédent, vous avez désor­mais conscience de leur importance dans la lutte contre le virus de la thyroïde – raison pour laquelle vous devez intégrer le thé curatif pour la thyroïde. En ajoutant le bouillon à votre rou­tine quotidienne, vous apportez à votre corps de précieux nutriments antivirus sous une forme facile à digérer et à assimiler. Avec le jus curatif pour la thyroïde, vous finirez la journée hydraté grâce à des éléments nutritionnels anti-inflammatoires essentiels qui permettront à votre corps de disposer des ressources nécessaires pour lutter contre les agresseurs de la thyroïde et réparer ses dégâts.
Pourquoi une faible teneur en matières grasses?
Un repas chargé en graisses contribue à épaissir le sang. Si la circulation sanguine est moins fluide, le travail du foie est augmenté car il doit veiller à maintenir les paramètres constants de manière optimale.  L’élimination des toxines telles que les métaux lourds n’est donc plus optimale, dans ce cas de figure car il y a surcharge.
Si nous schématisons, on peut résumer en disant que les graisses épaississent le sang et ralentissent la détoxification tout en ralentissant l’élimination des toxines telles que les métaux lourds. Même si ces graisses sont saines.
Dans la lutte contre l’évacuation des résidus LPS et l’évacuation des toxines, il est impératif de diminuer l’apport global des graisses. Diminuer les MG, pas supprimer. Un apport minimal de 10 % est requis. Je vise 15%. J’éviterais de dépasser 20% dans la phase de détox aux ML. Il faut garder une bonne fluidité sanguine et éviter un tour de piste supplémentaire parce que le foie est débordé dans le traitement des différentes molécules. 
Notez que nous avons besoins de MG pour convoyer les résidus LPS. (*)
Les fruits constituent votre meilleure ressource lorsque vous diminuez votre apport en graisses ; évitez les aliments comme le blé et le soja. Avec leurs glucides sains et leur glucose pour le cerveau et le foie, liés aux composés phytochimiques essentiels, ils sont un don de la nature, capables de lutter contre toutes les maladies. La désinformation actuelle peut vous avoir amené à les écarter de votre régime pendant des années. Il est temps d’abandonner ces idées. Le fructose lié à des fibres ne pose pas problème, dans le cadre d’un régime adapté et équilibré, tel que décrit. On ne parle pas évidement du sirop de glucose-fructose ajouté dans les aliments manufacturés. A bannir, le plus souvent possible.
Les fruits sont composés de pulpe, de fibres, d’eau, de vitamines, de minéraux qui sont tous bénéfiques au processus de guérison. Pour l’heure, sachez qu’ils constituent l’un de vos alliés les plus solides, notamment s’ils sont associés à des légumes feuilles.


NDLR : Je  fais tremper les fruits (ceux que je ne pèle pas) dans une eau bicarbonatée, à ph 8.5 minimum, pdt 12’ afin d’enlever 95% des pesticides. On évite les pommes qui ont été enduites de cire. La couche de cire qui recouvre les pommes sert à prévenir leur déshydratation, à prolonger leur durée de vie et à améliorer leur texture et leur apparence.
Astuce pour se débarrasser de la cire: Mélanger 1 cuillère à soupe de jus de citron, 1 cuillère à soupe de bicarbonate de soude dans de l'eau. Trempez-y les pommes et frottez à l'aide d'une brosse à légumes. Non testé.

A suivre:
Recettes Curatives pour la thyroïde 
*) Jus, thé, eaux et bouillon
- Jus de céleri
- Jus de concombre
- Jus curatif pour la thyroïde
- Thé curatif pour la thyroïde
- Eau citronnée 
- Eau de gingembre
- Eau à l’aloe vera

*) Petit déjeuner
- Smoothie détoxifiant des métaux lourds

- Smoothie curatif pour la thyroïde

*) Jus de citron
Un demi-citron pressé (ou un lime entier), dans 160 ml d’eau.
NDLR : Idéal le matin à jeun. Voir la recette d’AW plus bas. Perso, c’est souvent en 2^ème position, soit 20 à 30’ après mon 1^er verre d’eau.
*) Jus de céleri
Q : 1 branche de céleri.
Le jus de céleri frais et pur est l’une des boissons curatives les plus efficaces  et probablement la meilleur façon de commencer la journée.
Option 1 : Centrifugeuse.
Option 2 : Hacher le céleri, le mixer à grande vitesse, jusqu’à obtention d’un liquide homogène. Filtrer et boire  aussitôt.
Remarque 1 : Utilisez de préférence un céleri bio, sinon le faire tremper 12’ minimum dans une eau bicarbonatée, à pH 8.5 minimum. Rincez ensuite, en brossant le stick avec un filet d’eau.
Remarque 2 : Si le goût est trop intense, vous pouvez le couper avec un jus de pomme et/ ou de concombre, que vous ajusterez à votre goût. Le jus pur est davantage bénéfique.
Si la quantité suggérée (45 cl) semble trop importante, commencez par qques gorgées. Puis augmentez progressivement. Ne forcez pas, si cela vous semble écœurant. Adaptez-vous en modifiant la fréquence, la quantité et/ ou la composition. La plus simple possible, sans fibres.
*) Jus de concombre
Q : 2 grands concombres
Le jus de concombre hydrate bien le corps ; à la fois tonique et régulateur de l’acidité stomacale.
Option 1 : Centrifugeuse.
Option 2 : Hacher le céleri, le mixer à grande vitesse, jusqu’à obtention d’un liquide homogène. Filtrer et boire  aussitôt.
La quantité suggérée (45 cl) peut être adaptée selon le ressenti.
Perso, je me limite à un concombre. Je le préfère en mélange 2/3 avec du jus de pomme 1/3 :
Q : Une pomme et un demi-concombre.
*) Jus curatif pour la thyroïde
Ce jus est entièrement composé d’ingrédients stimulants pour la thyroïde ; on peut l’adapter facilement à tous les goûts : On peut interchanger le céleri avec le concombre, la coriandre par du persil. Vous offrirez ainsi un soutien puisant à la thyroïde.
Ingrédients :
- 1  branche de céleri
- 2 pommes en lamelles
- 1 bouquet de coriandre
- 5 à 10 cm de gingembre frais (Q à adapter, selon l’option 1 ou 2 ; moins si en mixeur).
Option 1 : Centrifugeuse.
Option 2 : Hacher le céleri, le mixer à grande vitesse, jusqu’à obtention d’un liquide homogène. Filtrer et boire  aussitôt.
Remarque : On peut personnaliser le jus en remplaçant le céleri par du concombre, avec plus ou moins de gingembre. Ajustez la Q selon vos goûts.
*) Thé curatif pour la thyroïde
Rien n’égale une tasse de thé curatif pour apaiser la frénésie du quotidien. Ce thé est en fait une tisane ; elle sera aussi bénéfique pour votre esprit  que pour votre thyroïde et l’ensemble de l’organisme. Lorsque vous le boirez, prenez le temps de marquer une pause afin d’offrir une trêve à votre cœur et à votre esprit. Cela tient du miracle.
Ingrédients :
- 45 cl d’eau
- 1 càc de thym
- 1 càc de graines de fenouil
- 1 càc de mélisse
- 2 càc de miel brut (facultatif)
Faites frémir l’eau puis ajoutez le thym, le fenouil et la mélisse. Puis éteignez le feu et laissez infuser 15’. Filtrez. Miel en option.
NB : Il existe des sachets de thé au thym, fenouil et mélisse. Il est possible aussi de cultiver de la mélisse et du thym. Donc frais ou séché.
*) Eau citronnée
Un grand verre d’eau citronnée constitue l’un des meilleurs remèdes pour hydrater et détoxifier. Parmi les bienfaits énoncés au chapitre 22, les citrons et les limes (citrons verts) dynamisent l’eau et lui permettent de se fixer plus facilement sur les toxines et de les expulser. Vous hydraterez ainsi chaque cellule de votre corps.
Ingrédients :
- ½ citron jaune ou un citron vert (+/ 24 ml)
- 45 cl d’eau
NB : Les citrons sont d’excellents voyageurs. Quand vous êtes en déplacement, veuillez à emporter plusieurs citrons afin de pouvoir préparer cette boisson fraîche partout où vous irez.
*) Eau de gingembre
Un thé au gingembre chaud avant le petit déj ou un verre d’eau [fraîche] au gingembre après le petit déj. Cette boisson est facile à personnaliser, selon les envies.
NDLR : Tempéré signifie à température ambiante (20°) ; fraîche entre 10 à 10° C. 
Ingrédients :
- 3 à 5 cm de gingembre  frais
- 45 cl d’eau
- jus d’un ½ citron (facultatif)
- 2 càc de miel brut (facultatif)
Râpez le gingembre dans 45 cl d’eau. Ajoutez le jus de citron (facultatif). Laissez infuser 15’, au minimum. Ce serait mieux de laisser infuser toute la nuit, placé au réfrigérateur. Filtrez avant de boire. Ajoutez éventuellement du miel. Savourez tout au long de la journée.
NB1 : On peut aussi couper les rondelles de gingembre en fins bâtonnets, puis en carrés, dans l’autre sens, si pas envie de râper. AW conseille d’utiliser un presse-ail : On retire la pulpe, on la hache finement, puis on l’incorpore à l’eau.
NB2 : Il est utile de préparer l’eau gingembre en grande quantité, à l’avance, pour en disposer selon les envies. Pour un résultat optimal, incorporez le miel et le jus de citron juste avant de boire.
NDLR : S’il y a de la pulpe de jus de citron dans la préparation, la quantité de vitamine C restera acceptable (fermentation). Sinon, il y aura oxydation et perte de +/ 50%.
*) Eau à l’aloe vera
Si vous avez du mal à vous accoutumer au goût de l’aloe vera, sachez que vos efforts seront récompensés. Lorsque vous buvez cette eau, pensez à tous les bienfaits incroyables qu’elle offre à votre foie, vos glandes surrénales et votre corps tout entier.
Ingrédients :
- 5 cm de feuille d’aloe vera
- 45 cl d’eau
A l’aide d’une cuillère, retirez le gel à l’intérieur de la feuille d’aloe et mixez-la dans l’eau 10 à 20’’ jusqu’à obtention d’un mélange homogène. Buvez cette eau immédiatement ; de préférence à jeun.
NB1 : Protégez le reste de la feuille d’aloe avec du film plastique étirable ; elle se conservera au frigo pdt 2 semaines.
NB2 : Vous pouvez également la mélanger dans un smoothie, comme indiqué dans la recette du smoothie curatif pour la thyroïde. Voir p 216.
NDLR : C’est cette dernière option que je choisis.
A défaut de disposer d’une feuille d’aloe vera, j’utilise du gel d’aloe vera bio, non pasteurisé. Il faut veiller à ce que ce gel ne contienne pas d’excipients beurk (protéines de blé ou de lait).
*) Bouillon curatif pour la thyroïde
Avec ce bouillon antiviral riche en minéraux – pierre angulaire de la détox – vous pouvez vous offrir à toute heure un remontant nourrissant et réconfortant. Quantité au gré de vos envies.
Ingrédients pour 4 personnes
- 2 patates douces en dés
- 2 branches de céleri en dés
- 2 oignons en dés
- 6 gousses d’ail
- 2,5 cm de racine de curcuma pelée et hachée
- environ 2.5 cm de gingembre pelé et haché
- 25 gr de persil haché fin
- 4 brins de thym
- 2 càs de flocons de dulse
- 1 càs de poudre d’algue
- 2 litres d’eau
Portez à ébullition, puis laissez mijoter une heure, à feu doux ; puis filtrez.
Conseils :
- On peut ajouter des légumes en morceaux, ensuite. Cuisson 20 à 25’ selon la nature des légumes.
- On peut en faire une purée, dans un blender ; pour changer.
- On peut préparer des grandes quantités et mettre congeler en portion ou en cubes.
- On peut ajouter une pincée de sel et un filet d’huile de coco lorsque le potage est servi.
*) Smoothie détoxifiant des métaux lourds
Ce smoothie idéal associe cinq ingrédients clés pour détoxifier les métaux lourds (ML). Avecn en prime, un goût surprenant !
Ingrédients pour une personne
- 2 bananes
- 200 gr de myrtilles sauvages
- 50 gr de coriandre
- 1 càc de jus d’herbe d’orge verte en poudre
- 1 càs de spiruline hawaïenne
- 1 orange
- 25 cl d’eau
Mixez les ingrédients jusqu’à obtention d’un mélange homogène. Ajoutez jusqu’à 25 cl d’eau pour obtenir une consistance moins épaisse.
Conseils :
- Commencez doucement et augmentez progressivement les Q pour la spiruline et l’orge. A votre convenance.
NDLR : Si le goût de la spiruline et de l’orge ne vous convient pas, il est possible de les prendre séparément sous forme de comprimé. Non mixé mais ingéré avec le smoothie.
- Avoir régulièrement des bananes mûres sous la main relève de la prouesse. Mettez des tronçons de bananes mûres congelées.
NDLR : Je coupe les bananes en 3 ou 4 tronçons, selon la taille des bananes. Je sépare les couches avec une feuille d’alu, afin que les tronçons ne collent pas ensemble. Je les utilise congelés dans un smoothie.   Peut se conserver 3 mois sans trop de problème (léger brunissement).
*) Smoothie curatif pour la thyroïde
Le smoothie est un moyen pratique de consommer plusieurs éléments curatifs en une fois. Vous pouvez personnaliser ce smoothie avec tous les aliments curatifs que vous appréciez. Voir aussi la liste des ingrédients curatifs du chapitre XXII (p 161 du livre).
 Ingrédients :
- 300 à 350 gr de mangue (fraîche ou congelée) (1 fruit donne +/ 200 gr de chair)
- 1 banane
- 25 cl d’eau
Mixez les ingrédients, puis incorporez d’autres ingrédients de la liste, selon vos goûts :
- 60 gr ‘épinards
- 40 gr de roquette
- 1 càc d’algue en poudre
- 0.5 à 1 cm de gingembre pelé
- 1 orange pressée
- 25 gr de coriandre
- 125 gr de gel d’aloe vera
- 70 gr de framboises
Conseil :
Pour varier, vous pouvez servir le smoothie dans un bol et le garnir avec des morceaux ou des petits dés de banane, de pêche, de mangue ou papaye, de poire, des graines de grenade ou des baies fraîches ou congelées, de raisins ou de dattes, de figues et d’abricots secs hachés.
*) Glace aux myrtilles et à la banane
Cette glace crémeuse constitue un encas parfait. Peu importe le moment où vous la consommerez car votre thyroïde et votre corps vous remercieront toujours pour les bienfaits qu'elle apporte.
Ingrédients pour 2 personnes :
- 3 grandes bananes congelées
- 200 gr de myrtilles sauvages décongelées, séparées en 2 portions
- 2 càs de miel brut (facultatif) [si les bananes manquent de saveur, ndlr]
Préparation :
Mixez 100 gr de myrtilles décongelées, avec leur jus, et 2 càs de miel. Mixer en plusieurs étapes si nécessaires, de sorte qu’il reste des morceaux de myrtilles ou des myrtilles entières. Réservez.
Coupez grossièrement les bananes et ajoutez le reste des myrtilles dans le mixeur. Mixez  le tout jusqu’à obtention d’un mélange onctueux. Si souhaitez, placé au congélateur 2 heures pour que la glace durcisse encore un peu.
NDLR : Si le stockage est plus long, prélevez des boules de glace et mixez assez brièvement (si Q suffisante). 
Servez avec une sauce aux myrtilles.
On peut saupoudrer avec des morceaux de figues séchées ou des baies fraîches, de rondelles de banane, de lanières de noix de coco, de graines de chanvre ou de noix concassées.

*) Assortiments thyroïdiens
Parfois, le plus simple suffit – ou correspond au temps dont vous disposez. Lorsque vous sortez ou êtes trop occupé pour suivre une recette, inutile de sacrifier les éléments nutritifs ou la saveur !
Ces combinaisons simples et rapides sont spécialement conçues pour vous aider à soutenir votre processus de guérison. Mieux encore, préparez quelques-unes de ces suggestions à l’avance, et. Le jour où le temps vous manquera, vous n’aurez qu’à les glisser dans votre sac [dans une boîte étanche,] avant de partir.
*) Images d’une rosace de chou-fleur et d’une pomme
Bouquets de chou-fleur + tranches de pommes: Cette combinaison soulage l’inflammation de la thyroïde et fournit une nouvelle mémoire à ses cellules en leur rendant leur autonomie après une trop longue dépendance aux médications thyroïdiennes.
*) Images
Tomate + épinards: Réunis, ces ingrédients renforcent le foie en même temps qu’ils drainent le système lymphatique et stimulent le système immunitaire afin de repousser une charge virale susceptible de cibler la thyroïde.
*) Images
Céleri + datte: En associant des sels minéraux essentiels à un glucose biodisponible de haute qualité, ce mélange constitue un reconstituant surrénalien capable de fournir un soutien surpuissant à la thyroïde.
*) Images
Banane + flocons de dulse: l’iode, le potassium et sodium réunis dans ce snack protègent le système endocrinien et le système nerveux central contre les neurotoxines et leurs effets nocifs.
*) Images
Kale + mangue: Cette combinaison d’alcaloïdes et de carotènes pénètre facilement dans la thyroïde et stoppe la croissance de nodules et de kystes.
*) Images
Poire + roquette: Merveilleux pour protéger la thyroïde de l’atrophie et du rétrécissement Ensemble, ces aliments augmentent les capacités de diffusion des ondes thyroïdiennes.
*) Images
Myrtilles sauvages + papaye: Elles stimulent la combativité pour stopper, réduire et prévenir les tumeurs de la thyroïde (cancéreuses et bénignes), restaurent le tissu thyroïdien après une ablation de la glande ou sa destruction par traitement radioactif à l’iode.
*) Images
Mandarine + framboise : La réunion de ces deux aliments prévient la perte de calcium qui risque de survenir lorsque le virus de la thyroïde force le corps à utiliser ses réserves de calcium pour emprisonner le virus dans des nodules et des kystes, à la fois dans la thyroïde et à travers le corps. Aide également à prévenir l’ostéoporose.

Les Techniques de guérison de la Thyroïde (p251) – Chapitre XXV.
Extrait
Votre thyroïde ne vous a pas abandonné, ni ne s’est retournée contre vous, ni ne s’est mise en mode vacances. Il est essentiel de prendre conscience que votre thyroïde peut et va ressusciter si vous lui en donnez les moyens [sans entraver le bon fonctionnement du foie, ndlr].
Vous avez appris des techniques qui permettent d’éliminer le virus de la thyroïde. Dans la suite, vous allez apprendre les méthodes qui activeront sa guérison en la soutenant physiquement, mais aussi en soutenant son âme – car la thyroïde possède une âme, et lorsque cette âme est nourrie, elle s’épanouit et prospère, de la même manière que le soin et la nourriture apportés à votre âme font partie intégrante de votre bien-être.
Commentaire NDLR : Recadrons. La glande thyroïde émet une fréquence que le cerveau et les organes captent. Il va de soi que l’aspect émulation et réception des émotions peuvent aider le corps à se sublimer. Les émotions négatives et positives impactent la santé. De là à dire que la thyroïde possède une âme, je ne franchis pas ce pas. 
- Technique de la lumière pénétrante : laisser infuser une eau au soleil.
- Idem + ajouter un complément d’acides aminés en poudre (L-tyrosine) dans 250 ml d’eau + une goutte d’iode de haute qualité.
- Ajouter la méditation : laissez-vous pénétrer par la lumière du soleil et respirez profondément (respiration ventrale, ndlr). (…)

Partie IV – Les Secrets du Sommeil
Chapitre 27 : L’insomnie et la thyroïde                        265
Chapitre 28: La source du sommeil                              269
Chapitre 29 : Identifier les troubles du sommeil        273
Chapitre 30 :            Guérir les troubles du sommeil             281
Chapitre 31 : Les bienfaits des cauchemars                  287

*) L’Insomnie  et la Thyroïde (p 265) – Chapitre XXVII.
Résumé
La thyroïde n’est pas responsable des troubles du sommeil. Il ne faut pas confondre corrélation et causalité. De nombreux autres facteurs peuvent être responsables de ces troubles. Les neurotoxines et les ML peuvent perturber les connexions neuronales et bloquer l’activité neurologique liée au sommeil.
Le sommeil est essentiel pour  guérir de la thyroïde. Le sommeil est curatif et est un puissant allier pour permettre à l’organisme de récupérer et de se reconstruire :
- boost pour l’homéostasie
- nettoyage du foie par éliminations des déchets et toxines.
- restauration du niveau des neurotransmetteurs.
Quand vous aurez compris ce qui perturbe votre sommeil, après avoir mis le programme curatif en route, vous aurez une meilleure idée de ce qui se cache derrière votre trouble ; le sommeil deviendra alors moins insaisissable.

*) Guérir les Troubles du Sommeil (p 281) – Chapitre XXX.
Extrait 1
Si vous souffrez d’une infection virale, si des métaux lourds toxiques, le MSG ou toute autre surcharge toxique envahissent votre organisme, vous devez faire de la détoxification votre priorité. Augmenter les quantités de fruits, de légumes, d’herbes, d’épices et d’aliments sauvages placera automatiquement votre corps sur le chemin de la détoxification. Si vous souffrez de troubles du sommeil aggravés, la détoxification thyroïdienne en 90 jours vous apportera un soutien
Extrait 2
Pour des maladies spécifiques telles qu’un foie paresseux, une fatigue surrénalienne ou des problèmes digestifs, la meilleure approche consiste à intégrer à votre régime les aliments du chapitre 22.
Le foie peut devenir paresseux en raison de facteurs tels qu’une charge virale importante, un excès de graisse dans l’alimentation et une surcharge en métaux lourds – qui se traduisent par une incapacité à absorber et convertir les nutriments. Ainsi, réduire les apports en graisses, purger le foie avec une eau citronnée au réveil et le dorloter avec des fruits, des légumes, des herbes, des épices et des aliments sauvages vous aidera à guérir.
Extrait 3
Concernant la fatigue surrénalienne, la solution consiste à grignoter (c’est-à-dire manger toutes les heures et demie ou deux heures). Ne vous limitez pas à deux ou trois repas par jour, car vos glandes surrénales finiraient par devoir déverser de l’adrénaline dans votre organisme en cas de baisse de votre taux de glycémie.
Extrait 4
Pour les problèmes digestifs, en plus des options de Medical Medium – Les aliments qui vont transformer votre vie, privilégiez les biotiques superficiels. Ces organismes microscopiques et dynamisants recouvrent les surfaces (feuilles et peaux) des produits biologiques crus, non lavés (ou légèrement rincés). Leur film probiotique peut faire la différence en matière de digestion en comblant en partie l’appauvrissement des sols, comme nous l’avons vu dans «La peur du zinc » du chapitre 21. Contrairement aux probiotiques produits en usine et aux organismes issus du sol, les biotiques superficiels sont capables de survivre au processus digestif et d’atteindre l’iléon – l’extrémité du petit intestin qui fabrique la vitamine B12 essentielle au fonctionnement de l’organisme. Cela ne signifie pas que vous devez consommer uniquement des aliments crus. Il suffit de compléter votre alimentation avec des produits frais, crus et biologiques. Soyez sélectif et suivez votre instinct pour déterminer ceux que vous pouvez consommer sans les laver. Ainsi, une pomme de culture recouverte de cire doit être impérativement nettoyée. De toute façon, elle ne contient pas la bonne source de biotiques superficiels, car la cire et les pesticides utilisés dans son processus de croissance ont déjà interféré avec le film naturel de ces micro-organismes bénéfiques. Si, d'un autre côté, vous mangez un aliment vierge de tous produits chimiques contaminants, un léger rinçage à l’eau du robinet suffira – le film biotique superficiel restera alors intact (les micro-organismes survivent à la pluie). Les pousses que vous cultivez sur votre plan de travail constituent également une source riche et simple de biotiques superficiels que vous pouvez saupoudrer sur vos salades et vos wraps ou intégrer à vos smoothies. Sinon, tournez-vous vers votre jardin biologique ou votre agriculteur local. Le chapitre « Une bonne digestion » de Medical Medium propose davantage de remèdes pour la guérison digestive.
Extrait 5
Si vous souffrez d’une apnée obstructive du sommeil, tous les aliments des pages suivantes vous aideront à réduire le mucus, l’inflammation et la production d’histamine. Dans le cas de l’apnée neurologique du sommeil, ces aliments soutiennent les neurotransmetteurs grâce à des taux élevés d’acides aminés facilement absorbables et assimilables.
Si vous êtes anxieux, la première chose à faire consiste à consommer des aliments réconfortants. Une tisane au miel brut, une patate douce à l’avocat – ce type d’aliment peut vous soulager émotionnellement lorsque vous travaillez sur les causes de votre anxiété.


Suite sur le post suivant

Aliments Favorisant le Sommeil
Les aliments suivants constituent de formidables soutiens pour lutter contre les affections mentionnées dans ce chapitre et renforcer les effets des compléments destinés à faciliter le sommeil. En plus de la liste citée ci-dessous, veillez à inté­grer à votre régime des baies, des dattes, du citron et du citron vert, des pommes de terre, des radis, du curcuma, du gingembre, de l’eau de noix de coco, des germes, de la mélisse, de la griffe de chat, du miel brut, des artichauts, des avocats et des raisins.
Vous remarquerez que nombre de ces ali­ments se recoupent avec ceux du chapitre 22. Ce sont des aliments littéralement miraculeux qui peuvent transformer réellement votre vie
-        dotés de multiples facettes, ils s’adaptent à vos besoins individuels. Cela signifie également que vous n’avez pas à craindre que leur consommation au cours de la journée entraîne une somnolence. Quelle que soit l’heure, ils feront preuve de bienveillance à votre égard.
-         Ail : cet anti-inflammatoire très bénéfique pour les muqueuses et les bronches peut faciliter la respiration pour un sommeil paisible, s’il est consommé sur le long terme. Lorsque vous prenez du glycinate de magnésium, le magnésium biodisponible de l’ail se lie à ce complément; il améliore votre respiration et vous offre un sommeil réparateur.
-         Asperge : en plus de réduire la production de mucus et d’apaiser l’inflammation, l’asperge a un effet apaisant et sédatif, car elle nettoie les antagonistes tels que les radicaux libres et les produits chimiques à la charge positive qui perturbent l’homéostasie (équilibre) de l’organisme. Associée au GABA et au L-thréonate de magnésium, elle accroît leur efficacité.
-         Banane : elle est riche en tryptophane et fructose qui apaise les neurotransmetteurs. Alliée au 5-HTP, elle active son effet, accroît sa biodisponibilité et accélère son absorption.
-         Céleri : riche en sels minéraux, qui transportent les impulsions électriques à travers le cerveau et constituent la pierre angulaire de la formation des neurotransmetteurs, il stimule l’absorption des GABA, glycine et L-thréonate de magnésium par le cerveau et favorise l’action des neurotransmetteurs pour le sommeil.
-        Cerise : elle est une excellente source de mélatonine – une hormone à base de nutriments qui soutient les neurotransmetteurs et les cellules gliales. Si vous mangez des cerises et consommez un complément à la mélatonine, elles augmenteront ses pouvoirs et la rendront plus facilement assimilable par le cerveau et le corps tout en améliorant ses effets thérapeutiques sur le sommeil.
-         Coriandre : elle se lie aux métaux lourds toxiques et au MSG pour les chasser de votre organisme. Associée au L-glutamine, elle améliore l’élimination du MSG et devient cofacteur dans la détoxification des métaux lourds.
-         Épinards : riche en calcium, cet aliment alcalin est utile pour réduire l’acidose. Les épinards contiennent également des sels minéraux qui alimentent les neurotransmetteurs et augmentent la capacité d’absorption de la glycine, ou glycocolle, – permettant de renforcer les performances des neurotransmetteurs.
-         Grenade : ce véritable joyau se lie aux acides indésirables du corps, y compris l’excès d’acide lactique qui risque de provoquer des crampes, dans les jambes et ailleurs, pendant le sommeil. La grenade est dotée de propriétés anti-mucus et anti-inflammatoires. Associée au glycinate de magnésium, elle booste ses pouvoirs de relaxation musculaire.
-         Laitue : le « lait » contenue dans une feuille de laitue apaise les nerfs et a un effet séda­tif global. Associée à la passiflore, la laitue améliore l’effet neurologique calmant de ce complément à base de plantes.
-        Mangue : très riche en magnésium biodisponible, elle facilite la transition vers le sommeil, si vous la consommez avant de dormir. Associée à des compléments L-glutamine, elle augmente leur absorption et réduit la toxicité du MSG en le neutralisant.
-         Myrtilles sauvages : parfaites pour extraire le MSG et les métaux lourds du cerveau, puis les chasser du corps ; elles sont les meilleurs aliments adaptogènes, anti-mucus, anti-inflammatoires; riches en antioxydants, elles améliorent chaque nutriment, complément, acide aminé, etc. – pour que le corps puisse en tirer le meilleur parti.
-         Patate douce : elle fournit une forme essentielle de glucose qui stimule le développement de neurotransmetteurs tels que la glycine, la dopamine, le GABA et la sérotonine favorisant le sommeil. Lorsque vous prenez de la mélatonine en complément, les nutriments de la patate douce se lient à elle et stimulent son passage dans le cerveau. Associées, les deux ont un effet antioxydant puissant qui permet de stopper l’oxydation des métaux lourds toxiques dans le cerveau.
-         Racine de réglisse : cette herbe soutient et régénère rapidement les glandes surrénales. La racine de réglisse enflamme les composés chimiques du glycinate de magnésium, ce qui rétablit les surrénales et permet à la réglisse de leur restituer plus vite leur vitalité perdue.

La Fenêtre Sacrée du Sommeil
Vous ne pourrez pas résoudre un trouble de sommeil en une nuit. Votre corps a besoin de temps pour purger ses toxines, guérir et se reconstruire. En attendant, souvenez-vous des lois du sommeil: quoi qu’il arrive, votre source de sommeil vous attendra toujours, et non seulement vous avez le droit, mais vous méritez de l’utiliser. Vous pouvez, en outre, vous venir en aide malgré des nuits difficiles en vous concentrant sur le fonctionnement du sommeil. Il est important de le savoir, même si ces troubles ne vous concernent pas, parce qu’il est la clé d’un repos plus profitable.
Tout d’abord, sachez que vous guérissez même lorsque vous ne dormez pas. Certains vous diront que le corps ne peut effectuer ses véritables fonctions curatives que lors d’un sommeil profond. Ne désespérez pas. Si vous êtes couché entre 22 heures et 2 heures du matin, les yeux fermés, votre corps guérit, même si vous ne parvenez pas à vous endormir. Bien que vous soyez conscient, une partie de votre cerveau est endormie. Sa partie éveillée peut vous contrarier avec certains messages comme «Tu vas manquer de sommeil» ou «Tu vas être épuisé demain matin », mais ne vous inquiétez pas, sa partie qui sommeille permet à votre corps de se réinitialiser. Relaxez-vous en sachant que vous continuez à recueillir certains bienfaits du sommeil.
Cette tranche de 22 heures à 2 heures constitue une fenêtre sacrée. C’est le moment de la nuit où votre corps accomplit l’essentiel de sa guérison. Si vous êtes capable de dormir pendant ce laps de temps, il guérit à un rythme accéléré. Mais même si vous ne dormez que 10 minutes, ces 10 minutes vous seront profi­tables. La restauration que votre corps accomplit alors vous aidera à progresser sur le chemin de la guérison.
La quantité idéale de sommeil varie selon les individus. Certains se contentent de 5 ou 6 heures, tandis que d’autres ne récupèrent pas à moins de 8 ou 9 heures. Il n’existe pas de nombre d’or, mais un minimum de 4-5 heures est bénéfique. Le plus important est le moment de l’endormissement. Si vous vous endormez à 22 heures et vous réveillez à 5 heures du matin, vous serez plus reposé que si vous vous couchez à 1 heure du matin et dormez 8 ou 9 heures. Tout gravite autour de cette fenêtre de sommeil.
N’oubliez pas non plus que les siestes sont utiles et ne doivent pas être écartées sous prétexte qu’elles sont réservées aux enfants. Nous sommes tous confrontés à ces journées où un besoin impérieux de repos se fait brusquement ressentir, soit parce que nous travaillons la nuit ou sommes restés éveillés pour respecter une échéance, soit simplement parce que nous n’avons pas assez dormi la nuit précédente. Pour la guérison la plus bénéfique, essayez de rester allongé un moment les yeux fermés entre 10 heures du matin et 14 heures. Cette fenêtre constitue l’équivalent diurne de la fenêtre de guérison sacrée nocturne. Si vous l’utilisez à votre avantage, vous sentirez toute la différence.
Commentaire NDLR : La durée optimale ne doit pas dépasser 30’ sinon vous aurez des difficultés à émerger de votre léthargie. 15 à 20’ constitue pour moi la période idéale. On s’adapte, selon le ressenti. 
Soutien Spirituel du Sommeil
Sachez également que l’ange du Sommeil est toujours là, si vous avez besoin de lui. Chaque fois que vous quêtez des conseils ou du réconfort, prononcez son nom à haute voix et demandez son soutien. Il vous aidera à passer une meilleure nuit, que vous souffriez d’un problème de santé ou subissiez une épreuve émotionnelle. Lors de ces nuits où un problème irrésolu vous empêche de dormir, parlez-lui. Dites-lui que vous êtes aux prises avec un problème que vous ne pouvez pas traiter immédiatement parce qu’il vous empêcherait de vous reposer. Il vous aidera à éteindre ce feu émotionnel pour que vous puissiez bénéficier d’un moment de paix et accédiez à votre source de Sommeil. Plus efficace que n’importe quel somnifère, l’ange du Sommeil veille sur vous lorsque vous voyagez dans les terres du subconscient.
Commentaire NDLR : Lorsque vous parlez à votre cerveau / subconscient, il est réceptif aux ondes positives envoyées. Cela l’apaise et permet de débrancher, du moins si vous n’êtes pas trop frustré / trop en colère. Si vous ne pouvez vous empêcher de ressasser un problème / un évènement que vous voudriez revivre pour le moduler d’une autre façon (aspect perfectif), vous ne pourrez pas trouver l’apaisement nécessaire à l’endormissement. Dans ce cas, il conviendrait de diriger / orienter ses réflexions vers des pensées positives, des souvenirs plus agréables. Laissez filer et ne soyez pas trop impatient. Même si vous ne vous endormez pas, une partie de votre cerveau peut débrancher certaines fonctions et en activer d’autres, réparatrices et ressourçantes.
Perso, j'ouvre la radio et je programme 1 H d'écoute. Pas trop fort, pour ne pas contrarier  l'endormissement. Si ça ne fonctionne pas après une heure, je me relève et je m'occupe (lecture d'un roman). Pas sur un PC (lumière vive et bleue, contrindiquée). J'attends le prochain cycle. Si à 5H du mat, je ne suis pas rendormi, je me lève et je fais une sieste crapuleuse dans le divan, en écoutant la radio. Même si je ne m'endors pas, c'est bénéfique; pas suffisant mais acceptable, en attendant la prochaine nuit de sommeil.

*) Les bienfaits des Cauchemars (p 287) – Chapitre XXXI.
Résumé
Les « mauvais » rêves –  appelés cauchemars – sont un moyen de guérir l’âme, selon AW. Lorsque nous sommes éveillés, le cerveau met en place une barrière émotionnelle afin de nous empêcher de traiter et retraiter sans cesse la douleur (hormone anti-douleur) afin que nous puissions rester productifs pdt nos heures de veille. Le sommeil constitue le moyen de traiter cette douleur. Lorsque nous sombrons dans l’inconscience, nos murs émotionnels s’effondrent pour laisser notre âme / notre subconscient accomplir son travail de nettoyage et de réparation. Cela nous permet de faire face aux aléas de la vie, sans être déstabilisé. (…)
Sachez que rien n’est plus sain. Même si nous sommes persuadés du contraire, les mauvais rêves nous régénèrent. Les cauchemars ne ferment pas les portes, ils nous les ouvrent, créent de nouveaux départs.
NDLR : Comprenez que – même si nous n’en sommes pas conscients – les cauchemars sont une soupape de sécurité, activée par notre inconscient. C’est donc une porte de sortie pour les différents maux énoncés plus avant.
Mais sachez, comme bien souvent, que tout est une question d’équilibre entre les mauvais rêves et les beaux rêves.
*) Postface – L’Or de votre Âme
Extrait :
Vous pouvez maintenant vous débarrasser de votre maladie et de tous les symptômes et éti­quettes qui l’accompagnent. Vous pouvez guérir, vous élever et récupérer votre pouvoir – ce pouvoir qui dépasse vos connaissances.
Votre thyroïde, cette partie de votre corps que vous avez peut-être considérée comme votre point faible ou votre ennemi, est en réalité votre plus grande force et protectrice. Cette glande ne fonctionne pas uniquement au niveau physique. Spiri­tuellement, elle est un bouclier, le garde qui veille sur les trésors que vous avez gagnés – une partie de votre armure, tandis que vous avancez dans la vie.
Malgré tout ce qui a pu lui arriver, même après une intervention chirurgicale ou un traitement à l’iode radioactif, elle conserve son âme. Celle-ci a toujours été présente et a toujours veillé sur vous. Elle a conservé ces trésors dans l’attente du jour où vous les découvririez.
Fin du livre.

Sources et Références
1) Consensus sur la co-infection par le virus EBV.
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Un article de synthèse publié dans le New England Journal of Medicine précise que le virus EBV a réussi à infecter plus de 90 % de la population humaine.
Il est extrêmement courant de trouver des preuves d’une infection par le virus d’Epstein-Barr, compte tenu de sa facilité à nous infecter, mais sa présence ne signifie pas automatiquement qu’il est à l’origine d’une maladie particulière.
2A) Nutriments essentiels
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L’Autorité européenne de sécurité des aliments –  considère que six vitamines (A, C, D, B6, B9 et B12) et quatre minéraux (zinc, fer, cuivre, sélénium) sont essentiels à une bonne santé immunitaire.
2B) Comprendre et assister l’hypothyroïdie
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De quoi la tyroïde a-t-elle besoin pour fonctionner ?
3) Résidus LPS
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Lorsque le système immunitaire (globules blancs) phagocyte et détruit les bactéries, des résidus LPS subsistent et sont pris pour cible et sur-activent le système immunitaire. Il s’ensuit une erreur de marquage, par mimétisme moléculaire. Nous avons besoin des MG pour convoyer ces résidus vers la sortie, dans les selles.
4A) Lait, mensonge et propagande.
Thierry Souccar
4B) livre : Rhumatisme : L'alimentation est-elle coupable ?
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Jean-Marie Poinsignon, rhumatologue
5A) Seignalet – L'Alimentation ou la Troisième Médecine
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5B) Gluten et taux de prolamines
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Il y a une similitude de configuration entre les peptides des protéines des céréales, de certaines pseudo-céréales et des laitages, particulièrement au niveau de la gliadine-alpha. « On sait maintenant que la résistance des gliadines aux enzymes digestives est due à leur structure cyclique très rigide constituée de plusieurs associations répétées de deux acides aminés, la proline et la glutamine. Quatre types de gliadines (nommées alpha, bêta, gamma et oméga) ont été identifiés, ce qui a permis de montrer que la gliadine-alpha présente des effets pathogéniques plus marqués que les autres gliadines. En fait, « la gliadine-alpha présente une capacité supérieure à activer de façon exacerbée le système immunitaire ainsi que d’autres caractéristiques pathogéniques susceptibles d’altérer le comportement normal des cellules. »
6) L’huile de colza
Over 90% of canola crops in the United States and Canada are genetically engineered. Several animal studies link canola oil to increased inflammation and oxidative stress. In one study from 2011, rats fed a diet of 10% canola oil experienced decreases in several antioxidants and increases in “bad” LDL cholesterol levels, compared to rats fed soybean oil.
Plus, the canola oil diet significantly decreased lifespan and led to sizable increases in blood pressure ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]).
Another recent rat study demonstrated that compounds formed during the heating of canola oil increased certain inflammatory markers.
7) Crise de guérison –  désencrassage – effet rebond : Quand les symptômes s’aggravent.
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Anthocyanine & bienfaits pour la santé
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Les Anthocyanes ont un large éventail d’activités biologiques, y compris: antioxydant, anti-inflammatoire, antimicrobien, anti-cancérogène, favorisant la santé oculaire, neuroprotecteur, prévention de l’oxydation des LDL, amélioration de la stabilité capillaire, collagène de soutien, et augmentation des niveaux intercellulaires de vitamine C.
NB : Les anthocyanes constituent une sous-famille de flavonoïdes. Issus de la famille des polyphénols.
 9) Comment faire une bonne détox du foie ?
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Cure de jus de citron de 21 jours. Plantes pour assister le foie.