Détox et organisme sous-vital

**Luc** Sam 25 Juil 2020 - 10:48

Ce docu est conçu en vue de constituer une base-ressource. Ce n’est pas un guide clé-sur-porte car il faudra souvent moduler selon le ressenti. Pour autant nous n’agirons pas sans un plan orienté qui repose sur l’expérience des praticiens de santé et le retour des personnes en souffrance (…).
Le docu n’est pas exhaustif. Il pourra être complété ultérieurement.
Avant de penser à détoxifier l’organisme et alléger le travail du foie, nous devons procéder par élimination et vérifier s’il n’y a pas d’autres contraintes qui altèrent le fonctionnement de l’organisme et qui le rendent sous-vital.
Si vous ne vous sentez pas concerné par un chapitre, passez au suivant.
- Candidose
- Perméabilité intestinale et dysbiose de fermentation et / ou de putréfaction
- Colopathie : SIBO et / ou SIFO (déséquilibre des bactéries commensales et prolifération bactérienne, avec ou sans élément(s) fongique(s) (soit des levures).
- Borréliose ou maladie de Lyme
- Chouchouter le foie lors d’une détox
- Moduler le die-off (crise de guérison) lors de l’évacuation des endotoxines LPS.
- Liens utiles:
Comprendre le MMC (le complexe moteur-migrant) ou péristaltisme en cas de constipation.
Micronutriments utiles que le corps réclame
Stratégie pour attaquer le biofilm
Organisme sous-vital et métabolisme erratique.

**Luc** Sam 25 Juil 2020 - 10:50

*) Candidose
On vérifie qu’on ne souffre pas d’une dysbiose de fermentation ou de putréfaction (déséquilibre du microbiome), que nous allons à selles correctement (au minimum tous les 2 jours), avec donc un transit +/ régulier. Dans certains cas, le déséquilibre de la flore intestinale a permis la prolifération d’une levure, le candida albicans.
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Mise en évidence : Il faut éviter d’avancer à l’emporte-pièce pour voir ce que ça va donner.
Intrinsèquement, ce n’est pas parce qu’un produit phyto ou un antibiotique a bien fonctionné que cela est approprié dans tous les cas de figure.

Evitez le repli tactique (derrière un biofilm)
Nous devons mieux structurer au niveau de la stratégie sinon cela risque de tourner au leurre. Comprenez que vous aurez l’impression, dans un 1^er temps, que ça marche / que ça rend +/ bien, avec un die-off (crise de guérison), suivi d’une accalmie souvent passagère.
Soyez aussi conscient que si vous souffrez d’une colopathie (SIBO & SIFO) cela demande d’établir des priorités, en vue de rétablir un équilibre du microbiome, sans entrer en mode famine.
On tape sur le clou: Ce n'est pas parce que c'est bon que c'est bien de le faire. Cela ne suffira pas pour éviter le repli (protection) de la levure derrière un biofilm. C'est lors de 1ère attaque qu'il faut affaiblir les bactéries / levures opportunistes.
Ensuite, nous les matraquons : on les estourbit, puis on les zigouille. Enfin, on consolide et finalement il faut occuper la place. Sinon, vous allez les chatouiller, et au passage vous réussirez probablement à en zigouiller quelques-unes, avec un die-off (crise de guérison) ce qui vous fera penser que vous êtes sur la bonne voie…
On résume le pincipe: AMAZ-COP
Tactique coordonnée et planifiée, qui aboutit à un schéma structuré:
- Affaiblir (privation des ressources mais pas avec une abstinence complète)
- Matraquer pour assommer (limiter la capacité d’adaptation)
- Zigouiller (avec augmentation du die-off) + assistance pour évacuer les endotoxines LPS
- Consolidation (nutriments utiles pour assurer une diversification des bactéries commensales).
- Occuper la place (menus diversifiés et apports éventuels de souches spécifiques en fonction du terrain).
NB : Recherche Google avec : Candidose et Test du verre d’eau (si la levure a proliféré). Notez que c’est une indication sérieuse mais elle reste à confirmer. Il ne faut pas tout dézinguer non plus, tirer tout azimut ! Si vous ne rééquilibrez pas les menus et que vous manquez de nutriments utiles, vous allez droit dans le mur (affaiblissement généralisé et prolifération bactérienne entraînant des mycoses ...). Il faut occuper la place (réensemencer).
Le Dr D’Oro dit à ce sujet :

« Les traitements de la candidose chronique sont parfois difficiles et il faut quelques fois alterner traitement médicamenteux antimycotiques et produits naturels jusqu’à obtenir un résultat.
Il faut également comprendre les causes en amont qui ont favorisé la survenue de la candidose et corriger cela (baisse de l’immunité, stress chronique, microbiote appauvri etc.) »
Dr A. D’oro

Voir aussi plus bas, dans les « liens intéressants ».

*) Info utile sur la dysbiose et la colopathie
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Précisons enfin que la tactique ne sera pas la même si vous souffrez en même temps d’une colopathie, soit un SIBO (Syndrome Intestinal bacterial overgrowth), ou si vous souffrez d’un SIFO (fungus overgrowth).
SIFO => Fungus / fungi : contamination par des bactéries opportunistes sous forme de levures)
SIBO => Bacteria : contamination par des bactéries ou micro-organismes, sans élément fongique)

Lien intéressant : Vous êtes infesté par le candida albicans
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**Luc** Sam 25 Juil 2020 - 10:51

*) Borréliose (maladie de Lyme)
Vous êtes sous-vital : Vous carburez mal et ne comprenez par pourquoi car les paramètres contrôlés (thyroïde, analyses fongiques, allergie au gluten, etc.) semblent indiquer une voie sans issue. Et si l’intrus était passé sous le radar de la détection !?
La maladie de Lyme, aussi appelée la borréliose de Lyme, est une maladie infectieuse, transmise à l’homme par des piqûres de tiques infectées, souvent en se promenant dans les sous-bois, mais pas que. Les bactéries responsables de cette pathologie appartiennent à la famille des Spirochètes et au genre Borrelia.
On dénombre différentes espèces de bactéries responsables de borrélioses à travers le monde. Elles provoquent diverses « maladies de Lyme », avec chacune ses propres symptômes. C’est une des raisons pour lesquelles il est très difficile d’établir le diagnostic de « la maladie de Lyme » !
Différents virus viennent se joindre aux précédents micro-organismes. Tous ces germes associés aux différentes espèces de Borrelia sont sources de nombreuses co-infections, d’où la difficulté d’établir un diagnostic et d’adapter un traitement. Il n’y a pas un traitement unique qui s’applique dans tous les cas de figure. Toutes les tiques ne sont pas porteuses des mêmes bactéries. Les tiques sont des acariens qui se nourrissent de sang pour vivre. Elles parasitent de nombreux animaux et accidentellement l’homme. Si l’animal était porteur sain de bactéries vivant en symbiose avec l’hôte, ce ne sera plus nécessairement le cas lors de la transmission à l’homme (zoonose).

Des HE au secours des antibiotiques
Fabienne Millet, docteure en pharmacie, dit :

« Les carences des traitements conventionnels pourraient être compensées par des huiles essentielles et des recherches ont établi des pistes ! L’emploi de l’aromathérapie peut s’avérer intéressant, en complément de l’antibiothérapie, pour lutter contre les surinfections des borrélioses (résistances, biofilm…) et permettre la destruction des virus et autres germes injectés lors de la morsure. Par contre, il est important d’ajouter qu’elle ne se substitue pas à l’antibiothérapie d’attaque. »

Note importante: Quand on prend un antibiotique avec une phytothérapie, il faut s'assurer que la combinaison est LA bonne combinaison qui ciblera les opportunistes qui prolifèrent sinon il va y avoir repli (tapi) et résurgence possible. En résumé: Pas de tentative à l'emporte-pièce ou approximative (si le thérapeute n’est pas familiarisé avec ce type de pathologie).
Lien intéressant :
Borréliose et co-infections associées
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Voir aussi la dernière rubrique « Liens intéressants » pour approfondir le sujet sur la thyroïde.

**Luc** Sam 25 Juil 2020 - 10:55

Le foie crie au secours lors d’une détox
Le foie filtre environ 2400 litres de sang par 24 heures, soit 1,2 à 1,5 litre de sang par minute (au repos).
Normalement et biologiquement, pour éliminer les toxines liposolubles ainsi qu’une partie du cholestérol, le foie synthétise et sécrète la bile qui est, certes, un produit toxique mais également un élément indispensable au bon fonctionnement de l’organisme : elle permet la lubrification du bol fécal, la synthèse de la vitamine K, l’émulsion des graisses et permet d’alcaliniser le milieu duodénal pour favoriser l’action des sucs pancréatiques.
Lorsque cette voie naturelle d’élimination est inhibée ou perturbée pour différentes raisons, le foie doit alors transformer ces substances toxiques, non éliminables directement, en produits moins toxiques qui seront ensuite éliminés par la bile et/ou par les urines (1)
1. Pour plus d’informations à ce sujet, voir l’ouvrage « Nettoyer et drainer son foie naturellement », Christian Brun. Ed. Trédaniel, 2012.

La désintoxication hépatique s’effectue alors en trois phases dont le but est d’augmenter la solubilité des éléments nocifs et en faciliter l’excrétion biliaire et/ou urinaire :
- Phase 1 : « Casser » les grosses molécules toxiques, en substances intermédiaires.
- Phase 2 : Réduire la toxicité des molécules toxiques. On parle de conjugaison, càd faciliter l’association temporaire en une molécule moins agressive. Grâce à l’acide glucuronique la nouvelle molécule est ainsi plus facilement éliminée par les reins.
Ou cela peut être fait aussi suivant un processus appelé méthylation.
Extrait : La méthylation

La méthylation est la bougie d’allumage, c’est-à-dire que sans elle il n’y aurait aucune réaction biochimique. Cette méthylation joue un rôle dans la capacité de l’organisme à réparer les cellules endommagées avant qu’elles ne deviennent cancéreuses. Cette méthylation est essentielle à la communication entre les cellules, au maintien de la flexibilité et de la perméabilité des membranes cellulaires indispensables aux échanges entre les cellules mais aussi à la fabrication du glutathion, de l’adrénaline et la mélatonine à partir de la sérotonine. Le foie utilise aussi la méthylation pour effectuer son rôle de détoxification organique. À noter que toutes les réactions de méthylation exigent de la S-adenosylmethionine (SAMe).

Source : SCE 01 2019. Dr Christian BRUN.
- Phase 3 : Éliminer les déchets
Les déchets vont être éliminés via la bile dans les selles ou par les urines. Sans élimination efficace, les éléments toxiques resteraient dans le tissu adipeux indéfiniment, jusqu’à ce qu’il y ait saturation ou perte de masse …

Voir les explications plus approfondies sur la conjugaison et le processus d’élimination.
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=> Voies de détox et préparation du terrain.

**Luc** Sam 25 Juil 2020 - 10:57

*) Liens intéressants :
Faisons connaissance avec ces 3 organes: Foie - vésicule – pancréas.
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Une bile de qualité est essentielle pour assister la détox du foie (+ apport de taurine et méthionine)
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*) TUTO – Quatre étapes clés pour un intestin au top de sa santé !
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Traiter les causes plutôt que les symptômes.
- 1. Retire les aliments et les toxines qui nuisent à ton intestin.
- 2. Remplace-les par des aliments curatifs et régénère ta flore intestinale.
- 3. Répare l’organisme avec cinq compléments alimentaires spécifiques.
- 4. Tiens-toi loin du stress et prends du repos.

*) Comprendre le fonctionnement de l’intestin et du pancréas
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=> Suivez le parcours des aliments ingérés en vue d’une assimilation optimale.

*) Le CMM ou MMC (le complexe moteur-migrant)
C’est « une onde de contraction musculaire » qui intervient environ 1 Heure après que l’estomac a évacué le bol alimentaire. C’est en qque sorte un système de nettoyage du grêle qui empêche l’accumulation des résidus non assimilés à cet endroit. Il faut laisser la place aux nouveaux aliments ultérieurs.
Grignoter entre les repas c’est priver son corps d’une de ses fonctions d’auto-nettoyage les plus efficaces… et laisser son intestin s’encrasser.

*) Faciliter le péristaltisme intestinal et pratiquer une technique de relaxation
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Darky dit :
Les techniques de relaxation qui combinent de préférence en même temps des efforts abdominaux légers afin de faciliter le péristaltisme intestinal (MMC). Essayez de pratiquer ces exercices avec un grêle le plus vide possible afin d'éviter au mieux les coups de bélier.
NB : Avec des infos sur le flush à la vitamine C (Bella Lindemann) pour dégager le grêle des amalgames.

*) SIBO et / ou SIFO ? Par le Dr Antonello D’ORO
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Quand SIBO et candidose font ménage ensemble.
Diagnostic et traitement médical accompagné de phytothérapie. Modulation de la crise de guérison (die-off des endotoxines LPS). Concilier une diète anti-candidose avec une colopathie (SIBO). Les facteurs de risque.

*) Ces 7 micronutriments que votre corps réclame (PDF)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (Biosanté Editions 2018: Dr Eric Ménat - Dr Philippe Veroli - Dr Patrick Lemoine - Le Dr Antonello D’Oro
1. La vitamine D - Le réflexe prioritaire.
2. Le magnésium - La clef de votre équilibre nerveux.
3. Le zinc - Il aide vos défenses naturelles.
4. La mélatonine - Pour retrouver de bons cycles de sommeil.
5. Les oméga-3- Le secret du fameux régime méditerranéen.
6. La coenzyme Q10 - L’antioxydant aux multiples vertus énergétiques.
7. La tyrosine - Le booster qu’il vous fallait.

*) Assister le die-off (crise de guérison)
Assisterais le die-off, en s'informant sur le comment covoiturer les endotoixnes LPS vers la sortie.
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*) Stratégie pour attaquer le biofilm
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*) Organisme sous-vital et thyroïde à la traîne.
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**Luc** Sam 25 Juil 2020 - 11:04

Espace réservé 1
=> liens intéressants (à venir), lors d'un partage.
Ce post est évolutif et partagera votre retour d'expérience, pour faciliter la compréhension de certain(e) lecteurs / lectrices en errance, avec une perte de discernement dû à la fatigue et / ou à la prise de contrôle inconsciente de certaines bactéries (fongi) sur votre cerveau ...
Lorsqu'on sait à quoi s'attendre et qu'on peut moduler certains aspects (détox, angoisse, stress), cela épargnera pas mal d'énergie à l’organisme!
je mettrais un renvoi (lien) avec un extrait vers un post explicatif (...).

**Luc** Sam 25 Juil 2020 - 11:04

Espace réservé 2

**Luc** Sam 25 Juil 2020 - 11:05

Espace réservé 3

Invité Dim 26 Juil 2020 - 8:41

Bonne approche, ça va dégrossir pas mal de choses sur les pathologies notamment chroniques inflammatoires de l'intestin.
J'apporterai ma contribution asap (beaucoup de choses à dire, ça se bouscule au portillon comme un soir de match à la billetterie), avec pas mal d'éléments dont beaucoup de réflexions en parallèle à ma condition (pas mal de recul et d'années de ressenti), qui me permettent aujourd'hui d'élaborer des théories plus ou moins fumeuses, mais qui en réalité dans mon cas, ne sont que relier les point d'info entre eux avec plus ou moins de pertinence = lire entre les lignes de l'info relative sur le net qui est loin de tout expliquer, sachant que chaque cas est souvent unique, tant par la condition spécifique du patient, que par les impondérables susceptibles de faire partie de l'addition : polymorphismes génétiques, divergences qualitative et quantitative de la flore micro-biotique, alimentation, facteurs sociaux-environnementaux, etc... La combinaison de ces paramètres rend parfois les approches normalement sûres discutable et, dès lors, seule la compétence d'un praticien spécialisé, avec l'aide d'une équipe pluri-disciplinaire au sein d'une structure adaptée peut espérer décortiquer le problème = la somme des connaissances et de l'expérience clinique de gens dont c'est le métier depuis des décades est le meilleur garant d'efficacité. Mais même là il existe des cas qui sont insolubles car nous sommes limités par l'avancée scientifique et la recherche qui lui est associée et malgrés des traitements bien menés il existe non seulement des facteurs inflammatoires récidivants, que nous ne sommes pas encore en mesure de juguler, tellement les mécanismes digestifs/cerveau sont complexes.

**Luc** Dim 26 Juil 2020 - 9:15

darky35 a écrit:Bonne approche, ça va dégrossir pas mal de choses sur les pathologies notamment chroniques inflammatoires de l'intestin.
J'apporterai ma contribution asap (beaucoup de choses à dire, ça se bouscule au portillon comme un soir de match à la billetterie), avec pas mal d'éléments dont beaucoup de réflexions en parallèle à ma condition (...)

Oui, ce serait très précieux. Ne cherche surtout pas à être exhaustif. Ce sera un peu comme une banque de données.
On précise l'idée globale, avec le mécanisme, d'une manière le plus abordable possible (au risque de prendre un raccourci avec la vérité).
Puis on met un lien pour la personne qui souhaite approfondir.
NB: Il faut donc trouver un compromis entre un résumé, avec des idées clés, avec un décodage adapté si le vocabulaire est ésotérique. Pensez à ceux qui sont dans le brouillard et qui reviendront plus tard.
On répète: Une approche simplifiée (quand c'est possible), qui donne envie de revenir approfondir dans un 2ème temps.
On a le temps.
PS: J'avais pensé à t'envoyer le texte déjà posté comme docu martyr, surtout en vue d'y apporter des liens intéressants complémentaires, mais je me suis dit que tu avais des contraintes professionnelles et que tu ferais ça quand tu en aurais l'envie / le temps disponible...

**Luc** Dim 26 Juil 2020 - 9:19

Capacité des levures et autres virus à se mettre à l'abri
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=> Au lieu de changer leur ADN, certaines bactéries ont une capacité adaptative stupéfiante pour survivre au changement d'environnement. Elles ont la capacité de réorganiser l'agencement de leurs propres chromosomes et d'en dupliquer certaines parties.

Wouah! Rien que ça !
C. glabrata augmente ainsi le nombre de gènes de résistance aux médicaments en dupliquant ses chromosomes. L'inverse est également vrai: Lorsqu'il y a une quantité moindre d’une molécule de régulation (antifongique), les copies supplémentaires du chromosome qui confèrent une résistance à ce médicament se perdent progressivement.
Evidemment, Il existe également quelques mutations qui sont soupçonnées de rendre C. glabrata plus résistant aux antifongiques. D'où l’intérêt de bien établir le profil de l’intrus qui a proliféré avant de le cibler avec le 1^er produit phyto qui vous a été recommandé, censé être bénéfique en général, si pris au début du processus Wink

Edit: Je suppose que quand on parle de polymorphisme, il s'agit ici de la capacité de la bactérie à prendre plusieurs formes, dans un processus de défense contre le système immunitaire ou un agent anti-bactérien. Si on simplifie: polymorphisme = capacité de muter pour s'adapter.

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