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Infos santé. Divers SCE 2
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Re: Infos santé. Divers SCE 2
Voir aussi les 2 posts précédents.
Caféine, ami ou ennemi ?
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La réponse ne sera pas tranchée : Comme bien souvent, ce n’est pas tout blanc ou tout noir. Comment optimiser, en situation, si vous aimez boire un kawa ?
Il faut tenir compte du contexte : (...)
La caféine a un effet inhibiteur de la recapture de la dopamine, mais son mécanisme principal de stimulation du système nerveux central est l'antagoniste du récepteur de l'adénosine. (9)
Comment la caféine affecte-t-elle les récepteurs ? (10)
Suite sur le lien.
Caféine, ami ou ennemi ?
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La réponse ne sera pas tranchée : Comme bien souvent, ce n’est pas tout blanc ou tout noir. Comment optimiser, en situation, si vous aimez boire un kawa ?
Il faut tenir compte du contexte : (...)
La caféine a un effet inhibiteur de la recapture de la dopamine, mais son mécanisme principal de stimulation du système nerveux central est l'antagoniste du récepteur de l'adénosine. (9)
Comment la caféine affecte-t-elle les récepteurs ? (10)
Suite sur le lien.
Luc- Irrécupérable en chef
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Toxicité des benzos pour le cerveau
SRRI drugs cause brain damage
Toxicité des benzos pour le cerveau
Résumé:
Les “médocs” connus sous le nom générique de “benzodiazépines” – plus exactement la classe SSRI, soit les inhibiteurs de recapture de sérotonine – sont toxiques pour le cerveau, particulièrement chez les personnes âgées. Ces benzos sont pourtant classés « safe » par l’autorité de santé (FDA et Consorts).
Mais 1 personne sur 5 souffrira d’effets secondaires, sans pour autant traiter réellement le problème (anxiété) en profondeur : niveau d’énergie faible, difficultés de concentration, perte de mémoire, anxiété, insomnie, sensibilité à la lumière et aux sons, problèmes digestifs, symptômes déclenchés par la nourriture et les boissons, faiblesse musculaire et douleurs corporelles.
Ces dommages peuvent persister après l’arrêt des benzos, chez 76 % des personnes, de manière durable. C’est un comble!
Article:
Anti-anxiety drugs cause brain damage, unemployment, and suicide...even if stopped
Source: Ray PEAT Forum – Haidut (forum member) – Scientific Studies – Jul 18, 2023.
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Haidut posted:
Just a few minutes ago I posted about a study implicating serotonin (5-HT) and, by extension, SSRI drugs in brain atrophy and depression, especially in aging people. In clinical practice, while SSRI drugs are considered plenty "safe", anti-anxiety drugs such as the popular benzodiazepines (e.g. Valium, Xanax, Klonopin, etc) are considered even "safer", and this is why most of them do not have "blackbox warnings" on their label mandated by the FDA. This perceived "safety" of benzos (as they are commonly known) has led to them being prescribed to all age groups (even babies!) for all sorts of symptoms (often completely unrelated to anxiety), to the point that even the limitless greed of Big Pharma has acknowledged an epidemic of over-prescription. Hardly a day that goes by without some celebrity admitting on national TV an addiction to benzos, requiring formal hospitalization. Now, the study below demonstrates what we have all been suspecting for many years - i.e. there is nothing "safe" when it comes to benzos and they are capable of causing serious brain damage, which persists even after brief benzo usage and/or discontinuation, with the brain injury leading to negative outcomes later on such as job loss, social/relationship breakdown or even suicide. The study authors believe the incidence of these side effects of benzos is so high (about 1 in 5) that it warrants its own medical term - benzodiazepine induced neurological dysfunction (BIND). Worst of all, as the study itself states, BIND caused completely unrelated symptoms and health issues to appear - i.e. it generated multiple new serious disorders/conditions, while being only marginally effective at treating the relatively harmless one (anxiety) for which they were prescribed originally. Case in point - more than half of the study participants taking benzos reported contemplating or attempting suicide!
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
"...Benzodiazepine use and discontinuation is associated with nervous system injury and negative life effects that continue after discontinuation, according to a new study from researchers at the [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]The study was published today in the journal [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]“Despite the fact that benzodiazepines have been widely prescribed for decades, this survey presents significant new evidence that a subset of patients experience long-term neurological complications,” said [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], M.P.H., an assistant professor in psychiatry at the [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] and medical director of the nonprofit [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].“This should change how we think about benzodiazepines and how they are prescribed.” “Patients have been reporting long-term effects from benzodiazepines for over 60 years. I am one of those patients. "
"...Symptoms were long-lasting, with 76.6% of all affirmative answers to symptom questions reporting the duration to be months or more than a year. The following ten symptoms persisted over a year in greater than half of respondents: low energy, difficulty focusing, memory loss, anxiety, insomnia, sensitivity to light and sounds, digestive problems, symptoms triggered by food and drink, muscle weakness and body pain. Particularly alarming, these symptoms were often reported as new and distinct from the symptoms for which benzodiazepines were originally prescribed. In addition, a majority of respondents reported prolonged negative life impacts in all areas, such as significantly damaged relationships, job loss and increased medical costs. Notably, 54.4% of the respondents reported suicidal thoughts or attempted suicide. BIND is thought to be a result of brain changes resulting from benzodiazepine exposure. A general review of the literature suggests that it occurs in roughly one in five long-term users. The risk factors for BIND are not known, and more research is needed to further define the condition, along with treatment options."
Toxicité des benzos pour le cerveau
Résumé:
Les “médocs” connus sous le nom générique de “benzodiazépines” – plus exactement la classe SSRI, soit les inhibiteurs de recapture de sérotonine – sont toxiques pour le cerveau, particulièrement chez les personnes âgées. Ces benzos sont pourtant classés « safe » par l’autorité de santé (FDA et Consorts).
Mais 1 personne sur 5 souffrira d’effets secondaires, sans pour autant traiter réellement le problème (anxiété) en profondeur : niveau d’énergie faible, difficultés de concentration, perte de mémoire, anxiété, insomnie, sensibilité à la lumière et aux sons, problèmes digestifs, symptômes déclenchés par la nourriture et les boissons, faiblesse musculaire et douleurs corporelles.
Ces dommages peuvent persister après l’arrêt des benzos, chez 76 % des personnes, de manière durable. C’est un comble!
Article:
Anti-anxiety drugs cause brain damage, unemployment, and suicide...even if stopped
Source: Ray PEAT Forum – Haidut (forum member) – Scientific Studies – Jul 18, 2023.
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Haidut posted:
Just a few minutes ago I posted about a study implicating serotonin (5-HT) and, by extension, SSRI drugs in brain atrophy and depression, especially in aging people. In clinical practice, while SSRI drugs are considered plenty "safe", anti-anxiety drugs such as the popular benzodiazepines (e.g. Valium, Xanax, Klonopin, etc) are considered even "safer", and this is why most of them do not have "blackbox warnings" on their label mandated by the FDA. This perceived "safety" of benzos (as they are commonly known) has led to them being prescribed to all age groups (even babies!) for all sorts of symptoms (often completely unrelated to anxiety), to the point that even the limitless greed of Big Pharma has acknowledged an epidemic of over-prescription. Hardly a day that goes by without some celebrity admitting on national TV an addiction to benzos, requiring formal hospitalization. Now, the study below demonstrates what we have all been suspecting for many years - i.e. there is nothing "safe" when it comes to benzos and they are capable of causing serious brain damage, which persists even after brief benzo usage and/or discontinuation, with the brain injury leading to negative outcomes later on such as job loss, social/relationship breakdown or even suicide. The study authors believe the incidence of these side effects of benzos is so high (about 1 in 5) that it warrants its own medical term - benzodiazepine induced neurological dysfunction (BIND). Worst of all, as the study itself states, BIND caused completely unrelated symptoms and health issues to appear - i.e. it generated multiple new serious disorders/conditions, while being only marginally effective at treating the relatively harmless one (anxiety) for which they were prescribed originally. Case in point - more than half of the study participants taking benzos reported contemplating or attempting suicide!
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"...Benzodiazepine use and discontinuation is associated with nervous system injury and negative life effects that continue after discontinuation, according to a new study from researchers at the [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]The study was published today in the journal [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]“Despite the fact that benzodiazepines have been widely prescribed for decades, this survey presents significant new evidence that a subset of patients experience long-term neurological complications,” said [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], M.P.H., an assistant professor in psychiatry at the [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] and medical director of the nonprofit [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].“This should change how we think about benzodiazepines and how they are prescribed.” “Patients have been reporting long-term effects from benzodiazepines for over 60 years. I am one of those patients. "
"...Symptoms were long-lasting, with 76.6% of all affirmative answers to symptom questions reporting the duration to be months or more than a year. The following ten symptoms persisted over a year in greater than half of respondents: low energy, difficulty focusing, memory loss, anxiety, insomnia, sensitivity to light and sounds, digestive problems, symptoms triggered by food and drink, muscle weakness and body pain. Particularly alarming, these symptoms were often reported as new and distinct from the symptoms for which benzodiazepines were originally prescribed. In addition, a majority of respondents reported prolonged negative life impacts in all areas, such as significantly damaged relationships, job loss and increased medical costs. Notably, 54.4% of the respondents reported suicidal thoughts or attempted suicide. BIND is thought to be a result of brain changes resulting from benzodiazepine exposure. A general review of the literature suggests that it occurs in roughly one in five long-term users. The risk factors for BIND are not known, and more research is needed to further define the condition, along with treatment options."
Luc- Irrécupérable en chef
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Sécheresse oculaire et probiotique Lactobacillus Reuteri
Sécheresse oculaire : cette bactérie pourrait vous aider si vous manquez de larmes
SCE 10/23
Picotements dans les yeux ? Sensation de grain de sable qui gratte ? Paupières collées ? Vous pourriez être victime de sécheresse oculaire ! Dans ce cas, votre problème vient sûrement d’un manque de larmes.
La sécheresse oculaire concerne surtout les plus de 60 ans, mais certains médicaments – antidépresseurs, antalgiques, somnifères, anti-diarrhéiques, anti-arythmiques – et des pathologies comme la maladie de Crohn sont aussi en cause.
Si vos glandes lacrymales deviennent paresseuses, pas de panique ! Il existe bien des gels imitant les larmes, relativement efficaces, mais une étude récente offre des perspectives plus naturelles et intéressantes. Elles impliquent notre microbiote intestinal. Des chercheurs du Baylor College of Medicine, aux États-Unis, ont observé l’effet bénéfique de la souche probiotique Limosilactobacillus reuteri DSM17938 chez des souris souffrant de sécheresse oculaire.
Résultat : après seulement 5 jours, les souris avaient une cornée en meilleure forme et plus de cellules productrices de mucine, essentielle pour la lubrification oculaire (1). Bonne nouvelle : on trouve cette bactérie dans le commerce sous la forme de probiotique (elle est aussi appelée « Lactobacillus Reuteri ! »).
1 « An oral probiotic can treat dry eye disease », American Society for Microbiology, juin 2023. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] eurekalert.org/news-releases/992615
SCE 10/23
Picotements dans les yeux ? Sensation de grain de sable qui gratte ? Paupières collées ? Vous pourriez être victime de sécheresse oculaire ! Dans ce cas, votre problème vient sûrement d’un manque de larmes.
La sécheresse oculaire concerne surtout les plus de 60 ans, mais certains médicaments – antidépresseurs, antalgiques, somnifères, anti-diarrhéiques, anti-arythmiques – et des pathologies comme la maladie de Crohn sont aussi en cause.
Si vos glandes lacrymales deviennent paresseuses, pas de panique ! Il existe bien des gels imitant les larmes, relativement efficaces, mais une étude récente offre des perspectives plus naturelles et intéressantes. Elles impliquent notre microbiote intestinal. Des chercheurs du Baylor College of Medicine, aux États-Unis, ont observé l’effet bénéfique de la souche probiotique Limosilactobacillus reuteri DSM17938 chez des souris souffrant de sécheresse oculaire.
Résultat : après seulement 5 jours, les souris avaient une cornée en meilleure forme et plus de cellules productrices de mucine, essentielle pour la lubrification oculaire (1). Bonne nouvelle : on trouve cette bactérie dans le commerce sous la forme de probiotique (elle est aussi appelée « Lactobacillus Reuteri ! »).
1 « An oral probiotic can treat dry eye disease », American Society for Microbiology, juin 2023. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] eurekalert.org/news-releases/992615
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LucH
« La pratique, c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. »
Albert Einstein
« Dans la vie, il y a 2 catégories d'individus : ceux qui regardent le monde tel qu'il est et se demandent pourquoi; ceux qui imaginent le monde tel qu'il pourrait être et se disent : pourquoi pas ? »
G.B. Shaw.
Luc- Irrécupérable en chef
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Age : 70
Localisation : LIEGE
T° corporelle normale 36.6
T° corporelle normale 36.6
Pendant 150 ans, on a considéré que 37 °C était la température moyenne d’un corps humain en bonne santé. Mais ce chiffre n’est pas correct.
Source : National Geographic
Depuis au moins vingt ans, les chercheurs savent qu’en réalité, la température moyenne de notre corps est plus faible, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], et que toute température comprise [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] peut être considérée comme normale. Pourtant, 37 °C degrés demeure le chiffre de référence pour les parents inquiets et les médecins, et reste affiché partout, des thermomètres de pharmacie aux [url=https://www.mayoclinic.org/diseases-conditions/hypothermia/symptoms-causes/syc-20352682#:~:text=When your body temperature drops,or immersion in cold water.]sites internet[/url] des centres médicaux.
« Les médecins ne sont pas différents des autres », affirme Julie Parsonnet, médecin spécialiste des maladies infectieuses à l’université de Stanford. « Nous sommes élevés en pensant que ce chiffre est la valeur normale depuis que nous sommes petits. »
Chaque personne est différente, et de nombreux facteurs peuvent causer des variations dans la température corporelle, tels que l’âge, la morphologie, l’activité, le régime alimentaire, la maladie, l’heure de la journée et la méthode de mesure de la température. Celle-ci est généralement prise à l’intérieur de l’oreille, sous la langue, sous l’aisselle, par voie rectale ou sur le front; et il existe même une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Chacun de ces différents types de thermomètres affichent des températures moyennes légèrement différentes.
En étudiant les températures des personnes en bonne santé et les facteurs qui peuvent pousser le corps à atteindre des mesures dangereuses pour lui, les chercheurs peuvent mieux comprendre le fonctionnement du corps dans son ensemble. Pour fonctionner correctement, le corps humain doit rester dans une plage de température étroite d’environ 1,5 degré Celsius ; en dehors de cette plage, les neurones ralentissent et les muscles et organes fonctionnent moins efficacement. Même les protéines des cellules pourraient être affectées. Le corps fait donc de gros efforts pour rester à une température sûre, en transpirant lorsqu’il fait chaud ou en resserrant les vaisseaux sanguins lorsqu’il fait froid, par exemple.
« Tout cela se fait grâce à des signaux émis par l’hypothalamus [du cerveau] qui nous avertissent que notre sang n’est pas à la bonne température », explique Parsonnet.
La température corporelle peut également fluctuer en réaction à une maladie. Une fièvre survient lorsque le corps augmente sa température de quelques degrés au-dessus de la normale [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
La température corporelle étant mesurée si fréquemment, et constituant un outil important pour l’étude de la santé, les chercheurs estiment qu’il est grand temps de réévaluer la chaleur interne du corps humain.
NOTRE CORPS EST-IL EN TRAIN DE SE REFROIDIR ?
Selon Parsonnet, les fameux 37 °C n’ont peut-être pas toujours été une mesure incorrecte ; elle aurait simplement évolué. Nous nous refroidissons, suggère la spécialiste.
Alors qu’elle s’intéressait initialement aux raisons pour lesquelles le citoyen américain moyen est devenu plus lourd au fil du temps, Parsonnet a commencé à examiner les liens que la température corporelle pouvait avoir avec le métabolisme. « Je pense depuis des années à trouver une cohorte qui pourrait nous montrer quelle était la température [corporelle moyenne] il y a plusieurs décennies », dit-elle.
Elle a trouvé cette cohorte dans la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], une base de données sur la santé des vétérans de l’Armée de l’Union américaine, qui avaient combattu lors de la guerre de Sécession, que l’économiste Robert Fogel, lauréat du prix Nobel, a commencé à compiler en 1978. Le rapport contient des informations sur les professions, les maladies et les handicaps des vétérans, y compris les statistiques de température dont Parsonnet avait besoin.
En 2019, Parsonnet et ses collègues de Stanford ont combiné ces données avec [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], et avec des données plus récentes du [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. L’objectif était d’ainsi obtenir un ensemble de données complet comprenant [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] mesures thermométriques sur les 160 dernières années. Après avoir tout analysé, l’équipe a constaté que la température corporelle de l’Américain moyen avait diminué d’environ 0,5 °C (1 °F dans l’étude) depuis la révolution industrielle.
Cette évolution correspond à la théorie de Parsonnet selon laquelle le métabolisme humain pourrait ralentir avec le temps, mais aussi aux autres modifications qu’a connues le corps humain grâce à un meilleur accès à la nourriture et à des soins de santé, dans les pays industrialisés tout du moins.
Nous sommes « devenus plus grands, plus gros, plus froids et [nous vivons] plus longtemps », selon Parsonnet. « Ces quatre éléments vont ensemble, en quelque sorte. »
UN THERMOMÈTRE DÉFECTUEUX ?
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], professeur émérite à la faculté de médecine de l’Université du Maryland, a une autre théorie pour expliquer le décalage entre les 37 °C et les températures actuelles. Selon lui, le chiffre n’aurait jamais été correct.
La température standard des 37 °C remonte à [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] par le médecin allemand Carl Rinhold August Wunderlich. « Il était dans une clinique en Allemagne et, selon son livre […], il aurait accumulé un million de températures », raconte Mackowiak. « Quand il a fait la moyenne de ces températures, il est arrivé à 37 degrés centigrades. »
Un certain nombre de raisons pourrait, selon lui, expliquer pourquoi l’estimation initiale de la température moyenne pourrait être erronée. Par exemple, on ne sait pas exactement de quelle manière Wunderlich est arrivé à sa moyenne, mais l’ensemble des données était aussi tellement vaste que le médecin n’a probablement fait la moyenne que d’une petite partie de ses mesures.
« Les statistiques n’étaient pas d’usage courant à l’époque, et encore moins les ordinateurs », explique Mackowiak. « Donc il est impossible d’imaginer qu’il soit parvenu à traiter un million de points de données pour arriver aux résultats qu’il a obtenus. »
Les thermomètres de Wunderlich, qui mesuraient la température à partir de l’aisselle et devaient être lus sans bouger pendant 15 à 20 minutes, pourraient également être une source d’erreur. L’un de ces thermomètres à mercure d’origine est conservé au [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] de Philadelphie, et Mackowiak a pu emprunter l’instrument pour l’inspecter.
« Nous avons procédé à des études minutieuses afin de vérifier sa portée et [il] était calibré 1,5 degré [centigrade] de plus que les thermomètres modernes ou contemporains. »
Cette erreur de longue date pose problème à Mackowiak depuis des dizaines d’années. Dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dans le Journal of the American Medical Association, lui et ses collègues ont écrit : « Nous estimons que le concept selon lequel les 37°C ont une quelconque pertinence en termes de température normale du corps devrait être abandonné ».
Interrogé sur l’étude qui suggère que la température corporelle moyenne aux États-Unis est en diminution, Mackowiak répond ne pas être convaincu. Pour lui, l’ensemble de données utilisé dans l’article manquait de facteurs clés, tels que les types de thermomètres utilisés et le moment de la journée où les températures ont été enregistrées.
« Je n’ai aucun moyen d’en être certain, ni dans un sens ni dans l’autre », affirme Mackowiak. « Mais mon intuition est que non, elle n’a pas diminué au fil du temps. »
PRENDRE LA TEMPÉRATURE DES CHIMANES
Au départ, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], anthropologue à l’Université de Californie, à Santa Barbara, n’était pas non plus convaincu par la théorie de la baisse de la température signalée dans l’étude de Stanford. « On était sceptiques, on a donc réanalysé leurs données », confie-t-il.
Lorsque Gurven et son équipe ont effectué leurs propres calculs, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : la température corporelle se refroidirait bien. « Nous ne comprenons pas très bien pourquoi exactement, mais il semblerait qu’il y ait bien eu un déclin », affirme-t-il.
Le scientifique s’est intéressé à la recherche sur la température corporelle en raison de son propre travail avec le peuple des Chimanes (ou Tsimanes), des agriculteurs et des chasseurs de subsistance vivant en Bolivie, relativement isolés du monde extérieur.
« Certains villages sont à une heure de marche de la ville la plus proche. D’autres sont à plusieurs jours de route en pirogue. »
Après avoir lu l’article sur la baisse de la température corporelle aux États-Unis, Gurven était curieux d’examiner la température corporelle moyenne des Chimanes. Si l’évolution des modes de vie dans les pays industrialisés est à l’origine de la baisse de la température corporelle, alors les personnes vivant en dehors de ce système moderne devraient, en théorie, avoir une température plus élevée.
À sa grande surprise, Gurven et ses collègues ont constaté que la température corporelle des Chimanes avait également diminué au fil du temps. « Nous avons constaté un niveau de déclin similaire, mais sur un dixième de la période de temps », révèle-t-il.
Depuis que Gurven a commencé à travailler avec les Chimanes en 2002, il a constaté que leur température moyenne [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
Ces recherches permettent de fournir d’autres données indépendantes suggérant que les humains se refroidissent. Cependant, si cette observation est bien réelle, aucune raison évidente ne permet de l’expliquer. « Tout le monde a une idée différente », poursuit-il.
Certaines des causes possibles sont la climatisation, le régime alimentaire, les maladies chroniques, l’activité du système immunitaire, les maladies dentaires, les parasites, les habitudes de sommeil et les médicaments anti-inflammatoires.
Pour les Chimanes, certains de ces facteurs peuvent être exclus, tels que les fast-foods et les climatiseurs, mais de nombreuses petites choses ont changé pour ce peuple au cours des vingt dernières années, qui pourraient avoir contribué à ce changement. Ils ont par exemple un meilleur accès aux soins de santé, ce qui entraîne une diminution des taux de maladies pouvant affecter la température corporelle, mais aussi à davantage de biens de consommation comme les couvertures, qui pourraient les aider à rester à une température plus confortable tout au long de l’année.
Selon Gurven, tous ces changements pourraient contribuer à une diminution globale de la température moyenne.
LA TEMPÉRATURE N’EST QU’UNE INDICATION
Comment toutes ces recherches s’appliquent-elles à la santé de tous les jours ? Doit-on s’inquiéter si notre température est de 37 °C ?
« 37 °C est une température normale, mais ce n’est pas la température normale », explique Mackowiak. « Il n’y a pas une unique température normale. »
Si vous voulez absolument un chiffre, il peut être utile de connaître la température que Mackowiak qualifie de fièvre qui nécessitant une action, c’est-à-dire une température si élevée qu’un traitement médical est nécessaire, même si le patient ne présente aucun autre symptôme. Il précise que pour les hôpitaux, cette température est généralement égale ou supérieure à 38,3 °C.
Cependant, la température n’est pas toujours une mesure précise de la maladie. Même si la température corporelle se situe dans la fourchette normale, d’autres symptômes peuvent indiquer que quelque chose ne va pas.
La température corporelle « n’est qu’une des indications de la maladie », explique Parsonnet. « On l’aime bien parce que c’est un chiffre et que tout le monde aime les chiffres […] Mais le fait est que si vous vous sentez malade, alors vous êtes malade, et ce quelle que soit votre température. »
Pendant 150 ans, on a considéré que 37 °C était la température moyenne d’un corps humain en bonne santé. Mais ce chiffre n’est pas correct.
Source : National Geographic
Depuis au moins vingt ans, les chercheurs savent qu’en réalité, la température moyenne de notre corps est plus faible, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], et que toute température comprise [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] peut être considérée comme normale. Pourtant, 37 °C degrés demeure le chiffre de référence pour les parents inquiets et les médecins, et reste affiché partout, des thermomètres de pharmacie aux [url=https://www.mayoclinic.org/diseases-conditions/hypothermia/symptoms-causes/syc-20352682#:~:text=When your body temperature drops,or immersion in cold water.]sites internet[/url] des centres médicaux.
« Les médecins ne sont pas différents des autres », affirme Julie Parsonnet, médecin spécialiste des maladies infectieuses à l’université de Stanford. « Nous sommes élevés en pensant que ce chiffre est la valeur normale depuis que nous sommes petits. »
Chaque personne est différente, et de nombreux facteurs peuvent causer des variations dans la température corporelle, tels que l’âge, la morphologie, l’activité, le régime alimentaire, la maladie, l’heure de la journée et la méthode de mesure de la température. Celle-ci est généralement prise à l’intérieur de l’oreille, sous la langue, sous l’aisselle, par voie rectale ou sur le front; et il existe même une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Chacun de ces différents types de thermomètres affichent des températures moyennes légèrement différentes.
En étudiant les températures des personnes en bonne santé et les facteurs qui peuvent pousser le corps à atteindre des mesures dangereuses pour lui, les chercheurs peuvent mieux comprendre le fonctionnement du corps dans son ensemble. Pour fonctionner correctement, le corps humain doit rester dans une plage de température étroite d’environ 1,5 degré Celsius ; en dehors de cette plage, les neurones ralentissent et les muscles et organes fonctionnent moins efficacement. Même les protéines des cellules pourraient être affectées. Le corps fait donc de gros efforts pour rester à une température sûre, en transpirant lorsqu’il fait chaud ou en resserrant les vaisseaux sanguins lorsqu’il fait froid, par exemple.
« Tout cela se fait grâce à des signaux émis par l’hypothalamus [du cerveau] qui nous avertissent que notre sang n’est pas à la bonne température », explique Parsonnet.
La température corporelle peut également fluctuer en réaction à une maladie. Une fièvre survient lorsque le corps augmente sa température de quelques degrés au-dessus de la normale [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
La température corporelle étant mesurée si fréquemment, et constituant un outil important pour l’étude de la santé, les chercheurs estiment qu’il est grand temps de réévaluer la chaleur interne du corps humain.
NOTRE CORPS EST-IL EN TRAIN DE SE REFROIDIR ?
Selon Parsonnet, les fameux 37 °C n’ont peut-être pas toujours été une mesure incorrecte ; elle aurait simplement évolué. Nous nous refroidissons, suggère la spécialiste.
Alors qu’elle s’intéressait initialement aux raisons pour lesquelles le citoyen américain moyen est devenu plus lourd au fil du temps, Parsonnet a commencé à examiner les liens que la température corporelle pouvait avoir avec le métabolisme. « Je pense depuis des années à trouver une cohorte qui pourrait nous montrer quelle était la température [corporelle moyenne] il y a plusieurs décennies », dit-elle.
Elle a trouvé cette cohorte dans la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], une base de données sur la santé des vétérans de l’Armée de l’Union américaine, qui avaient combattu lors de la guerre de Sécession, que l’économiste Robert Fogel, lauréat du prix Nobel, a commencé à compiler en 1978. Le rapport contient des informations sur les professions, les maladies et les handicaps des vétérans, y compris les statistiques de température dont Parsonnet avait besoin.
En 2019, Parsonnet et ses collègues de Stanford ont combiné ces données avec [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], et avec des données plus récentes du [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. L’objectif était d’ainsi obtenir un ensemble de données complet comprenant [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] mesures thermométriques sur les 160 dernières années. Après avoir tout analysé, l’équipe a constaté que la température corporelle de l’Américain moyen avait diminué d’environ 0,5 °C (1 °F dans l’étude) depuis la révolution industrielle.
Cette évolution correspond à la théorie de Parsonnet selon laquelle le métabolisme humain pourrait ralentir avec le temps, mais aussi aux autres modifications qu’a connues le corps humain grâce à un meilleur accès à la nourriture et à des soins de santé, dans les pays industrialisés tout du moins.
Nous sommes « devenus plus grands, plus gros, plus froids et [nous vivons] plus longtemps », selon Parsonnet. « Ces quatre éléments vont ensemble, en quelque sorte. »
UN THERMOMÈTRE DÉFECTUEUX ?
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], professeur émérite à la faculté de médecine de l’Université du Maryland, a une autre théorie pour expliquer le décalage entre les 37 °C et les températures actuelles. Selon lui, le chiffre n’aurait jamais été correct.
La température standard des 37 °C remonte à [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] par le médecin allemand Carl Rinhold August Wunderlich. « Il était dans une clinique en Allemagne et, selon son livre […], il aurait accumulé un million de températures », raconte Mackowiak. « Quand il a fait la moyenne de ces températures, il est arrivé à 37 degrés centigrades. »
Un certain nombre de raisons pourrait, selon lui, expliquer pourquoi l’estimation initiale de la température moyenne pourrait être erronée. Par exemple, on ne sait pas exactement de quelle manière Wunderlich est arrivé à sa moyenne, mais l’ensemble des données était aussi tellement vaste que le médecin n’a probablement fait la moyenne que d’une petite partie de ses mesures.
« Les statistiques n’étaient pas d’usage courant à l’époque, et encore moins les ordinateurs », explique Mackowiak. « Donc il est impossible d’imaginer qu’il soit parvenu à traiter un million de points de données pour arriver aux résultats qu’il a obtenus. »
Les thermomètres de Wunderlich, qui mesuraient la température à partir de l’aisselle et devaient être lus sans bouger pendant 15 à 20 minutes, pourraient également être une source d’erreur. L’un de ces thermomètres à mercure d’origine est conservé au [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] de Philadelphie, et Mackowiak a pu emprunter l’instrument pour l’inspecter.
« Nous avons procédé à des études minutieuses afin de vérifier sa portée et [il] était calibré 1,5 degré [centigrade] de plus que les thermomètres modernes ou contemporains. »
Cette erreur de longue date pose problème à Mackowiak depuis des dizaines d’années. Dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dans le Journal of the American Medical Association, lui et ses collègues ont écrit : « Nous estimons que le concept selon lequel les 37°C ont une quelconque pertinence en termes de température normale du corps devrait être abandonné ».
Interrogé sur l’étude qui suggère que la température corporelle moyenne aux États-Unis est en diminution, Mackowiak répond ne pas être convaincu. Pour lui, l’ensemble de données utilisé dans l’article manquait de facteurs clés, tels que les types de thermomètres utilisés et le moment de la journée où les températures ont été enregistrées.
« Je n’ai aucun moyen d’en être certain, ni dans un sens ni dans l’autre », affirme Mackowiak. « Mais mon intuition est que non, elle n’a pas diminué au fil du temps. »
PRENDRE LA TEMPÉRATURE DES CHIMANES
Au départ, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], anthropologue à l’Université de Californie, à Santa Barbara, n’était pas non plus convaincu par la théorie de la baisse de la température signalée dans l’étude de Stanford. « On était sceptiques, on a donc réanalysé leurs données », confie-t-il.
Lorsque Gurven et son équipe ont effectué leurs propres calculs, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : la température corporelle se refroidirait bien. « Nous ne comprenons pas très bien pourquoi exactement, mais il semblerait qu’il y ait bien eu un déclin », affirme-t-il.
Le scientifique s’est intéressé à la recherche sur la température corporelle en raison de son propre travail avec le peuple des Chimanes (ou Tsimanes), des agriculteurs et des chasseurs de subsistance vivant en Bolivie, relativement isolés du monde extérieur.
« Certains villages sont à une heure de marche de la ville la plus proche. D’autres sont à plusieurs jours de route en pirogue. »
Après avoir lu l’article sur la baisse de la température corporelle aux États-Unis, Gurven était curieux d’examiner la température corporelle moyenne des Chimanes. Si l’évolution des modes de vie dans les pays industrialisés est à l’origine de la baisse de la température corporelle, alors les personnes vivant en dehors de ce système moderne devraient, en théorie, avoir une température plus élevée.
À sa grande surprise, Gurven et ses collègues ont constaté que la température corporelle des Chimanes avait également diminué au fil du temps. « Nous avons constaté un niveau de déclin similaire, mais sur un dixième de la période de temps », révèle-t-il.
Depuis que Gurven a commencé à travailler avec les Chimanes en 2002, il a constaté que leur température moyenne [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
Ces recherches permettent de fournir d’autres données indépendantes suggérant que les humains se refroidissent. Cependant, si cette observation est bien réelle, aucune raison évidente ne permet de l’expliquer. « Tout le monde a une idée différente », poursuit-il.
Certaines des causes possibles sont la climatisation, le régime alimentaire, les maladies chroniques, l’activité du système immunitaire, les maladies dentaires, les parasites, les habitudes de sommeil et les médicaments anti-inflammatoires.
Pour les Chimanes, certains de ces facteurs peuvent être exclus, tels que les fast-foods et les climatiseurs, mais de nombreuses petites choses ont changé pour ce peuple au cours des vingt dernières années, qui pourraient avoir contribué à ce changement. Ils ont par exemple un meilleur accès aux soins de santé, ce qui entraîne une diminution des taux de maladies pouvant affecter la température corporelle, mais aussi à davantage de biens de consommation comme les couvertures, qui pourraient les aider à rester à une température plus confortable tout au long de l’année.
Selon Gurven, tous ces changements pourraient contribuer à une diminution globale de la température moyenne.
LA TEMPÉRATURE N’EST QU’UNE INDICATION
Comment toutes ces recherches s’appliquent-elles à la santé de tous les jours ? Doit-on s’inquiéter si notre température est de 37 °C ?
« 37 °C est une température normale, mais ce n’est pas la température normale », explique Mackowiak. « Il n’y a pas une unique température normale. »
Si vous voulez absolument un chiffre, il peut être utile de connaître la température que Mackowiak qualifie de fièvre qui nécessitant une action, c’est-à-dire une température si élevée qu’un traitement médical est nécessaire, même si le patient ne présente aucun autre symptôme. Il précise que pour les hôpitaux, cette température est généralement égale ou supérieure à 38,3 °C.
Cependant, la température n’est pas toujours une mesure précise de la maladie. Même si la température corporelle se situe dans la fourchette normale, d’autres symptômes peuvent indiquer que quelque chose ne va pas.
La température corporelle « n’est qu’une des indications de la maladie », explique Parsonnet. « On l’aime bien parce que c’est un chiffre et que tout le monde aime les chiffres […] Mais le fait est que si vous vous sentez malade, alors vous êtes malade, et ce quelle que soit votre température. »
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LucH
« La pratique, c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. »
Albert Einstein
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Le jus de citron facilite l'assimilation des catéchines du thé
Pq du jus de citron dans le Thé ?
Selon les chercheurs, environ 80 % des catéchines seraient détruites dans le système digestif avant de pouvoir passer dans le sang, là où elles pourraient jouer leur rôle protecteur. (1)Les chercheurs ont reproduit, en laboratoire, les conditions auxquelles est soumise une infusion de feuilles de thé vert durant la digestion. Ajoutés au thé vert, les jus de citron, d'orange, de lime et de pamplemousse et même le lait de vache, de soya ou de riz ont permis d'accroître le nombre de molécules antioxydantes dans le sang.
Les jus d'agrumes ont été les plus efficaces à cet égard, plus particulièrement le jus de citron qui a permis de préserver plus de 80 % des catéchines que renferme la boisson. Le thé vert contenant 50 % de lait de vache aurait préservé 52 % des catéchines. Cette proportion était de 55 % avec le lait de soya et de 69 % avec le lait de riz.
NDLR : Ce n’est pas une bonne idée d’ajouter du lait dans le café ou le thé car cela forme des micelles, ce qui rend l’assimilation des autres aliments plus compliquée (barrière).
Il faudrait maintenant pousser les recherches afin de savoir si cet effet protecteur des antioxydants se traduit réellement par une meilleure absorption des catéchines par un organisme humain, soulignent les auteurs de l'étude.(1) « Le processus de la digestion dans le corps humain est beaucoup plus complexe que ce que l'on a pu reproduire in vitro dans nos laboratoires », fait remarquer l'un des chercheurs.
Thé et citron, une synergie bénéfique pour la santé
Source de l’article: Au Paradis du thé.
Une étude de 2007 montre que l’adjonction de jus de citron au thé multiplierait par plus de cinq la quantité d’antioxydants absorbables par l’organisme. Selon l’étude (1), le jus de citron interagiraient avec les catéchines du thé pour empêcher leur dégradation dans l’intestin.
Les chercheurs ont d’abord constaté que les catéchines du thé n’ont pas toutes la même stabilité une fois ingérée par dans le système digestif humain. Les conditions de cette stabilité – c’est à dire l’aptitude de ces molécules à conserver leurs propriétés – ne sont pas encore bien connues.
L’objectif de l’étude était donc de caractériser les effets de différents additifs alimentaires naturels sur la digestion des catéchines du thé. Pour le savoir des essais ont été effectués in-vitro en simulant le phénomène de la digestion gastrique. Les catéchines ont ensuite été comparées avant la digestion puis après pour savoir si elles conservaient ou non leurs propriétés antioxydantes.
Globalement, on sait que les catéchines du thé sont très peu stable. Il en reste environ 20% suite à la digestion.
Les chercheurs ont constatés qu’en ajoutant du jus de citron, les catéchines du thé conservent leur plus haut degré de stabilité. Parmi les catéchines étudiées, l’EGC ressortait à un niveau de 81 à 98%, l’EGCG entre 56% et 76% et l’ECG entre 30 et 55%
Les catéchines du thé, comme par exemple l’epigallocatéchine (EGC), sont largement étudiées par la communauté scientifique mondiale pour leur capacité à réduire les risques de maladies chroniques.
L’étude montre qu’il existerait une synergie entre le thé et le jus de citron. Celui-ci permet aux catéchines du thé d’être digérées sous une forme plus complète. Cela suggèrerait donc que leur effet sur la santé serait ainsi maximisé.
Le thé de façon générale offre de nombreux bienfaits. Nous mettons à jour un article de blog avec les dernières découvertes scientifiques sur le sujet que vous pouvez consulter ici. 1. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
D'après Purdue University News et CBC News.
Green RJ, Murphy AS, Schulz B, et al. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Mol Nutr Food Res. 2007 Sep;51(9):1152-62.
Mario Ferruzzi, assistant professor of food science at Purdue University in Indiana.
X
Digestive stability and absorption of green tea polyphenols: Influence of acid and xylitol addition
Soon-Mi Shim et al. – [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Food Research International 2012.
Green tea formulated with xylitol in combination with vitamin C effectively enhanced the absorption of non-gallated catechins such as EGC and EC. ► However, the addition of only vitamin C extraordinarily increased absorption of gallated tea catechins including EGCG and ECG.
Extract:
Green tea extracts only showed a poor digestive recovery (5.3%) of total catechins and EGC and EGCG significantly decreased with the digestive recovery of 4.6% and 6.1%, respectively. However, measured amount of EGC, EGCG, or ECG in digestive fluids and caco-2 human intestinal cell significantly increased by adding citric acid or vitamin C. There was remarkable increase of digestive recovery of total catechins in green tea with xylitol/citric acid and xylitol/vitamin C by 1.7–2.5 times and 3 times, respectively, with different amounts of xylitol. It was also determined that intestinal uptake of total catechins significantly increased 6 and 11 times in green tea with xylitol/citric acid and xylitol/vitamin C, respectively, compared to green tea only.
=> Ajouté de l’acide ascorbique et du xylitol modifie le Ph de la boisson et la rend plus stable. L’assimilation des catéchines est augmentée 6 à 11x dans le thé vert.
Tea polyphenols are pH-sensitive
Stability of tea polyphenols solution with different pH at different temperatures
The lower the pH, the more stable the tea polyphenols during storage.
The results showed that tea polyphenols with a pH of 3–6 remained stable at 4 and 25°C.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] 2016
=> Test de stabilité des boissons. Les boissons sont mieux conservées (ice tea) à une T° comprise entre 4 et 25° C, si le Ph se situe entre 3 – 6 (acide donc).
NB : Le fait d’ajouter qques gouttes de jus de citron ou du lait dans le thé sature les molécules de polyphénols et cela diminue fortement le pouvoir de chélation sur le fer non-héminique (fruits et légumes). Les polyphénols n’ont pas d’impact sur le fer héminique (viande).
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