Coronavirus - actualités

Coronavirus en Chine 
Source: AFP. 13/03/2022
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Coronavirus en Chine : des millions de personnes confinées face à une flambée de cas record en deux ans.
Des millions de personnes étaient confinées dimanche à travers la Chine, le pays ayant enregistré son taux le plus élevé en deux ans de cas quotidiens de coronavirus, tandis que l’angoisse de la population face à la persistance de la politique zéro-covid du gouvernement se fait de plus en plus ressentir. 
En raison d’un pic de cas à travers le pays, les autorités ont fermé les écoles de Shanghai, confiné les quartiers centraux du centre technologique du sud Shenzhen, ainsi que des villes entières du nord-est, tandis que presque dix-neuf provinces luttent contre des foyers locaux dus aux variants Delta et Omicron. 
... 
Zéro Covid
La grande ville de Jilin, dans le Nord-Est, a été partiellement confinée, avec des centaines de quartiers mis sous cloche, a annoncé dimanche un responsable. Yanji, ville de 700.000 habitants à la frontière nord-coréenne, a été entièrement confinée. 
À Shenzhen, ville d’environ 13 millions d’habitants limitrophe de Hong Kong, les résidents ont exprimé un sentiment d’angoisse face à la flambée des cas et à la réponse draconienne des autorités sanitaires, qui ont mis sous cloche le district de Futian (300.000 habitants).

"C’est le pire depuis 2020", a confié à l’AFP un habitant de Shenzhen répondant au nom de Zhang. "Les fermetures sont trop soudaines, mon amie s’est réveillée le matin en découvrant que son immeuble avait été scellé pendant la nuit sans avertissement. Son patron a dû lui envoyer son ordinateur portable par courrier."

Essayer de tenir le concept zero covid face à Omikron est une utopie contre productive...

Gaffal a écrit:Essayer de tenir le concept zero covid face à Omikron est une utopie contre productive...

Bien vu ...  
Il y a un regain de contagion, léger mais indicatif.
Selon l’organisme de Santé publique français, le pays connaît un "rebond" des contaminations depuis une semaine.   En Belgique également, après le congé de carnaval / printemps. Le port du masque n'est plus obligatoire depuis 8 jours ...
Source : RTBF.

Le confinement est une méthode qui profite potentiellement à l'[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : le jour ou un variant plus virulent que les autres apparait... bim !
Confiner les gens est finalement contre-productif, sauf dans le cas ou on a à faire à un virus mortel et instoppable (ébola, etc...), sauf que le but n'est pas tant de vacciner les gens, ce qui ne sert quasiment à rien et dispense l'autorité de santé de remettre en question nos modes de vie alimentaires (donc remise en question de la chaine agro et alim --> Carrefour et Cie = re-CAC40...), donc ça ne se fera pas.
D'autant que les gens sont habitués à être assistés et ne supporteront pas de devoir incrémenter leurs repas avec des règles parsemées de contraintes = ils préfèrent des pilules et hop à pu problème ! Les populations ont bien été éduquées de longue date ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien])

On en revient toujours aux mêmes principes = renforcer naturellement ou/et par supplémentation les défenses de la population et mettre en place un plan spécifique de détection du covid pour la traiter dans les plus brefs délais (méthode Raoult), afin de couper l'herbe sous le pieds des cas mortels (thrombotiques et autres). En thermes clairs, laisser les gens se faire contaminer. J'ai lu quelques articles récemment expliquant que les vaccins en vigueur ne sont pas l'égal pour le moins d'une défense immunitaire naturelle (A voir...).

Seulement ça ne se fera pas car la situation politique Française est favorable au macronisme dont la cellule de soutien 24/24 tire profit de tout ce qui bouge pour le faire ré-élire, y compris la crise Ukrainienne, le reste sera fait par la population qui ne votera pas extrême droite : donc de fortes probabilités d'un second mandat qui sera le copié coller en couleur de ce qu'on a vécu. Je peux me tromper mais...

En prime (et ça l'arrange bien manu, ça tombe bien car ce qu'il n'a pu faire à cause des gilets jaunes va passer lettre à la poste et en couleur en plus...), les prix du carburant qui vont rendre peu à peu d'un coté l'offre des voitures à technologie basée sur les carbus fossiles rédhibitoire et de l'autre coté, promouvoir l'électrique (lithium) et par conséquent, faire remonter un temps les bénéfices de l'industrie auto (CAC40 = merci manu, t'es un pote !)

Et nous on va tirer la gueule de subir encore la connerie de nos élus jusqu'à perpette par ce que nous sommes trop cons depuis 1981 pour comprendre qu'on s'est fait avoir comme des lapins de 3 semaines
On est décidément dans une société de dupes qui me fait un peu penser à la matrice de Matrix. Les gens deviennent abrutis et ne savent plus réfléchir.
On nous dit quoi penser, quoi faire, quoi acheter et quand en nous "lâchant [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]..."

Oui , sauf qu' un virus très mortel limite son expansion en tuant trop tôt son hote ...

tout à fait , l' immunité naturelle est superieure de plusieurs ordres à celle des VX
  faudrait verifier si les gens qu' on eu Oµ sont touchés par le variant qui déboule en ce moment .

je crains en effet que peu de français aient évalué le vrai bilan des 5 ( 10)  dernieres années
  la note est salée du coté gouffre de la dette , tsunami du prix de l' energie et perte activités stratégiques ... 

En effet , c' est la fête chez les spéculateurs !

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]... de la biere et du rêve ...

 Idiocratie ..

Contamination en hausse  
Source RTBF
La hausse des contaminations au Covid-19 en Belgique se confirme et s'accélère même un peu: elles ont progressé de 30% en une semaine.

Les admissions augmentent aussi, mais à un rythme plus modéré, tandis que le nombre de patients Covid en soins intensifs continue lui de diminuer.

C'est en Flandre que les hausses sont les plus importantes, surtout en ce qui concerne les admissions: à Bruxelles et en Wallonie, le nombre de nouvelles hospitalisations continue de diminuer.
C'est en Flandre que les hausses sont les plus importantes, surtout en ce qui concerne les admissions: à Bruxelles et en Wallonie, le nombre de nouvelles hospitalisations continue de diminuer. 

En ce qui concerne les contaminations, les hausses sont partout, sauf à Liège et Namur, et dans toutes les tranches d'âge... hormis une seule: les 20-29 ans, qui avaient été les plus précocement et plus fortement touchés par la vague Omicron. On peut penser que l'immunité acquise par ces infections joue un rôle.  
... 
ndlr: 180 cas en soins intensifs. Juste sous le seuil (200) du changement de mode de fonctionnement Code orange). 
R1 de 1.08

Levée des restrictions trop tôt !  
Source RTBF (OMS)
Plusieurs pays européens, dont l'Allemagne, la France, l'Italie et le Royaume-Uni, ont levé trop "brutalement" leurs mesures anti-Covid et se retrouvent confrontés à une nette remontée des cas sous l'effet du sous-variant BA2, a déploré mardi l'Organisation mondiale de la santé.

Lors d'une conférence de presse délocalisée en Moldavie, le directeur de l'OMS en Europe, Hans Kluge, s'est dit "vigilant" sur la situation épidémique actuelle sur le continent, tout en affirmant rester "optimiste".

Actuellement, le nombre de cas de Covid est à la hausse dans 18 des 53 pays de la zone de l'OMS Europe, selon l'organisation sanitaire.

"Les pays où nous observons une hausse particulière sont le Royaume-Uni, l'Irlande, la Grèce, Chypre, la France l'Italie et l'Allemagne", a souligné M. Kluge.

"Ces pays ont levé les restrictions brutalement de 'trop' à 'pas assez'", a estimé le responsable onusien.

Selon les données de l'OMS, le nombre de nouveaux cas en Europe avait nettement chuté après un pic fin janvier, mais il rebondit depuis début mars.  

Au cours des sept derniers jours, plus de 5,1 millions de nouveaux cas et 12.496 décès ont été enregistrés dans la zone OMS Europe, portant le total de cas détectés depuis le début de la pandémie à près de 194,4 millions et le nombre de décès à plus de 1,92 million.

il serait légitime de se demander si les restrictions en vigueur en decembre et janvier
 on eues le moindre effet sur la vague Omikron ...
donc avec le variant peut t' on compter sur ces mesures
 bon peut etre contre la grippe !!!

Oui contre la grippe, selon l'observatoire.  
Et oui probable contre Omicron car les chiffres étaient bons jusqu'au carnaval. Prophylaxie (masque et distance) + hiver (si endroit non confiné). Mais c'est empirique (déduction).

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:

Covid-19 : pourquoi la maladie comporte des risques pour la santé à long terme, même après des formes légères

De vastes études illustrent l'éventail de séquelles potentielles d'une infection. Si elles doivent être affinées, elles rappellent que la circulation du virus n'est pas sans conséquence sur la santé globale.

"Vivre avec le virus." Quand il est apparu, ce slogan décrivait un futur lointain. Il résume désormais l'attitude adoptée dans la plupart des pays d'Europe, dont la France, où les restrictions sanitaires ont quasiment disparu. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], un total jamais atteint avant la fin de 2021, mais le sujet a disparu du débat public. Pourtant, le virus n'a pas cessé d'être dangereux. Il tue toujours 101 personnes par jour en moyenne, pour la plupart vulnérables ou non vaccinées. Une série d'études récentes a en outre levé le voile sur ses effets à long terme : après une infection, le risque d'autres pathologies augmente, même pour ceux qui ne présentent pas de facteur de risque, ne développent pas de forme grave et ne sont pas touchés [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].

En avril 2021, une première étude de trois chercheurs de l'Université de Saint-Louis (Etats-Unis), [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]*, identifiait une myriade de problèmes de santé qui touchaient plus fréquemment les personnes ayant eu le Covid-19. Grâce à une vaste base de données de santé de vétérans de l'armée américaine, les auteurs avaient comparé près de 5 millions de non-malades et 77 000 personnes testées positives, à partir du trentième jour après leur infection. Cinq mois plus tard, elles présentaient davantage de troubles respiratoires et souffraient aussi plus de "troubles du système nerveux et neurocognitif, de la santé mentale, du métabolisme, cardiovasculaires, gastro-intestinaux, malaises, fatigue, douleurs musculosquelettiques et anémie" que les personnes au profil similaire n'ayant jamais été testées positives. Même les malades non hospitalisés présentaient ce risque de séquelles.

Un risque accru de troubles cardiaques

Depuis, cette base de données a servi à plusieurs études de la même équipe, dont une portant sur les risques cardiovasculaires, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]*. "Elle montre un risque multiplié par 1,5 ou 2 sur tous les événements", pas seulement les inflammations cardiaques bien connues chez les malades du Covid-19, observe Ariel Cohen, ancien président de la Société française de cardiologie. Chez les personnes testées positives (plus de 150 000 ont été observées), le risque d'AVC est ainsi multiplié par 1,52 dans l'année suivant l'infection, le risque d'embolie pulmonaire par 2,93, celui de syndrome coronarien aigu par 1,72.
"Au début de la pandémie, on pensait que le Covid-19 était simplement une source de décompensation des risques existants", se souvient Ariel Cohen. C'est-à-dire que des personnes prédisposées à ces problèmes les déclaraient à l'occasion d'une infection par le Sars-CoV-2. Les résultats de ces chercheurs américains sont "une surprise", reconnaît-il.
Si la façon dont le virus entraîne de telles séquelles n'est pas tout à fait claire, l'observation des malades a déjà montré "que le virus attaque la paroi des vaisseaux sanguins", ce qui favorise notamment l'apparition de caillots, explique Olivier Robineau, infectiologue à l'hôpital de Tourcoing (Nord)
(...)

Grosso-modo, le virus attaque la paroi des vaisseaux sanguins, mais on ne parle pas dans cet article de l'inflammation provoquée par le système immunitaire qui s'emballe et se trouve rapidement hors de contrôle = comprendre que le système immunitaire est en mode attaque, l'inflammation sert quant à elle de médiation entre l'agression (coupure, brûlure, blessure, gerçure, affection microbienne ou chimique, peu importe) et le basculement en mode réparation. En cas de poussée importante et proportionnelle d'inflammation, liée notamment au fait que le virus se clone exponentiellement, le système immunitaire ne se repolarise pas tout de suite (attaque --> réparation = baisse de l'histamine et de l'activation mastocytaire ainsi que de l'inflammation qui, au contraire, continue d'augmenter)

Il en résulte une agression forte des parois des vaisseaux sanguins occasionnant une production de fibrine et/ou le plâtrage d'acides gras saturés (acides laurique, myristique et palmitique = matières grasse animales) = épaississement des artères par promotion des plaques d’athéromes. L'inflammation véhiculée par l'irrigation sanguine se propage aux organes les plus fragiles ou les échanges veineux sont importants : poumons, coeur, cerveau, etc... Les dégâts inflammatoires suivent...
S'ajoute à ça des problèmes d'agrégation plaquettaire = risque de caillots, donc problèmes latents au niveau pulmonaire et cardio-vasculaire.
D'ou l'importance d'avoir 24h|24 :

• Une bonne activité enzymatique + cofacteurs --> voir ici [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  
• Des taux sériques adaptés en vitamine D et C = expression des gènes de l'immunité
  
• Mollo sur les facteurs endogènes|exogènes d'inflammation : bichonner son microbiote en privilégiant une nourriture contenant suffisamment de légumes variés = fibres végétales spécifiques qui nourrissent les espèces stabilisantes du microbiote au contraire des amidons (légumineuses et céréales), qui nourrissent également les espèces opportunistes produisant..; de l'histamine et de l'inflammation = alias [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] + attention aux sucres, au calcium issu notamment des produits laitiers, à l'équilibre acido-basique, au ration omégas 3 et 6, etc...
  
• Un cholestérol sous contrôle : le docteur dira "attention au sel et à la charcuterie" et cela n'est pas tout à fait exact, qui dit trop de sel dit rétention d'eau intra-cellulaire, donc besoin de potassium pour rétablir l'équilibre (légumes) et... d'eau ce qui fera pisser tout en excrétant le trop plein de sodium. L'idéal étant effectivement de ne pas trop pousser sur le sel afin de ne pas déséquilibrer [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Utiliser de l'huile d'olive crue, bio, vierge (etc...) apporte de la vitamine E et des omégas 9 ce qui va promouvoir le bon cholestérol (HDL) tout en complémentant les besoins en anti-oxydants de l'organisme (la vitamine C est protégée par la E), le tout en fluidifiant le sang (agrégation plaquettaire). Le cholestérol joue également un rôle dans l'accompagnement de l'endotoxémie [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
  

Liens utiles :

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Mais alors, une fois "guéri" du COVID, pourquoi je ne récupère pas (capacité pulmonaire affaiblie, etc...) : le corps a besoin dans ce cas d'un coup de pouce dans la durée et c'est là qu'une nourriture hypo-toxique et anti-inflammatoire prend tout son sens, ainsi qu'une assistance adaptée en enzymothérapie + cofacteurs (coenzyme q10 = ubiquinol)
Les derniers variants Omicron et sont cousin montrent qu'il est possible de chopper les deux à même pas 15 jours d'intervale (même vacciné !), avec pour certaines personnes dites "à capital de défense faible" = expression génétique en berne (manque de micro-nutriments notamment pour 'limmunité (D et C), alimentation ultra-transformée et inflammatoire, trop de sucres, de calcium laitier, pas assez d'exercice, curcharge pondérale (= plus d'inflammation), etc... Il est assez facile d'affaiblir son corps à bas bruit depuis son enfance et un beau jour, le COVID frappe alors que le voisin ayant eu le même variant s'en est très bien sorti = posez-vous les bonnes questions = est-ce que j'apporte à mon corps ce qu'il faut et est-ce que je limite ce qu'il ne faut pas = mesures hygiéno-diététiques

Omicron est de retour
Près de 80% de nouveaux cas de Covid en plus en une semaine
Source : L’Echo 17/06/22
Forte hausse des nouveaux cas, augmentation des hospitalisations, RT repassé au-dessus de 1... Plusieurs indicateurs montrent que les nouveaux variants d'Omicron ont relancé l'épidémie de covid.
L'épidémie de covid a bel et bien repris de la vigueur. Selon les derniers chiffres de Sciensano, communiqués ce vendredi, le nombre de nouveaux cas rapportés a augmenté de 79% par rapport à la période précédente de sept jours. Le taux de reproduction (Rt), basé sur le nombre de cas diagnostiqués, a également nettement augmenté; il est repassé au-dessus de 1 pour atteindre 1,398.
Les hospitalisations, qui avaient repris leur hausse la semaine passée, continuent sur leur lancée: les nouvelles admissions grimpent de 20%. Du 10 au 16 juin, 464 patients ont été hospitalisés en raison d'un Covid-19 et 418 personnes ont été hospitalisées pour une autre raison, mais ont été testées positives à cette maladie.

"La charge sur les soins de santé est actuellement limitée et nous ne nous attendons pas à une évolution majeure dans les semaines à venir."
Yves VAN LAETHEM – Infectiologue.

On reste loin des pics précédents
Le nombre de lits occupés en soins intensifs pour cette même période a diminué (-34%). Le 16 juin 2022, 898 lits, dont 47 lits en unité de soins intensifs, étaient occupés par des patients covid confirmés en laboratoire. À titre de comparaison, en novembre 2020, les hôpitaux soignaient pas loin de 1.500 personnes en soins intensifs, et il y avait plus de 7.000 personnes hospitalisées pour un covid...
On décèle désormais une augmentation du nombre de nouveaux cas parmi les résidents de maisons de repos et soins et parmi les membres du personnel, ainsi que du nombre de nouvelles hospitalisations parmi les résidents et du nombre de clusters. "Cependant, les chiffres restent faibles", assure Sciensano.

37% des infections
Le variant Omicron BA.5 est à la source de 37,4% des infections.
À cause du BA.5
"L'augmentation du nombre d'infections se poursuit, principalement causée par le nouveau variant BA.5 et, dans une moindre mesure, BA.4", commente l'infectiologue Yves Van Laethem, dans le point hebdomadaire consacré à l'évolution de l'épidémie de Covid-19. "La charge sur les soins de santé est actuellement limitée et nous ne nous attendons pas à une évolution majeure dans les semaines à venir."
Les nouveaux variants d'Omicron gagnent, en effet, du terrain. Omicron BA.2 représente presque 48% des infections, BA.2.12.1 en est à 7,3 % et BA.4 à 6,9 %. Mais le variant Omicron BA.5 est désormais responsable de 37,4% des infections.

Sweet Caroline
Lyrics: Parody from Neil Diamond
Intro: Hi everybody, this is ND; and I know we’re going through a rough time right now. But I love ya, and I think maybe if we sing together, well, we’d just feel a little bit better. Give a try, OK?
…

Intro : Salut tout le monde, c'est ND ; et je sais que nous traversons une période difficile en ce moment. Mais j’aimerais, oui, je pense que si nous chantions ensemble, eh bien, nous nous sentirions un peu mieux. On fait un essai, d’accord ?
...

Where it began, I can't begin to knowing
But then I know it's growing strong
Was in the spring
And spring became the summer
Who'd have believed you'd come along

Hands, touching hands
Reaching out, touching me, touching you

Sweet Caroline

Good times never seemed so good
I've been inclined
To believe they never would
But now 

I look at the night and it don't seem so lonely
We filled it up with only two
And when I hurt
Hurting runs off my shoulders
How can I hurt when holding you

One, touching one
Reaching out, touching me, touching you

Sweet Caroline
Good times never seemed so good
I've been inclined
To believe they never would
Oh no, no

Sweet Caroline
Good times never seemed so good
Sweet Caroline
I believe they never could
Sweet Caroline
Good times never seemed so good
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]  (parodie)

Commentaire : L’original est évidemment nettement mieux orchestré mais il paraît qu’il souffre maintenant  de la maladie de Parkinson (81 ans).
“Neil Diamond is doing his part to promote steps to prevent the spread of the coronavirus – and he found a creative way to do it. Diamond changed the lyrics to his iconic hit "Sweet Caroline" for a musical PSA about the virus.” CBS News.
Paroles originales ci-dessous (nettement mieux balancées).  
 

Six vitamines et quatre minéraux influencent notre immunité 
Dans l’optique de favoriser l’immunité naturelle, notre organisme a besoin d’être correctement approvisionné en nutriments essentiels, vitamines et minéraux en tête. L’EFSA – l’Autorité européenne de sécurité des aliments - considère que six vitamines (A, C, D, B6, B9 et B12) et quatre minéraux (zinc, fer, cuivre, sélénium) sont essentiels à une bonne santé immunitaire.
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Commentaire: 
1) Attention aux excès de cuivre. Dosage AJR pour faciliter la production d’enzyme SOD : 1 à 1.5 mg par jour. Proportionné par rapport au zinc : +/ 1/10^ème. Si supplémentation importante de Zinc (> 10 à 15 mg), dissociez la prise (même transporteur).
2) Il faudrait aussi ajouter l'iode (thyroïde). commencez en douceur: 150 mcg.
Visez 300 mcg, avec l'alimentation. Attention aux algues (excès). modulez par période de 10 à 15 jours.

Zéro Covid en Chine:
"La peur du virus a fait de nous des esclaves"
Source : L’Echo 23/08/22
Troisième été sous le signe du Covid en Chine, où des centaines de milliers de touristes sont bloqués sur l'île tropicale de Hainan et des millions d'autres confinés dans plusieurs villes du pays. La colère monte au sein d'une population excédée, mais le gouvernement n'est pas prêt à renoncer à sa stratégie zéro Covid.
Pour la famille Chang, ce sont les premières vacances depuis deux ans. Après trois mois de confinement éprouvants à Shanghai, ils ont pris cet été la direction de l'île de Hainan, surnommée le Hawaï chinois.
Une île grande comme la Belgique et baignée dans les eaux tropicales de la mer de Chine, au large du Vietnam. "Les trois mois que nous avons dû passer confinés chez nous à Shanghai ont été tellement éprouvants que nous sommes partis dès que possible", explique la mère de famille.
Mais les vacances tant attendues ont vite tourné au cauchemar quand, début août, les premiers cas de Covid ont été détectés sur l'île. "Jusque-là, tout allait bien. On pouvait enfin sortir sans masque, profiter de la mer et du soleil, et puis en quelques jours, quelques heures même, tout a basculé et depuis, nous sommes confinés dans notre hôtel."
À quatre dans une petite chambre, ils ne sortent qu'une fois par jour pour se plier aux tests PCR obligatoires organisés dans la rue, en pleine chaleur. "C'est un cauchemar, nous devons payer notre chambre et nous sommes privés de vacances. Nous ne pouvons pas rentrer chez nous à Shanghai, et mes enfants vont sans doute manquer la rentrée des classes, eux qui n'ont pas vu leur professeur autrement qu'en vidéo depuis le mois de mars."
Comme eux, plusieurs centaines de milliers de touristes sont bloqués à Hainan, prisonniers sur leur lieu de vacances. Les départs se font au compte-goutte et nécessitent une nouvelle quarantaine en arrivant sur le continent.
"Gestion statique"
Tests, confinements, restrictions de déplacements et QR codes de traçage toujours plus précis et intrusifs: voilà le quotidien d'1,4 milliard de Chinois depuis deux ans et demi. Mais cette fois, la coupe est pleine.
Sur les réseaux sociaux, on voit fleurir des manifestations spontanées organisées devant les hôtels où des touristes en colère demandent à partir, eux qui ne sont ni malades ni cas contacts. "Quinze jours que je suis enfermé, quinze jours que je suis testé quotidiennement, alors pourquoi dois-je attendre ici?, s'interroge un internaute. Nous voulons juste rentrer chez nous!"
Des scènes qui se répètent un peu partout en Chine, où des villes entières sont confinées pour une poignée de malades dans le cadre de la ligne officielle du zéro Covid et de "la gestion statique", euphémisme pour ne pas parler de confinement.
Des hauts plateaux tibétains aux cités balnéaires du sud, en passant par la ville de Yiwu où se trouve le plus important marché de gros du monde, des centaines de millions de personnes sont ainsi bloquées chez elles, dans des centres de quarantaine ou des hôtels réquisitionnés, et doivent s'en remettre pour manger aux livraisons organisées par des comités de quartier aux ordres du Parti communiste.
Les "Da Bai" sont partout
Dans les rues, les "Da Bai", les grands blancs, font la loi. C'est ainsi que l'on surnomme les agents chargés du contrôle sanitaire qui quadrillent le pays en tenue hazmat blanches, visière et masque sur le visage.
Comme dans un film de science-fiction, ces Da Bai sont partout chargés de gérer les dépistages de masse organisés en plein air à tout moment, de désinfecter les rues à grands jets de produits chimiques, et de garder hermétiquement clos les quartiers à risques. Des gardes blancs qui ont remplacé les gardes rouges d'antan. "Je ne reconnais plus mon pays, souffle un Pékinois, le visage grave, nous sommes le dernier pays au monde à vivre ainsi enfermé, la peur du virus a fait de nous des esclaves."
Et gare à celui qui oserait contredire la ligne officielle. Depuis le confinement de Wuhan, on ne compte plus les lanceurs d'alerte emprisonnés pour avoir osé critiquer la politique zéro Covid.
Les réseaux sociaux sont scrutés à la loupe par une armée de censeurs. Même les médecins sont bâillonnés et les économistes qui s'alarment des conséquences dramatiques de cette politique sur l'économie sont censurés.
"Il n'y qu'une seule voix, celle du Parti, glisse un journaliste chinois travaillant pour un organe officiel. Nous ne pouvons parler que des choses positives, nous n'avons pas le droit de remettre en cause les chiffres et les données officielles, ni même d'interroger les gens de la rue, seule compte la voix du Parti communiste".
"Victoire sur le virus"
Un homme est à l'origine de cette nouvelle dictature sanitaire: Xi Jinping. Le président chinois au pouvoir depuis dix ans, et qui brigue à l'automne un troisième mandat historique lors du 20ème congrès du Parti communiste, a claironné dès mai 2020 la "victoire sur le virus", affirmant qu'elle était le symbole de la force du régime chinois face à un Occident corrompu et alors empêtré dans la pandémie.
Au départ, la stratégie a fonctionné: même si des questions subsistent quant à la fiabilité des données chinoises, le pays n'a signalé que 5.226 décès dus au virus Covid depuis le début de la pandémie, contre plus d'un million aux États-Unis.
Le succès de la Chine a donné à son gouvernement des armes pour répondre aux critiques internationales sur les origines du virus. Alors que Donald Trump n'a cessé de critiquer la Chine au cours de la campagne présidentielle américaine de 2020, Pékin a pointé la montée en flèche du nombre de décès en Amérique et en Europe, s'en servant pour démontrer la supériorité du régime dirigé par le Parti communiste.
Le gouvernement mettait en avant le contrat social qui sous-tend la légitimité du Parti communiste chinois, c'est-à-dire l'acceptation de la règle du parti unique en échange d'une gouvernance qui assure la sécurité du public et améliore la qualité de vie générale, rendant cette politique populaire auprès de nombreux Chinois, qui ont accepté les fermetures imprévisibles et les tests omniprésents en échange de la sécurité et de la santé.
Sécurité contre contrôle
Depuis, rien ne vient remettre en question cette "victoire" et Xi Jinping poursuit imperturbable sa stratégie: dépistages de masse, confinements, isolement des malades dans des centres de quarantaine aux airs de léproseries. "Personne ne parle d'immunité collective, personne n'oblige la population à se faire vacciner, personne ne propose des sérums étrangers comme les vaccins ARN messager. Seuls comptent les vaccins chinois et la stratégie chinoise", s'inquiète un médecin qui préfère rester anonyme.
"Nous avons peut-être tous sous-estimé la force et la volonté de l'État chinois à poursuivre sa politique dite de zéro Covid, estime Tianlei Huang, chargé de recherche au Peterson Institute for International Economics, un groupe de recherche basé à Washington. En Chine, tout doit servir l'objectif ultime d'atteindre ce zéro Covid". Car pour Xi Jinping, contrairement à la plupart des dirigeants sur la planète, les risques politiques d'une ouverture du pays sont encore bien plus importants que les avantages.
L'équation "sécurité contre contrôle", au départ vertueuse, a fini par se retourner contre le régime. La Chine a tellement misé sur la prévention du virus qu'elle ne peut pas sortir de la pandémie comme l'ont fait d'autres pays, en acceptant une vie avec le Covid.
"Dans l'esprit de nombreux Chinois, le Covid, c'est la peste; alors n'imaginez pas leur dire maintenant que l'on peut vivre avec, presque comme avant, reprend le médecin. Ce serait comme expliquer aux Chinois que ces deux années et demie n'ont servi à rien."
Lire aussi
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]  (fondateur de JD.com, mis au pas) (on peut zapper, ndlr).
Milliardaires rouges
Une étude réalisée par des chercheurs de l'université Fudan de Shanghai est venue à point nommé enfoncer le clou. Elle estime que plus d'un million de personnes pourraient mourir si la Chine – dont l'immunité naturelle est faible et le taux de vaccination très bas, notamment chez les personnes âgées – abandonnait le Covid zéro. Une telle hécatombe fragiliserait le régime et donc, il est inconcevable de changer de stratégie.
Mais un autre travers risque de faire dérailler la machine. Le zéro Covid a en effet amené la Chine au bord de la récession, remettant en cause un autre des piliers du régime: l'enrichissement de la population. Le chômage est en hausse, notamment chez les jeunes, les faillites se multiplient et de nombreuses multinationales échaudées par la fermeture des frontières et les longues quarantaines commencent à plier bagages.
Les milliardaires rouges aussi veulent déguerpir. Selon une étude menée par l'agence Bloomberg, les 10.000 Chinois les plus riches, avec une fortune globale estimée à 48 milliards de dollars, envisageraient de quitter le pays. Mais Xi Jinping les laissera-t-il partir?

La huitième vague de Covid ne sera pas classique
Une nouvelle campagne de vaccination est en cours, alors qu'un sous-variant venu d'Afrique de l'Ouest est en train de se propager en Belgique. BELGA
L’Echo 07/010/22
Tous les indicateurs du covid sont en hausse. La huitième vague est là. Et un sous-variant venu de l'étranger devrait l'accentuer ou la prolonger...
Tous les indicateurs de l'épidémie de Covid s'inscrivent en hausse. Le nombre de nouveaux cas rapportés grimpe de 19%. L'incidence du virus est désormais supérieure chez les actifs par rapport à la population générale. Les hôpitaux, l’éducation et le transport ferroviaire sont les secteurs les plus touchés. L'absentéisme en entreprises devrait donc croître ces prochaines semaines.
"La huitième vague Covid-19 se fait de plus en plus sentir dans les hôpitaux, avec une nouvelle augmentation des admissions à l'hôpital", commentait le virologue Yves Van Laethem dans le cadre du point hebdomadaire sur la pandémie établi par le SPF Santé publique sur base des chiffres de Sciensano.
En effet, le nombre de nouvelles hospitalisations a augmenté de 24% en une semaine, avec une moyenne de 104 admissions par jour pour covid. 1.427 personnes positives sont actuellement hospitalisées, dont 74 en soins intensifs (+45%).
À quand le pic?
"La vague devrait atteindre son apogée dans la seconde moitié d'octobre", selon l'analyse du SPF publique. Mais pour le microbiologiste de l'UZ Leuven Emmanuel André, ce n'est pas si simple.
"Deux phénomènes se déroulent conjointement", expose le microbiologiste. "On subit la vague saisonnière prévue, avec les sous-variants qu'on connaît depuis plusieurs mois." Le sous-variant d'Omicron BA.5 représente 89,50% des contaminations. "Mais il y a encore une nébuleuse de sous-variants à travers le monde, dont quelques-uns semblent présenter un avantage épidémiologique important. L'un ou l'autre risque de dominer dans les semaines qui arrivent."
Le BQ.1 croît en Belgique
Le BQ.1, détecté dans le cadre de la surveillance génomique au Nigeria, est déjà présent en Belgique, où il représente environ 5% des cas. Ce sous-variant compte plusieurs mutations par rapport à BA.5, dont il descend. Celles-ci sont situées sur la protéine spike, "ce qui entraîne que nos anticorps reconnaissent moins bien le virus, qui se propage donc de façon plus efficace", explique le microbiologiste de l'UZ Leuven.
La présence de BQ.1 dans les échantillons analysés double chaque semaine. Ce virus-là pourrait donc devenir dominant chez nous dans un bon mois.
"Ce n'est pas encore clair de déterminer avec certitude quel sous-variant sera le plus "compétitif", mais à côté de la vague saisonnière, ce phénomène va entraîner une augmentation des infections qui va soit accentuer la vague saisonnière, soit prolonger celle-ci. Ce ne sera pas un pic classique", estime Emmanuel André.
Quelles mesures?
Face à la situation actuelle, aucun Codeco n'est encore prévu, nous confirme le porte-parole du SPF Santé publique.
Mais les campagnes de vaccination sont en cours pour administrer un deuxième booster aux personnes fragiles et aux 50 et plus. "La campagne en cours tombe donc à pic. Les plus âgés et ceux qui ont des problèmes de santé vont en tirer un bénéfice individuel, mais la société en profitera La couverture vaccinale pour la deuxième dose de rappel est actuellement beaucoup plus large en Flandre qu'en Wallonie et à Bruxelles. Mais le nord du pays avait pris de l'avance en invitant les plus vulnérables avant l'été pour recevoir cette dose.
"Quand le virus circule beaucoup, ce qui va être le cas ces prochaines semaines, il faut prendre ses précautions, surtout dans les endroits clos, mal ventilés. Mais ces précautions doivent-elles se transformer en règles décidées en Codeco?", lance Emmanuel André. "Il faut regarder le bénéfice/risque de mesures très impopulaires! On n'est plus dans le scénario des vagues précédentes. Les signaux ne sont pas encore rouges."

Coronavirus en Chine: Après de violentes protestations, un confinement anti-Covid est ordonné à Zhengzhou
Source : RTBF 24/11/22
Zhengzhou, ville du centre de la Chine qui héberge une immense usine d'iPhone, a ordonné le confinement de plusieurs quartiers en raison d'une flambée de Covid-19 [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Les habitants du centre-ville ne sont plus autorisés à quitter la zone sans un test Covid négatif et l'autorisation des autorités locales, et il leur est conseillé de ne pas quitter leur domicile "sauf si nécessaire", ont annoncé les autorités municipales de Zhengzhou. Ces restrictions, qui dureront cinq jours à partir de vendredi minuit, concernent plus de 6 millions de personnes, soit environ la moitié de la population de la ville.
L'avis des autorités, publié mercredi en fin de journée, exige également que tous les habitants de huit districts se soumettent à un test PCR quotidien pendant cette période de cinq jours.
La Chine est la dernière grande économie à tenter d'enrayer la propagation du coronavirus, une stratégie qui suscite lassitude et ressentiment au sein d'une grande partie de la population alors que la pandémie entrera bientôt dans sa quatrième année. L'ordre a été annoncé par la ville de Zhengzhou après de violentes protestations dans le vaste complexe d'usines d'iPhone de la ville en début de semaine.
L'usine, qui appartient au géant taïwanais de la technologie Foxconn, n'est pas concernée par le nouvel ordre. Mais elle est soumise à des restrictions anti-Covid depuis plus d'un mois en raison de la multiplication des cas dans les dortoirs de ses ouvriers. Le mois dernier, des images ont montré des travailleurs paniqués fuyant le site à pied, certains se plaignant du chaos et de la désorganisation régnant sur place.
Mercredi, le gouvernement de Zhengzhou a déclaré que l'épidémie dans la ville était "toujours grave et compliquée". Jeudi, Zhengzhou a enregistré 675 nouvelles infections au Covid, dont la grande majorité était asymptomatique. 
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Manifestations dans la plus grande usine d'iPhone de Chine
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]  (accès avec inscription et mot de passe)
De grandes manifestations ont éclaté mercredi dans la plus grande usine de fabrication d'iPhone au monde, en Chine, propriété du sous-traitant taïwanais Foxconn, selon des vidéos et photos diffusées sur les réseaux sociaux Weibo et Twitter.
Les images montrent notamment une foule de travailleurs défilant de jour dans une rue, certains faisant face à une rangée de personnes en combinaisons blanches de protection intégrale et à la police anti-émeute. 
L'usine se trouve à Zhengzhou, dans la province du Henan (centre).
Un extrait d'une vidéo diffusée en direct montre, de nuit, des dizaines d'ouvriers criant "Défendons nos droits!" devant des rangées de policiers et un véhicule de police aux gyrophares allumés.

Idem. Développement et précisions sur la Chine
Émeutes en Chine : "La politique zéro Covid décidée par les autorités était intenable depuis le début"
Source : RTBF 24/11/22
M[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]... En Chine, la coupe semble pleine pour les habitants soumis depuis le début de la pandémie à la stratégie zéro Covid du gouvernement.µ
Vidéo : répression de la manif (Des ouvriers se rebellent).
Mais rien n'y fait, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] basée sur des confinements stricts, des tests de masse et à des restrictions de voyage.
Dernièrement, ce sont les habitants de la ville de Pékin qui en ont fait les frais. La capitale chinoise connaît ces derniers jours une flambée épidémique jamais vue depuis le début de l'épidémie. Des dizaines d'immeubles résidentiels ont été confinés et les entreprises généralisent le télétravail, alors que les écoles, restaurants et commerces ferment à nouveau par peur d'être placés en quarantaine.
La Chine, qui compte 1,4 milliard d'habitants, est la seule grande économie au monde qui tente encore d'enrayer la propagation du virus dans le pays, en fermant des villes entières et en plaçant les contacts des patients infectés en stricte quarantaine. Des mesures dont la durée n'est jamais annoncée à l'avance.
Néanmoins, les contaminations continuent d'augmenter. Un échec de stratégie pour Pékin ?
Une situation intenable
"Tout le monde estimait que la politique zéro Covid décidée par la Chine était intenable depuis le début", se souvient Yves Van Laethem, infectiologue et porte-parole interfédéral dans la lutte contre le Covid-19. "C'est comme vouloir arrêter des molécules d'oxygène en fermant une porte, certaines finiront toujours par passer."
Les autorités chinoises, elles par contre, y croyaient. Du moins au début, en multipliant les confinements et les tests de masse. Pour Yves Van Laethem, poursuivre cette stratégie aujourd'hui est plus une question d'honneur que d'intérêt sanitaire. Étant donné que la grande majorité des personnes touchées sont asymptomatiques, elles ne représentent pas un danger important pour le système de santé du pays.
Mais la crédibilité de la gestion de la crise sanitaire par la Chine - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] - est en jeu. "Ce sont les habitants qui payent le prix inutilement élevé de cette stratégie", estime l'expert.
Des chiffres records...
Malgré toutes ces mesures restrictives, les derniers chiffres sur la situation sanitaire dans le pays ne vont pas dans le bon sens. Le nombre quotidien de cas Covid a atteint un nouveau record ce mercredi, avec 31.444 nouveaux cas, dont 27.517 sont asymptomatiques, a indiqué le ministère de la Santé.
Ces nouveaux chiffres sont supérieurs aux 29.317 infections locales enregistrées à la mi-avril, lorsque Shanghai - la troisième ville la plus peuplée du monde - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
Image : Pic de contamination
La Chine a également [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], portant le total de décès dans le pays à 5.232 depuis le début de l'épidémie en janvier 2020.
Difficile néanmoins de vérifier la véracité des chiffres annoncés et le réel impact de ces contaminations sur le système de santé du pays, tant la communication des autorités à ce sujet est cadenassée.
Difficile également d'appréhender le taux effectif de vaccination dans le pays. La porte-parole de la Commission nationale de la santé annonçait le 24 octobre dernier, que la Chine avait entièrement vacciné 75,6 % de sa population, soit 1,068 milliard de Chinois, sur une population de 1,412 milliard de personnes.
Le pays aurait administré au total 2,245 milliards de doses de vaccin, selon les données officielles.
... mais bien en-dessous des critères internationaux
Si les contaminations dans le pays atteignent aujourd'hui des records, ces derniers doivent toutefois être nuancés au vu de la situation dans les autres pays. Leur nombre reste en effet très faible par rapport aux critères internationaux.
Chez nous, alors que l'épidémie est actuellement considérée comme "évoluant positivement", en moyenne 757 contaminations ont été enregistrées sur les sept derniers jours, contre 26.115 en Chine. Si l'on transpose ces chiffres sur la population totale de ces pays, cela représente 0.0065% de la population belge, contre 0.0018% de la population chinoise.
À titre de comparaison, ce pourcentage s'élève actuellement à 0,013% aux États-Unis et 0,053% en France.
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Malgré ces différentes "vaguelettes", Yves Van Laethem ne se dit pas inquiet concernant l'évolution de l'épidémie dans les prochains mois, "sauf nouvelle surprise" telle qu'un variant inattendu.
"À présent, il faut vivre avec un animal que nous avons un peu amadoué, en partie grâce à la vaccination. Je ne comprends pas cette volonté de la Chine de vouloir absolument le chasser hors de ses frontières. La Grande Muraille ne leur sera d'aucune utilité dans ce cas-là", conclut le spécialiste.

La Chine s'est trompée sur le Covid et en paie le prix fort
Source : Revue de presse du quotidien américain Chicago Tribune.
Image : Manifestants chinois brandissant une feuille blanche.
Des manifestations contre les restrictions strictes de la Chine à l'égard du covid ont éclaté dans différentes villes, dont Pékin et Shanghai. 
Les mouvements de protestation sont souvent porteurs de symboles. C’était le cas des parapluies lors des manifestations à Hong Kong en 2014 et à nouveau en 2019.
Plus tôt cette année en Iran, les femmes se coupant les cheveux sont devenues le symbole des protestations liées à la mort de Mahsa Amini, une femme de 22 ans arrêtée par la police pour avoir enfreint le code vestimentaire.
Aujourd'hui, en Chine, une simple feuille de papier vierge est devenue l'image emblématique des manifestations de masse contre la politique zéro-covid du président Xi Jinping.
Si aux États-Unis et dans une grande partie du reste du monde, le Covid-19 n’a plus rien à voir avec la crise accablante qu'elle fut, en Chine, les citoyens restent piégés dans les limbes de la pandémie.
Selon Nomura, une société japonaise de services financiers internationaux, un tiers de la population chinoise aurait fait l'objet d'un verrouillage partiel ou complet au cours du mois.
Au début de l'année, Shanghai, la capitale financière de la Chine, a subi un confinement de deux mois qui a eu un effet dévastateur sur la santé mentale des habitants et sur la production économique de la ville. La situation était encore pire dans la province occidentale du Xinjiang. Les habitants n'ont pas été autorisés à quitter leur domicile pendant une période pouvant aller jusqu'à 100 jours.
Les confinements étaient censés éradiquer la propagation du virus, mais ils ne constituent que des mesures permettant de gagner du temps pour distribuer de vaccins efficaces. À cet égard, Xi a choisi de s'appuyer sur les vaccins chinois qui se sont révélés bien moins efficaces que les versions occidentales. De nombreux Chinois âgés, en particulier, se sont inquiétés des effets secondaires et n'ont pas reçu au moins deux injections de vaccin.
Les perspectives économiques du pays s'assombrissent de jour en jour. Le chômage des jeunes a atteint 20%, les bénéfices des entreprises chinoises, grandes et petites, se sont effondrés et il est peu probable que la Chine atteigne ses prévisions de croissance économique de 5,5% pour 2022.
Xi se retrouve coincé par les erreurs du passé. S'il réitère les restrictions strictes, il risque de voir les manifestations dégénérer en troubles d'une ampleur ingérable. S'il cède aux demandes des manifestants de lever les mesures de confinement, le problème du covid en Chine pourrait s'aggraver de façon spectaculaire.
Pour restaurer le calme, il devra pourtant nécessairement passer par l'abandon de son approche zéro-covid. Pour ce faire, il devra coopérer avec les pays occidentaux et autoriser l'entrée dans le pays de vaccins plus efficaces. Pékin devra également intensifier ses efforts de sensibilisation à la vaccination, en particulier auprès des Chinois plus âgés.
Cet éditorial, publié dans le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], a été traduit et résumé par nos soins (Journal L’Echo).

Coronavirus : 90% de la population mondiale partiellement immunisée, mais la pandémie sévit toujours
Source : RTBF 03/12/22
Au moins 90% de la population mondiale a désormais "un certain degré d’immunité" contre le coronavirus, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Mais les données sous-estiment la propagation du virus et les chiffres pourraient devoir être multipliés par cinq dans certains pays. Le manque de surveillance et de tests favorise dès lors les conditions pour de nouveaux variants. La phase d’urgence de la pandémie n’est donc pas terminée, estime l’OMS.
Une immunité à géométrie variable
90% de la population immunisée cela signifie, explique Yves Van Laethem, spécialiste des maladies infectieuses à l’hôpital Saint Pierre à Bruxelles, "qu’il y a mise en présence du virus soit par le contact naturel, soit par le vaccin". Comme le souligne l’OMS, la difficulté, c’est le manque de données, comme pour l’Afrique qui dispose de peu de relevés fiables sur la présence du virus dans différents pays. "On est donc là avec des estimations à la grosse louche".
Pour ce spécialiste des maladies infectieuses, "on parle d’immunité partielle pour les gens qui ont reçu une ou deux doses de vaccin, comme en Chine, ou pour des gens qui ont été infectés il y a un an et demi et qui pourraient très bien être infecté à nouveau avec un nouveau variant".
De nouveaux variants toujours possibles
Une immunité insuffisante est un terrain plus favorable à la multiplication du virus, ce qui entraîne l’apparition de nouveaux variants aptes à infecter d’autres personnes. "Il reste là un lit dans lequel la multiplication virale peut être plus importante que dans les pays qui ont une bonne protection par de multiples vaccinations",
Ce sont souvent les pays qui présentent une immunité insuffisante qui dispose d’une surveillance très faible de l’apparition des nouveaux variants. Et si un nouveau variant y apparaissait, il pourrait se multiplier sans que l’on s’en doute, envahir d’autres parties du monde et n’être repéré que lorsqu’il apparaît en Europe ou aux Etats-Unis.
Impossible de prédire le futur
Tous les responsables qui suivent l’évolution de la pandémie au jour le jour s’accordent pour dire que l’on reste dans l’incertitude concernant l’évolution du virus. Va-t-on vers un statu quo dans la virulence du virus ou bien une autre mutation est-elle possible ? "C’est totalement un grand point d’interrogation et c’est une des raisons pour lesquelles les firmes qui produisent le vaccin contre le Covid-19 doivent rester prêtes à saisir l’émergence d’un nouveau variant pour fabriquer le plus rapidement possible un vaccin efficace", explique Yves Van Laethem.
A l'instar de la grippe saisonnière, qui révèle parfois des surprises désagréables avec de lourdes conséquences, comme en 1968 ou 1958, le coronavirus pourrait donner un variant plus agressif ou qui ciblerait des personnes différentes, les jeunes et les adultes en bonne santé. Pourrait-il, au contraire, s'amenuiser, voire disparaître ? Seul l'avenir le dira.
Toujours les mêmes précautions
Le vaccin, et ses doses de rappel, reste important car il permet de développer une immunité et de relancer l'immunité naturelle que nous avons, mais qui diminue assez vite avec le temps, après 3 ou 4 mois. "Heureusement", souligne Yves Van Laethem, "l'immunité concernant les formes les plus sévères du Covid-19 persiste plus longtemps mais après 6 mois, une partie de la population reste plus fragile vis-à-vis de l'infection".  
Les mesures de précaution basique, comme le port du masque pour les personnes les plus fragiles et dans les lieux publics fermés, restent importants. 
Commentaire NDLR : Les personnes qui ont un système immunitaire approprié – reste à en déterminer les critères – devraient plutôt profiter de l’occasion pour contracter le virus – car la souche dominante est très transmissible mais peu virulente – au lieu de se barricader / s’isoler comme en Chine ! Sauf que dans certains pays, le système hospitalier est tourné vers la rentabilité et que pas grand-chose n’a été organisé en cas de pandémie. Au Japon et en Angleterre, par exemple.
Oui, il faut protéger les personnes plus faibles, mais c’est surtout le système de 1^ère ligne de défense qui doit être réévalué !

La colère gronde en Chine : face aux restrictions mises en place par le gouvernement à cause du Covid, des citoyens descendent dans la rue. À Pékin, à Shangai…
28/11/22
Des protestations isolées ou en groupe, des actes de désobéissance civile, des feuilles de papier blanches brandies contre la censure, et parfois des actes de rébellion, avec une réponse musclée de la police.
Une frustration, un mécontentement, du scepticisme qui trouvent leur origine dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], et qui se transforme parfois en critique directe du gouvernement. En marge de ces manifestations, des arrestations, dont celle d’un journaliste de la BBC qui a été frappé par les forces de l’ordre.
Restrictions excessives
À l’origine de cette vague de protestation, il y a la politique zéro Covid décrétée par Pékin depuis le début de la pandémie. Il suffit de quelques cas positifs pour boucler un commerce, un quartier, une ville voire une province. Des millions de Chinois voient leur liberté de mouvement restreinte au nom de la lutte contre la pandémie.
Une stratégie incarnée par le dirigeant Xi Jinping qui concentre tous les pouvoirs entre ses mains et acceptée au début mais de plus en plus remise en question. Les récents confinements à Wuhan et à Shangaï ont été rejetés par une partie de la population.
La semaine dernière [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] plusieurs jours durant contre les mesures anti-Covid, contre les conditions de travail dans un immense complexe industriel. Ce week-end, des barrières renversées, des veillées à la bougie, des manifestations un peu partout ont eu lieu dans la capitale et à Shangaï mais aussi Chengdu, Wuhan, Lanzhou, Nanjing. Hong Kong aussi.
Dans le prolongement de ces mouvements, sont apparues des revendications plus larges, plus politiques. Pour réclamer la démocratie, la liberté de la presse, la fin de la censure en ligne.
Si les réseaux sociaux continuent à être censurés par rapport à toute cette agitation, le message passe quand même : ce lundi, le Quotidien du peuple a publié un texte mettant en garde contre la "paralysie" et la "lassitude" face à la politique zéro Covid, sans toutefois appeler à y mettre fin.
Une feuille blanche en guise de symbole
C’est le symbole porté par ces feuilles de papier A4, vierges. Elles représentent tout ce que les Chinois ne peuvent exprimer publiquement, en particulier sur les réseaux. La main de fer de Xi Jinping sur les médias, notamment les réseaux sociaux, est remise en question par des Chinois qui revendiquent leur liberté d’expression.
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Coronavirus en Chine : des étudiants confinés manifestent afin de pouvoir quitter leur campus
Source : RTBF 06/12/22
Les étudiants ont manifesté contre le confinement de leur université dans l'est de la Chine, selon des vidéos sorties mardi sur les réseaux sociaux de Chine, où de nombreuses villes assouplissent progressivement leur stratégie zéro Covid après les grandes manifestations de fin novembre.
Ces vidéos géolocalisées par l'AFP montrent une foule d'étudiants de l'Université de technologie de Nankin manifestant afin de pouvoir quitter le campus. "Votre pouvoir, vous le tirez des étudiants, pas de vous-mêmes", crie un participant à un responsable. "Soyez au service des étudiants!".
« Si vous nous touchez, ça va devenir un nouveau Foxconn ici! »
Un étudiant de troisième année, souhaitant rester anonyme, a déclaré à l'AFP que la manifestation s'est déroulée après l'annonce par l'école que le campus serait bouclé pendant cinq jours après la découverte d'un cas positif.
De nombreuses universités chinoises sont confinées en vertu de la politique sanitaire. Leurs étudiants doivent déposer une demande pour en sortir et les visiteurs sont interdits.
Dans la vidéo, on voit des étudiants se disputer avec des représentants de l'université. "Si vous nous touchez, ça va devenir un nouveau Foxconn ici!", crie un jeune en référence aux violentes manifestations d'ouvriers le mois dernier dans l'usine chinoise du géant taïwanais, qui fabrique des iPhone pour Apple.
Si l'heure semble être à une lente et très progressive réouverture, le quotidien de centaines de millions de personnes continue d'être marqué par les contraintes. Selon les calculs de la banque Nomura, 53 villes, représentant environ un tiers des 1,4 milliard d'habitants de la Chine, appliquaient toujours lundi des formes de restrictions aux déplacements.
Suite aux grandes manifestations de fin novembre dans une dizaine de villes contre la politique zéro Covid, les autorités ont renforcé la présence policière et la surveillance des réseaux sociaux.
Lors des rassemblements de fin novembre, les manifestants, majoritairement jeunes, demandaient la levée des restrictions qui affectent leur vie et leurs projets depuis 2020.
Plusieurs centaines voire milliers d'étudiants ont depuis manifesté sur leurs campus, de la prestigieuse université pékinoise de Tsinghua jusqu'à des établissements à Xi'an (centre), Canton (sud) ou Wuhan (centre).
En parallèle du volet répressif, les autorités procèdent depuis à un assouplissement de certaines restrictions.
La ville de Pékin a annoncé mardi que les immeubles de bureau et les commerces, dont les supermarchés, n'exigeront plus la présentation d'un test PCR négatif.
Plusieurs autres grandes villes comme Shanghai ou Hangzhou ont aussi réduit leurs exigences en matière de tests.
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Coronavirus : la Chine assouplit ses restrictions sanitaires dans la foulée des manifestations
Source : RTBF 02/12/22
Plusieurs villes chinoises ont encore allégé les règles draconiennes anti-Covid vendredi, dans la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]pour réclamer la fin des restrictions et davantage de libertés.
La colère et la frustration des Chinois à l’égard de la ligne dure de Pékin en matière de lutte contre la pandémie ont débordé dans les rues du pays le week-end dernier, une mobilisation d’une ampleur inédite depuis des décennies.
Dans la foulée, plusieurs villes ont commencé à assouplir les restrictions sanitaires, comme l’abandon des tests quotidiens de masse, un des piliers fastidieux de la vie sous le règne du "zéro-Covid".
À partir de ce vendredi, la métropole de Chengdu n’exigera plus un résultat de test négatif récent pour entrer dans les lieux publics ou prendre le métro, mais seulement un pass sanitaire au vert, confirmant qu’ils n’ont pas traversé une zone "à haut risque".
Dans la capitale, Pékin, les autorités sanitaires ont appelé les hôpitaux jeudi à cesser de refuser des soins en l’absence de test PCR négatif datant de moins de 48 heures.
La Chine a connu une série de décès, quand les soins ou les secours ont été retardés par les strictes mesures anti-Covid, en particulier la mort récente d’un bébé de quatre mois coincé en quarantaine avec son père.

Pourquoi parler autant de la Chine?
La chine, c'est le 1er exportateur mondial. C'est presque 50 % des plus-values réalisées, jusque 2021 (avant le lock-down suite aux mesures anti-covid).
lien:
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Assaut dans les Officines Chinoises – Hôpitaux saturés – Morgues débordées
La revue de presse : l’essentiel de l’actualité de la presse écrite par Nicolas Vandenschrick
RTBF 28/12/22
Pékin – dans un virage assez brutal – achève de tourner la page de sa politique zéro Covid, mais ce tournant provoque des courbes vertigineuses de contamination.
Pour Libération, c’est "[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]"
Ce passage d’un lockdown quasi total à une levée soudaine des mesures s’est fait sans période adaptation, note la presse. Et la diffusion du Covid est telle que – depuis le 25 décembre, les autorités chinoises ne communiquent plus les chiffres de contaminations. Ce qui ressort pourtant des reportages sur place laisse craindre le pire : pharmacies à court de médicament, hôpitaux débordés et morgues proches de la saturation.
Certaines projections évoquent une vague épidémique qui pourrait faire en Chine plus de 2 millions de morts, souligne encore Libération, bien que, là-dessus, il ne faudra pas compter sur la transparence chinoise.
Toute la question, soulevée par le Temps, est celle de la manière dont le pouvoir en place va gérer ce qui a des allures d’impasses. Si la présente vague épidémique – et celles qui suivront forcément devaient provoquer une hécatombe et empêcher l’économie chinoise de repartir sur des bases nouvelles, Xi Jinping pourrait être l’objet de discussion nourrie à la tête du parti communiste. A l’inverse, si l’impact de la fin de la politique zéro Covid est limité, si la jeunesse chinoise parvient à éviter le chômage, – en somme, si la croissance revient en Chine, Xi aurait réussi sa pirouette, écrit le Temps. Il aura – au fond de l’impasse Covid – trouvé une porte de sortie.
Ce qu’identifie The New York Times, c’est la soudaine absence des dirigeants chinois. Avec la politique zéro Covid, le pouvoir central contrôlait tout, partout, tout le temps. Soudain, il n’y a plus aucun contrôle, plus aucune direction, ni aucune directive. Et cette absence dans un moment de crise aiguë vient poser à la population chinoise la question de la légitimité – et de la crédibilité – du parti communiste chinois. "La capacité de contrôler est différente de la capacité à gouverner" témoigne un citoyen chinois, dans les colonnes du quotidien.
Plus fondamentalement, The New York Times propose une page d’opinion pour constater que la population est en train de changer. La jeunesse ne veut plus cette culture où la souffrance et la douleur doivent être acceptées sans broncher. Elle veut une vie agréable et surtout, elle veut définir elle-même, ce que c’est une vie agréable.
Liberté, croissance et santé
La levée des mesures zéro Covid a été saluée par la presse comme une libération pour la population, perçue aussi comme une possible embellie pour la croissance.
The Guardian rapporte les différentes interprétations des agences de prévision économique qui s’interrogent : "faut-il déjà espérer le réveil du dragon chinois ? Les investisseurs ne se montrent-ils pas trop impatient ?" Mais un second article vient aussitôt le rappeler ce que les économistes appellent de leurs vœux (le retour de la croissance globale) devra d’abord traverser l’épreuve Covid et risque de signer un énorme bilan humain.
Sachant qu’avec le strict confinement, l’immunité naturelle chinoise est probablement faible, sachant aussi que le vaccin utilisé là-bas est relativement moins efficace que les versions occidentales.
Dernier aspect. Actuellement, la Chine serait principalement aux prises avec le variant Omicron. La propagation rapide du virus au sein d’une population de 1,412 milliard d’habitants risque de participer à l’apparition de variant. Mais ce qui inquiète le plus les spécialistes interrogés, ce n’est pas tant le développement d’une nouvelle forme du virus, mais bien l’absence de vigilance, l’absence de transparence, l’absence de contrôle des données sanitaires chinoises.

Covid Long
Un médecin carolo fait progresser la compréhension du Covid long
Source : RTBF 12/12/23
C’est une avancée dans la compréhension du Covid long. Et elle provient d’un médecin généraliste de Charleroi. Marc Jamoulle a 76 ans et il pratique encore son rôle de médecin de famille. Une fonction qui lui a permis de rencontrer de nombreux patients souffrant de symptômes similaires qui ne correspondent à aucune maladie connue. Les résultats de ses études ont été présentés lors d’une conférence sur le Covid long à Madrid.
Le docteur Marc Jamoullle s’est intéressé au Covid long parce qu’il n’y comprenait rien, explique-t-il. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], mais rien dans la littérature médicale ne lui permettait de comprendre le mal dont ces patients souffraient. Avec Johan Van Weyenbergh, immunologiste de la KUL, l’Université Catholique de Leuven, il a alors procédé à l’analyse très poussée des prises de sang de 110 patients. Et des points communs sont apparus.
Des encéphalites liées au Covid long
Marc Jamoulle et Johan Van Weyenbergh ont observé chez tous les patients une encéphalite, une inflammation de l’encéphale à cause d’une mauvaise circulation sanguine dans le cerveau. Et comme le cerveau contrôle le corps, cela provoque tout un tas de troubles. Des problèmes respiratoires, mais également des troubles sensoriels, des vertiges, de la fatigue, des problèmes de mémoires… Ce que beaucoup de médecins traduisent erronément par un… burn-out. Parmi les patients observés, ces troubles touchent pour 70% des femmes d’une quarantaine d’années, en moyenne.
"Pour 30% des patients observés, ce Covid long n’est qu’un mauvais souvenir. Pour 30 autres pourcents, le mal s’est un peu apaisé. Mais 40% des patients sont toujours profondément atteints et ne savent plus rien faire du tout", explique Marc Jamoulle. Son étude, dit-il, est loin d’être terminée. Mais il espère deux choses. Que ces premiers résultats significatifs conduiront la Belgique à débloquer un budget pour la recherche sur le Covid long, comme ça a été le cas dans beaucoup de pays européens. Ensuite, que l’étude permette de recourir à des traitements plus adaptés pour les patients.

Commentaire:
la curcumine et la taurine sont conseillées dans ce cas de figure. + thé vert.
Attention au type de curcumine: Theracurcumin pénètre le cerveau. Je prends Natural Factors, 1x/2. 
Il faut aussi surveiller ce qui a de l'impact sur les plaquettes. On fait donc une tournante si vous prenez des anti-inflammatoires. J'alterne avec Celadrin entre la salicine et la curcumine. Avec idéalement une pause (cure de bicarbonate 2 gr pdt 12 - 15 jours tous les 3 ou 4 mois).

Augmentation de l’incidence du virus Covid-19
Programme de surveillance des eaux usées
A l’heure actuelle, l’institut de Santé publique note une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : 24 zones sur 40 sont en alerte selon ce critère. L’évolution de l’augmentation est rapide. Les concentrations mesurées dans les eaux usées sont très élevées.
Trois indicateurs existent : l’alerte "haute circulation", l’alerte "augmentation rapide" et l’alerte "tendance à la hausse". L’alerte de tendance à la hausse concerne 22 stations sur 40 ; celle d’augmentation rapide, 17 stations.
Au niveau régional, la charge virale est élevée et en augmentation en Wallonie et en Flandre. L’augmentation la plus rapide est situé dans les provinces de Hainaut, de Liège, de Namur et de Flandre orientale.
NB : Si la Covid est en augmentation, les symptômes sont plus légers qu’il y a 3 ans (immunité acquise) et les hôpitaux sont en conséquence moins surchargés.
Mise en garde pdt les fêtes de fin d’année pour les personnes plus sensibles.
Une tendance à la hausse est bien présente : Au 13/12/23 le nombre de contaminations reste bas, mais augmente de façon constante.
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En France le taux R  (reproduction) est situé à 0.86.
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